la fête du Sacrifice: Al-Adh-hâ
La nuit du 9 au 10 du mois
C’est une nuit béni et l’une des quatre nuits qu’il est recommandé veiller en adoration et pendant lesquelles les portes du ciel s’ouvrent.
Le 10e jour
C’est le jour de la fête du Sacrifice (al-Adh-hâ) et c’est un jour de très grand mérite.
Les actes à accomlir en ce jour béni :
1- Le ghusl, lequel constitue une sunnah confirmée; certains uléma l’ont considéré même comme une obligation.
2- Accomplir la Prière du ‘Eïd, de la même façon que celle de la Fête de Ramdhân, à cette différence près qu’ici on prend le petit-déjeuner après la Prière du ‘Eîd ; et il est préférable qu’on magne de la viande de la bête égorgée dans le petit-déjeuner.
3- La lecture du Du‘â’ al-Nudbah
4- Lire les du‘â’ prescrits
5- Le sacrifice (égorger une bête), lequel est une sunnah confirmée (sunnah mu’akkadah)
Il est Sunnah pour la personne qui sacrifie de manger une partie de la viande de la bête sacrifiée d’en distribuer aux proches de la famille et aux voisins, et d’en faire aumône d’une partie aux pauvres.
6- Commencer à réciter après la Prière du midi les takbîr suivants prescrits:
« Allâhu akbaru, Allâhu akbaru, lâ ilâha illâ-llâhu wa-llâhu akbaru; Allâhu akbaru, Allâhu akbaru wa lillâh-il-hamdu; Allâhu akbaru ‘alâ mâ hadânâ, Allâhu akbaru ‘alâ mâ razaqanâ min bahîmat-il-a‘âmi, wa-l-hamdu lillâhi ‘alâ mâ ablânâ »
اللهُ اَكْبَرُ اللهُ اَكْبَرُ لا اِلـهَ اِلاَّ اللهُ وَاللهُ اَكْبَرُ، اللهُ اَكْبَرُاللهُ اَكْبَرُ وللهِ الْحَمْدُ، اللهُ اَكْبَرُ عَلى ما هَدانا، اَللهُ اَكْبَرُ عَلى ما رَزَقَنا مِنْ بَهيمَةِ الاَنْعامِ، وَالْحَمْدُ للهِ عَلى ما اَبْلانا
(Allah est le Plus-Grand, Allah est le Plus-Grand, il n’y a de Dieu qu’Allah ! Allah est le Plus-Grand, Allah est le Plus-Grand, et louanges à Allah! Allah est le Plus-Grand pour nous avoir guidés, Allah est le Plus-Grand pour la bête des bestiaux qu’Il nous a donnée et louanges à Allah pour l’épreuve à laquelle Il nous a soumis)
Il est recommandé de répéter la récitation de ces takbîr autant de fois possible après les Prières obligatoires et même après les nawâfil (les Prières surérogatoires).