Naissance bénie de Imam Ali as
Supplication de l’Imam Ali Ibn Abi Talib
Ô mon Dieu, prie sur Mohammad et la famille de Mohammad, accorde-moi Ta miséricorde si ma trace disparaît de ce monde, si mon souvenir auprès des créatures vient à s’effacer et si je fais partie des oubliés.
Ô mon Dieu, je suis devenu âgé, ma peau s’est amincie, mes os sont broyés, L’adversité m’a vaincu, ma fin est proche, mes jours sont finis, mes désirs sont épuisés alors que mes charges sont encore là.
Ô mon Dieu, accorde-moi Ta miséricorde si mon image a changé, mes charmes se sont effacés, mon corps s’est usé, mes articulation se sont disloquées et mes membres dispersés.
Ô mon Dieu, mes péchés m’ont suffoqué et m’ont coupé la parole, je n’ai ni argument ni excuse, je suis celui qui avoue son crime, celui qui reconnaît son méfait, je suis le prisonnier de mon péché, l’obligé de mon acte, le précipité dans les mers de ma faute, l’indécis dans mon, but.
Prie sur Mohammad et la famille de Mohammad, sois Miséricordieux envers moi par Ta miséricorde, et par Ton obligeance, renonce à moi.
Ô mon Dieu, si mon acte est insignifiant par rapport à l’obéissance que je Te dois, mon espoir est grand par rapport à la prière que je Te fais.
Ô mon Dieu, comment puis-je retourner de chez Toi déçu et privé, moi qui pensais que par Ta générosité, Tu me sauverais en me rendant digne de Ta clémence.
Ô mon Dieu, si je mentionne l’importance de mon crime face à l’immensité de Ton absolution.
Ô mon Dieu, si Ton terrible châtiment me convie au feu, à cause de mon péché, le bienfait de Ta récompense m’invite, par espérance, au paradis.
Ô mon Dieu, si les péchés m’éloignent des charmes de Ton amabilité, l’abondance de Ta bienveillance m’a fait oublier la certitude.
Ô mon Dieu, si la distraction de me préparer à Te rencontrer m’a endormi, la connaissance de Tes Grâces m’a réveillé.
Ô mon Dieu, par Ta grandeur et Ta Magnificence, si Tu me lies par les chaînes tous les jours et m’interdis de Te donner, parmi les créatures, si Tu m’empêches d’être avec les honorables, je ne peux rompre mon espérance en Toi ni détourner mon attente de Ton pardon.
Ô mon Dieu, si Tu ne m’as pas guidé vers l’Islam, je n’aurais pas été guidé, si Tu ne m’avais pas accordé la foi en Toi, je n’aurais pas eu la foi, si Tu n’avais pas libéré ma langue pour T’invoquer, je n’aurais pas invoqué, et si Tu ne m’avais pas montré la gravité de Ton châtiment, je n’aurais pas demandé le secours.
Ô mon Dieu, je T’ai obéi dans les choses que Tu aimes le plus, l’Unicité, et je ne T’ai pas désobéi dans les choses que Tu déteste le plus, la mécréance, pardonne moi ce qui se trouve entre les deux.
Ô mon Dieu, j’aime T’obéi même si je faillis en cela, je déteste Te désobéi même si je m’y noie, accorde moi le paradis même si je ne mérite pas, et délivré-moi du feu même si je le mérite.
Ô mon Dieu, un coeur rempli de Ton amour dans la demeure de la vie ici-bas, comment l’entoures-Tu du feu brûlant ?
Ô mon Dieu, une âme que j’ai raffermie par la force de la fois en Toi, comment l’humilies-Tu entre les couvercles de Ton feu ?
Ô mon Dieu, les adorateurs ont entendu à propos de l’abondance de Ta récompense et ils se sont abaissés, les ascètes ont entendu à propos de l’entendue de Ta miséricorde, ils ont été satisfaits, ceux qui se sont éloignés de Toi ont compris le propos de Ta générosité, ils sont retournés, les criminels ont entendu à propos de l’entendue de Ton absolution, ils ont été avides, et les croyants ont entendu à propos de Ton pardon généreux et le mérite de Tes bienfaits, ils les ont convoités, de telle sorte qu’à Ta porte, Ô mon Maître, se sont rassemble les bandes de désobéissants parmi Tes adorateurs, dont le vacarme de leurs invocation empressées s’élève vers Toi, caressant chacun l’espoir qui le conduit, dans le besoin, vers Toi, possédant chacun un cœur , excité, qu’il laisse battre de crainte que Tu ne le pousses. Tu es le Responsable devant Lequel les demandes ne sont pas repoussées.
