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L'Aïd ou le vaisseau dans l'Eden, poème de Pierre Dortiguier

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L'Aïd ou le vaisseau dans l'Eden, poème de Pierre Dortiguier

Ce poème est une explication de l'"arabe" Aïd, en langue ancienne, originaire de l'humanité, ou adamique dite tudesque, " te odischa Spraha",-comme l'explique l 'érudit saxon contemporain (né en 1938) Erhard Landmann- soit en vieil allemand: la langue de Od -nom d'une constellation qui serait relativement à nous ce que fut l'Angleterre exportatrice de ces colonies américaines et séparée d'elle par un vaste océan! la prononciation de Aïd équivaut au terme allemand moderne de "Ei" (prononcer Aye)et Od ou Id, qui se trouve dans le terme Ides du calendrier julien, ou romain ancien, et aussi sur une des épaves du vaisseau de Roswell échoué en 1947: tout comme dans les noms de l'Eden (pour dire "dans Ed" ou Od) et d'Edinburg, la forteresse (Burgh) volante dans l'Od!Le terme d'Achoura (le vaisseau primitif, Ash-Ur-), selon la même source, renvoie à un épisode proprement céleste, et la coutume chiite et particulièrement iranienne laisse percer le lieu mythique de cette épopée! qui est la narration d'un combat permanent et actuel !


Ce nom de Mohammad n'est point un patronyme (nom de la lignée paternelle)

Et s'il fut tant prisé par des princes ottomans

C'est qu'il les magnifiait moins en qualité d 'homme

Qu'en calife de Dieu dont ils sont les drogmans( terme identique au français truchement, et viendrait de l'arabe, pour désigner un traducteur)


Interprètes obligés d'une histoire sacrée

Dont la fête d'Aïd me fournit l'occasion

D'indiquer l'origine et l'impression que crée

Dans une âme candide l'authentique ascension



Au travers des prophètes ou d'aimables vaisseaux,

D'un Ciel vaste et profond, - qui ressemblent à un oeuf

Que l'Allemand dit Ei, et flottant sur les eaux!

Mais, vient ce Paradis où l'Amour se sent neuf,



La nostalgie d' Edin que l'on prononce Odin,

Que l'Iran a connu sous le nom d'Aladin (Eden dans l'Univers ou All)



Tel est la fin du mot, donnant lieu à la fête,

De Od, dit aussi Id, dont le fidèle attend

Sous sa coupole bleue que l'harmonie habite

De revoir les verdeurs, ses eaux que l'on entend



Dans le rythme allongé des prières sublimes

Que, bouche iranienne, tu conserves et tu aimes!



de Pierre Dortiguier

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