Toutes les larmes du monde
« Je verse cette larme, pour toi ô mon Houssein,
qui a donné ta vie, et celle de tes enfants,
ton sang qui a coulé, pour former nos sillons,
ta voix qui s'est levée, pour réveiller les hommes,
mais toutes les larmes du monde, toutes les larmes du monde,
pourront-elles à jamais, effacer nos chagrins.
Et j'aimerais te dire, te dire ô mon Houssein,
Ce peuple qui devait naître, pour pleurer sur ton nom,
Ce peuple de croyants, que tu voulais sauver,
Ce peuple est vivant, il n'a pas oublié,
Qu'un matin son héros, n'a pas tremblé devant,
Devant la cruauté de ceux qui ont voulu,
Changer sa religion, et celle de ces aïeux,
Changer tous les préceptes et la faire disparaître,
Remplacer les prières, par des plaisirs futiles,
Ces armées de tyrans, tu les a affrontés,
Et puis, tu es tombé, comme tombent les martyrs,
Tes yeux se sont fermés, tes yeux se sont fermés,
Et le vent a porté, ton nom jusqu'à mon cœur,
Et depuis chaque jour, chaque jour est Ashoura,
Chaque terre est Karbala, Ashoura, Karbala,
Ces mots rythment ma vie, et éclairent mon chemin,
Ces mots guident mes pas, et font que chaque jour,
Je me sens près de toi, je me sens près de toi,
Alors,
je verse cette larme, pour toi ô mon Houssein,
qui a donné ta vie, et celle de tes enfants,
ton sang qui a coulé, pour former nos sillons,
ta voix qui s'est levée, pour réveiller les hommes,
mais toutes les larmes du monde, toutes les larmes du monde,
pourront-elles à jamais, effacer nos chagrins. »
« Je verse cette larme, pour toi ô mon Houssein,
qui a donné ta vie, et celle de tes enfants,
ton sang qui a coulé, pour former nos sillons,
ta voix qui s'est levée, pour réveiller les hommes,
mais toutes les larmes du monde, toutes les larmes du monde,
pourront-elles à jamais, effacer nos chagrins.
Et j'aimerais te dire, te dire ô mon Houssein,
Ce peuple qui devait naître, pour pleurer sur ton nom,
Ce peuple de croyants, que tu voulais sauver,
Ce peuple est vivant, il n'a pas oublié,
Qu'un matin son héros, n'a pas tremblé devant,
Devant la cruauté de ceux qui ont voulu,
Changer sa religion, et celle de ces aïeux,
Changer tous les préceptes et la faire disparaître,
Remplacer les prières, par des plaisirs futiles,
Ces armées de tyrans, tu les a affrontés,
Et puis, tu es tombé, comme tombent les martyrs,
Tes yeux se sont fermés, tes yeux se sont fermés,
Et le vent a porté, ton nom jusqu'à mon cœur,
Et depuis chaque jour, chaque jour est Ashoura,
Chaque terre est Karbala, Ashoura, Karbala,
Ces mots rythment ma vie, et éclairent mon chemin,
Ces mots guident mes pas, et font que chaque jour,
Je me sens près de toi, je me sens près de toi,
Alors,
je verse cette larme, pour toi ô mon Houssein,
qui a donné ta vie, et celle de tes enfants,
ton sang qui a coulé, pour former nos sillons,
ta voix qui s'est levée, pour réveiller les hommes,
mais toutes les larmes du monde, toutes les larmes du monde,
pourront-elles à jamais, effacer nos chagrins. »
Habibi ya Houssein