Ô mon Dieu, si je me suis trompé dans la manière de considérer la dignité de mon âme, j’ai vu juste dans la manière de retrouver la sécurité en me réfugiant auprès de Toi.
Ô mon Dieu, si l’effort me fait défaut pour rechercher mon intérêt, Ta bonté ne me fait pas défaut quand il s’agit de mon bien.
Ô mon Dieu, si ma maigre provision me porte préjudice dans la route vers Toi, Tu l’as renfloué d’un surplus, amassé par le mérite d’avoir compté sur Toi.
Ô mon Dieu, si j’évoque Ta miséricorde, les faces d mes moyens se mettent à rire, et si j’évoque Ta colère, les yeux de mes demandes se mettent à pleurer.
Ô mon Dieu, je T’invoque comme ne peut le faire que celui qui n’espère, par son invocation, qu’en Toi, et je Te supplie comme ne peut le faire que celui qui ne vise, par sa supplication, que Toi.
Ô mon Dieu, comment réduire au silence la langue de mon humiliation alors que ma fin incertaine me rend anxieux.
Ô mon Dieu, si ce n’est l’ignorance de mon cas, je n’aurais pas exposé mes bévues, et si ce n’est le rappel de ma négligence, je n’aurais pas versé des larmes.
Ô mon Dieu, si Tu n’es Miséricordieux qu’envers ceux qui T’obéissent laborieusement, auprès de qui doivent se réfugier les négligents, si Tu n’acceptes que de la part des laborieux, vers qui doivent se tourner les insouciants, si Tu n’honores que les bienfaisants, que doivent faire alors les malfaisants, et si ne réussissent le jour du Rassemblement que les pieux, vers qui, doivent se tourner les criminels pour réclamer le secours ?
Ô mon Dieu, si ne traversent la voie juste que ceux dont l’innocence de leur acte le leur a autorisé, comment la traversent ceux qui ne Te demandent pas le pardon avant leur mort ?
Ô mon Dieu, accordes-nous Ta miséricorde lorsque devenus étrangers, les tréfonds de nos sépultures nous contiennent, que les briques des toits de nos maisons nous recouvrent, que nous dormons indigents de la foi dans nos tombes, lorsque nous sommes bondonnés solitaires dans les couches le plus étroites, que la mort nous assommes dans la plus étrange des arènes, et que nous semblons partager les demeures d’un peuple comme s’ils y habitaient, alors qu’elles en sont dénuées.
Ô mon Dieu, accorde-nous Ta miséricorde lorsque nous venons à Toi nus, pieds-noirs, nos têtes poussiéreuses de l’humidité des tombes, nos figures blafardes de la terre de nos tombes, nos regards baissés par l’effroi du jour du jugement, nos lèvres flétries par la force de la soif, nos ventres affamés par le long séjour, nos mauvais actes apparents aux yeux , nos dos chargés par les lourds péchés et nous-même occupés par ce qui est arrivé à nos familles et enfants, ne nous multiple pas les difficultés en détournant de nous Ton Honorable Visage.
Ô mon Dieu, si nous sommes criminels, nous pleurons d’avoir failli à nos devoirs envers Ta Sacralité, et si nous sommes démunis, nous pleurons car nous avons manqué Ta générosité que nous sollicitons.
Ô mon Dieu, si nous récitons, parmi Tes attributs, « Celui dont le châtiment est fort », nous nous mettons en colère, et si nous en récitons « Le Pardonneur le Clément », nous sommes contents, nous sommes entre deux, ni Ta Colère ne nous rassure, ni Ta Clémence ne nous désespère.
Ô , mon Dieu, si nos efforts ne parviennent pas à mériter Ton regard, ils ne manquent pas de repousser loin de nous Ta Revanche.
Ô mon Dieu, fais du présent de la lumière de Ta guidance que Tu nous as accordé, des degrés pour nous élever vers ce que Tu nous as fait connaître de Ta Miséricorde.
