La patience face au malheur
*La patience face au malheur, c’est quand on est atteint par le malheur, tel que la mort, la perte de fortune, la perte d’un être cher ou bien d’un proche, ou bien une maladie et, etc.*
*La patience dans l’obéissance :* *c’est l’endurance dans la prière, le jeûne, le pèlerinage, le djihad et le paiement de l’aumône 1/5 (khums) et la zakat.*
*La patience dans l’obéissance :* *c’est l’endurance dans la prière, le jeûne, le pèlerinage, le djihad et le paiement de l’aumône 1/5 (khums) et la zakat.*
*Dans tous ces trois cas, lorsque les événements douloureux nous atteignent, ou lors de* *l’accomplissement des obligations divines ou face au péché, face tout cela, nous devons faire preuve d’endurance.*
*Les indices de la patience :*
*Il est rapporté du prophète sawas que :*
*« Les indices de la patience sont au nombre de trois :*
*Premièrement : ne pas fainéanter ;*
*Deuxièmement : ne pas se révolter ;*
*Troisièmement : ne pas se plaindre de son seigneur le Très-Haut parce que quand on fainéante, on perd son droit ; si on se révolte, on ne remerciera pas, et si on se plaint de son seigneur, on désobéit. »*
*Il est rapporté du prophète sawas que :*
*« Les indices de la patience sont au nombre de trois :*
*Premièrement : ne pas fainéanter ;*
*Deuxièmement : ne pas se révolter ;*
*Troisièmement : ne pas se plaindre de son seigneur le Très-Haut parce que quand on fainéante, on perd son droit ; si on se révolte, on ne remerciera pas, et si on se plaint de son seigneur, on désobéit. »*
*Muhammad ibn Ali ibn Hussein ibn Babaway Qomi, Ilal al-shara’, éd.* *Davari, Qom, 1385, v2, p.498.*
*IMAM ALI(as):
*La patience est double :*
*l’une face à ce que vous détestez*
*et l’autre devant ce qui vous séduit.*
*Nahjal al Balagha
*La patience est double :*
*l’une face à ce que vous détestez*
*et l’autre devant ce qui vous séduit.*
*Nahjal al Balagha