Ô mon Dieu, si Tu me fais souffrir, Tu fais souffrir un serviteur que Tu as créé pour ce que Tu veux, et si Tu es Miséricordieux envers moi, Tu l’es envers un serviteur que Tu as trouvé malfaisant, et que Tu as sauvé.
Ô mon Dieu, il n’y a nul moyen de se protéger du péché que par Ta Protection, ni d’arriver à faire le bien que par Ta volonté, comment puis-je me protéger de pécher si Ta Protection ne m’atteint pas.
Ô mon Dieu, si je ne mérite pas de solliciter de Ta miséricorde, Tu es Celui qui m’oblige par Ta générosité, le généreux ne fait pas le bien seulement à celui qui le mérite.
Ô mon Dieu, si je ne mérite pas de solliciter de Ta miséricorde, Tu es capable d’être Généreux, grâce à l’étendue de Ta miséricorde, envers les fautifs.
Ô mon Dieu, que mon désir de T e rencontrer est grand, que mon espérance de Ta récompense est grande. Tu es le Généreux dans Lequel l’espoir de ceux qui espèrent n’est pas déçu et le désir des désirants n’est pas évanoui.
Ô mon Dieu, Tu n’as cessé d’être bienfaisant envers moi au cours de mon existence, ne rompt pas cette bienveillance après mort.
Ô mon Dieu, mes péchés m’ont fait peur, et mon amour pour Toi m’a aidé, prends en charge ce qui est digne de Toi et accorde Ton bienfait à celui qui a été noyé par son ignorance, Toi à Qui rien n’échappe.
Ô mon Dieu, Tu m’as voilé des péchés dans ce monde, mais le besoin de les voiler le Jour Dernier, Ô Seigneur des mondes, est encore plus pressant.
Ô Toi le plus Bénéfique que l’invocateur invoque, le Meilleur supplié par celui supplie, par le droit de Mohammad et la famille de Mohammad, je T’implore et je me rapproche de Toi, prie sur Mohammad et la famille de Mohammad et exauce mes besoins, Ô Toi le plus Miséricordieux.
Supplication de l’Imam Ali Ibn Abi Talib
Ô mon Dieu, prie sur Mohammad et la famille de Mohammad, accorde-moi Ta miséricorde si ma trace disparaît de ce monde, si mon souvenir auprès des créatures vient à s’effacer et si je fais partie des oubliés.
Ô mon Dieu, je suis devenu âgé, ma peau s’est amincie, mes os sont broyés, L’adversité m’a vaincu, ma fin est proche, mes jours sont finis, mes désirs sont épuisés alors que mes charges sont encore là.
Ô mon Dieu, accorde-moi Ta miséricorde si mon image a changé, mes charmes se sont effacés, mon corps s’est usé, mes articulation se sont disloquées et mes membres dispersés.
Ô mon Dieu, mes péchés m’ont suffoqué et m’ont coupé la parole, je n’ai ni argument ni excuse, je suis celui qui avoue son crime, celui qui reconnaît son méfait, je suis le prisonnier de mon péché, l’obligé de mon acte, le précipité dans les mers de ma faute, l’indécis dans mon, but.
Prie sur Mohammad et la famille de Mohammad, sois Miséricordieux envers moi par Ta miséricorde, et par Ton obligeance, renonce à moi.
Ô mon Dieu, si mon acte est insignifiant par rapport à l’obéissance que je Te dois, mon espoir est grand par rapport à la prière que je Te fais.
Ô mon Dieu, comment puis-je retourner de chez Toi déçu et privé, moi qui pensais que par Ta générosité, Tu me sauverais en me rendant digne de Ta clémence.
Ô mon Dieu, si je mentionne l’importance de mon crime face à l’immensité de Ton absolution.
Ô mon Dieu, si Ton terrible châtiment me convie au feu, à cause de mon péché, le bienfait de Ta récompense m’invite, par espérance, au paradis.
Ô mon Dieu, si les péchés m’éloignent des charmes de Ton amabilité, l’abondance de Ta bienveillance m’a fait oublier la certitude.
Ô mon Dieu, si la distraction de me préparer à Te rencontrer m’a endormi, la connaissance de Tes Grâces m’a réveillé.
Ô mon Dieu, par Ta grandeur et Ta Magnificence, si Tu me lies par les chaînes tous les jours et m’interdis de Te donner, parmi les créatures, si Tu m’empêches d’être avec les honorables, je ne peux rompre mon espérance en Toi ni détourner mon attente de Ton pardon.
Ô mon Dieu, si Tu ne m’as pas guidé vers l’Islam, je n’aurais pas été guidé, si Tu ne m’avais pas accordé la foi en Toi, je n’aurais pas eu la foi, si Tu n’avais pas libéré ma langue pour T’invoquer, je n’aurais pas invoqué, et si Tu ne m’avais pas montré la gravité de Ton châtiment, je n’aurais pas demandé le secours.
Ô mon Dieu, je T’ai obéi dans les choses que Tu aimes le plus, l’Unicité, et je ne T’ai pas désobéi dans les choses que Tu déteste le plus, la mécréance, pardonne moi ce qui se trouve entre les deux.
Ô mon Dieu, j’aime T’obéi même si je faillis en cela, je déteste Te désobéi même si je m’y noie, accorde moi le paradis même si je ne mérite pas, et délivré-moi du feu même si je le mérite.
Ô mon Dieu, un coeur rempli de Ton amour dans la demeure de la vie ici-bas, comment l’entoures-Tu du feu brûlant ?
Ô mon Dieu, une âme que j’ai raffermie par la force de la fois en Toi, comment l’humilies-Tu entre les couvercles de Ton feu ?
Ô mon Dieu, les adorateurs ont entendu à propos de l’abondance de Ta récompense et ils se sont abaissés, les ascètes ont entendu à propos de l’entendue de Ta miséricorde, ils ont été satisfaits, ceux qui se sont éloignés de Toi ont compris le propos de Ta générosité, ils sont retournés, les criminels ont entendu à propos de l’entendue de Ton absolution, ils ont été avides, et les croyants ont entendu à propos de Ton pardon généreux et le mérite de Tes bienfaits, ils les ont convoités, de telle sorte qu’à Ta porte, Ô mon Maître, se sont rassemble les bandes de désobéissants parmi Tes adorateurs, dont le vacarme de leurs invocation empressées s’élève vers Toi, caressant chacun l’espoir qui le conduit, dans le besoin, vers Toi, possédant chacun un cœur , excité, qu’il laisse battre de crainte que Tu ne le pousses. Tu es le Responsable devant Lequel les demandes ne sont pas repoussées.
Ô mon Dieu, si je me suis trompé dans la manière de considérer la dignité de mon âme, j’ai vu juste dans la manière de retrouver la sécurité en me réfugiant auprès de Toi.
Ô mon Dieu, si l’effort me fait défaut pour rechercher mon intérêt, Ta bonté ne me fait pas défaut quand il s’agit de mon bien.
Ô mon Dieu, si ma maigre provision me porte préjudice dans la route vers Toi, Tu l’as renfloué d’un surplus, amassé par le mérite d’avoir compté sur Toi.
Ô mon Dieu, si j’évoque Ta miséricorde, les faces d mes moyens se mettent à rire, et si j’évoque Ta colère, les yeux de mes demandes se mettent à pleurer.
Ô mon Dieu, je T’invoque comme ne peut le faire que celui qui n’espère, par son invocation, qu’en Toi, et je Te supplie comme ne peut le faire que celui qui ne vise, par sa supplication, que Toi.
Ô mon Dieu, comment réduire au silence la langue de mon humiliation alors que ma fin incertaine me rend anxieux.
Ô mon Dieu, si ce n’est l’ignorance de mon cas, je n’aurais pas exposé mes bévues, et si ce n’est le rappel de ma négligence, je n’aurais pas versé des larmes.
Ô mon Dieu, si Tu n’es Miséricordieux qu’envers ceux qui T’obéissent laborieusement, auprès de qui doivent se réfugier les négligents, si Tu n’acceptes que de la part des laborieux, vers qui doivent se tourner les insouciants, si Tu n’honores que les bienfaisants, que doivent faire alors les malfaisants, et si ne réussissent le jour du Rassemblement que les pieux, vers qui, doivent se tourner les criminels pour réclamer le secours ?
Ô mon Dieu, si ne traversent la voie juste que ceux dont l’innocence de leur acte le leur a autorisé, comment la traversent ceux qui ne Te demandent pas le pardon avant leur mort ?
Ô mon Dieu, accordes-nous Ta miséricorde lorsque devenus étrangers, les tréfonds de nos sépultures nous contiennent, que les briques des toits de nos maisons nous recouvrent, que nous dormons indigents de la foi dans nos tombes, lorsque nous sommes bondonnés solitaires dans les couches le plus étroites, que la mort nous assommes dans la plus étrange des arènes, et que nous semblons partager les demeures d’un peuple comme s’ils y habitaient, alors qu’elles en sont dénuées.
Ô mon Dieu, accorde-nous Ta miséricorde lorsque nous venons à Toi nus, pieds-noirs, nos têtes poussiéreuses de l’humidité des tombes, nos figures blafardes de la terre de nos tombes, nos regards baissés par l’effroi du jour du jugement, nos lèvres flétries par la force de la soif, nos ventres affamés par le long séjour, nos mauvais actes apparents aux yeux , nos dos chargés par les lourds péchés et nous-même occupés par ce qui est arrivé à nos familles et enfants, ne nous multiple pas les difficultés en détournant de nous Ton Honorable Visage.
Ô mon Dieu, si nous sommes criminels, nous pleurons d’avoir failli à nos devoirs envers Ta Sacralité, et si nous sommes démunis, nous pleurons car nous avons manqué Ta générosité que nous sollicitons.
Ô mon Dieu, si nous récitons, parmi Tes attributs, « Celui dont le châtiment est fort », nous nous mettons en colère, et si nous en récitons « Le Pardonneur le Clément », nous sommes contents, nous sommes entre deux, ni Ta Colère ne nous rassure, ni Ta Clémence ne nous désespère.
Ô , mon Dieu, si nos efforts ne parviennent pas à mériter Ton regard, ils ne manquent pas de repousser loin de nous Ta Revanche.
Ô mon Dieu, fais du présent de la lumière de Ta guidance que Tu nous as accordé, des degrés pour nous élever vers ce que Tu nous as fait connaître de Ta Miséricorde.
Ô mon Dieu, si Tu me fais souffrir, Tu fais souffrir un serviteur que Tu as créé pour ce que Tu veux, et si Tu es Miséricordieux envers moi, Tu l’es envers un serviteur que Tu as trouvé malfaisant, et que Tu as sauvé.
Ô mon Dieu, il n’y a nul moyen de se protéger du péché que par Ta Protection, ni d’arriver à faire le bien que par Ta volonté, comment puis-je me protéger de pécher si Ta Protection ne m’atteint pas.
Ô mon Dieu, si je ne mérite pas de solliciter de Ta miséricorde, Tu es Celui qui m’oblige par Ta générosité, le généreux ne fait pas le bien seulement à celui qui le mérite.
Ô mon Dieu, si je ne mérite pas de solliciter de Ta miséricorde, Tu es capable d’être Généreux, grâce à l’étendue de Ta miséricorde, envers les fautifs.
Ô mon Dieu, que mon désir de T e rencontrer est grand, que mon espérance de Ta récompense est grande. Tu es le Généreux dans Lequel l’espoir de ceux qui espèrent n’est pas déçu et le désir des désirants n’est pas évanoui.
Ô mon Dieu, Tu n’as cessé d’être bienfaisant envers moi au cours de mon existence, ne rompt pas cette bienveillance après mort.
Ô mon Dieu, mes péchés m’ont fait peur, et mon amour pour Toi m’a aidé, prends en charge ce qui est digne de Toi et accorde Ton bienfait à celui qui a été noyé par son ignorance, Toi à Qui rien n’échappe.
Ô mon Dieu, Tu m’as voilé des péchés dans ce monde, mais le besoin de les voiler le Jour Dernier, Ô Seigneur des mondes, est encore plus pressant.
Ô Toi le plus Bénéfique que l’invocateur invoque, le Meilleur supplié par celui supplie, par le droit de Mohammad et la famille de Mohammad, je T’implore et je me rapproche de Toi, prie sur Mohammad et la famille de Mohammad et exauce mes besoins, Ô Toi le plus Miséricordieux.
Extrait de AlMareef .