تقي زاده

تقي زاده

Partie(2)
*Pour information :*

*En dehors de verset/signe d’autres sens purement linguistiques découlent de la racine de base de âya, voir pour les détails :*
*- La préciosité : Dans l’arabe ancien, lorsqu’on levait le camp, les gens ne reprenaient avec eux que leurs affaires personnelles, les plus importantes :* *ayâtoehoem.*
*- Une question : On utilise en arabe cette courte formulation pour poser une question. Allah répète souvent des questions telles que “ Ne vous rappelez-vous pas?”, “Pourquoi ne réfléchissez-vous pas ?”.*
*- Une direction : Tout ce qui est cité par Allah sous le terme de âya, toute la Création, est un Signe qui pointe vers Allah, Le Seigneur des Mondes, pour que l’on se rappelle de Lui.*
*- La forme exclamative :  C’est en arabe la formulation pour exprimer son étonnement, sa surprise. Une âya est quelque chose de grandiose qui pousse à l’émerveillement.*
*-  L’attention : Le mot âya vient de la racine arabe utilisée pour interpeller quelqu’un. Par exemple : Ô toi ! Ainsi une âya est là pour attirer notre attention et nous garder vif, en éveil.*
*-  Affirmation avec certitude : Une Ayat est aussi une racine qui a donné la forme affirmative utilisée pour dire que l’on est certain. Cette fois, une Ayat est là pour nous apporter des preuves, 
 

*Qu’est-ce qu’une ayat dans le Coran ? Ce mot souvent traduit par verset, verset coranique, peut-il être réduit à cette simple idée de mesure du Livre d’Allah? C’est la question que nous allons essayer de traiter dans ce texte afin de mieux cerner ce que fait la particularité de ce mot à travers le Coran, qui, rappelons-nous le toujours, n’est pas n’importe quel texte mais la Parole d’Allah.*

*Une Ayat : un verset, une phrase ? Aucun des deux*

*Une Ayat est l’unité de mesure, si l’on peut dire ainsi, du Coran qui regroupée avec plusieurs autres Ayat constituent une autre unité de mesure qui est la Sourate. Pourtant l’on ne peut clairement traduire ce terme dans une autre langue.*

*En effet, étant donné que le Coran est La Parole d’Allah et celui-ci ne ressemble à aucun autre texte de littérature, car Allah, à Lui La Gloire et La Majesté, a son propre standard lorsqu’Il s’exprime.*

*Un texte de littérature s’organise, en général, en phrases, puis en paragraphes, en chapitres, pour former un tout dont l’appellation changera selon le genre voulu. Un poème, quand à lui, suivra une organisation particulière en vers, puis strophes, mais le Coran, lui, a ses propres codes qui ne ressemblent à aucun autre texte.*

*Ainsi le mot Ayat non plus, ne peut être traduit correctement sans risquer de réduire sa compréhension car on n’en saisit pas bien l’essence.*

*Voici quelques exemples pour illustrer l’erreur à traduire une ayat par un verset ou une phrase :*

*Dans la sourate Ar Rahman les Ayats 1 et 2, Allah, à Lui La Gloire et La Majesté dit :*

*Le Tout-Miséricordieux*
*(Il) a enseigné le Coran*
*Dans une phrase typique nous trouvons le sujet suivi par le verbe et éventuellement le complément. Ici, Allah a présenté le sujet (Lui-même) dans une ayat. Puis le fait qu’il a enseigné le Coran, dans la seconde Ayat. Nous avons donc 2 ayat pour ce qui est une phrase.*

*Il les a séparé car Il instaure son discours avec un style et une science qui nous échappe. On voit bien qu’un seul nom ou mot peut être une Ayat. Tout comme 9 phrases entières à la suite peuvent constituer une seule et unique Ayat, comme l’illustre l’exemple de Ayat Al Kursi, Ayat 255 de la Sourate Al Baqarah :*

*« Allah ! Point de divinité à part Lui, le Vivant, Celui qui subsiste par lui-même:* *« Al-Qayyûm. » Ni somnolence ni sommeil ne Le saisissent. A Lui appartient tout ce qui est dans les cieux et sur la terre. Qui peut intercéder auprès de Lui sans Sa permission ? Il connaît leur passé et leur futur. Et, de Sa science, ils n’embrassent que ce qu’Il veut. Son: Trône « Kursiy », déborde les cieux et la terre, dont la garde ne Lui coûte aucune peine. Et Il est le Très Haut, le Très Grand.*

*Appeler une Ayat une phrase est donc une erreur.*

*Dans la Ayat 41 de la Sourate 69 Haqqah, Allah nous révèle que Sa Parole que le prophète nous récite n’est pas la parole d’un poète…comment lui assigner des termes propres à la poésie alors que Dieu nous apprend que ce n’en est pas ?*

*« et que ce n’est pas la parole d’un poète; mais vous ne croyez que très peu”*

*Traduire Ayat par verset est donc “injuste”, irrespectueux vis-à-vis de notre Seigneur. WaLaho a’lem*

*Mais alors qu’est-ce qu’Allah appelle une Ayat ?*

Dr Shomali
À suivre....
mardi, 29 juin 2021 16:12

LES AYAT / SIGNES D'ALLAH

Partie(1) 
*‘Aya’, ‘verset’/’signe’ et son pluriel ‘âyât’ est un des mots les plus utilisés dans le Coran. Mais son sens est très difficile à saisir.*
*Une âya/verset constitue aussi une unité de mesure dans le Livre, et sera alors traduit par ‘verset’. Mais sa ‘mesure’ embrasse aussi les autres aspects de la création.*
*Les deux traductions selon le contexte ‘verset’ et ‘signe’ se répondent donc. Le concept de ‘signe’ dans la modernité est beaucoup trop pauvre pour rendre compte de la signification du concept dans le Coran. Il s’agit d’un signe/preuve avec valeur symbolique renvoyant à la Toute-Puissance divine.*

*Dans sourate Yâsîn (considérée comme le cœur du Coran), le mot âyat (ici traduit par ‘preuve’) introduit le verset 33. Par la suite il reviendra quatre fois :*

*« 33. Une preuve (âyat) pour eux est la terre morte, à laquelle Nous redonnons la vie, et d'où Nous faisons sortir des grains dont ils mangent. » (36)*

*« La terre morte » invite l’être humain à la regarder, mais d’un regard qui comprend comment le Créateur transforme cette terre pour qu’elle produise non seulement sa nourriture, mais la propre création de l’être humain. Il ne s’agit donc pas d’une perception simple ; elle doit se remplir de la foi.*

*« 36. Louange à Celui qui a créé tous les couples de ce que la terre fait pousser, d'eux-mêmes, et de ce qu'ils ne savent pas! »*
*______________________*
*Et puis il y a les cycles macrocosmiques :*

*« 37. Et une preuve (âyat) pour eux est la nuit. Nous en écorchons le jour et ils sont alors dans les ténèbres.*
*38. et le soleil court vers un gîte qui lui est assigné; telle est la détermination du Tout-Puissant, de l'Omniscient. »*
*_______
*Mais :*
*« 46. Or, pas une preuve (âyat) ne leur vient, parmi les preuves (âyât) de leur Seigneur sans qu'ils ne s'en détournent. »*

*C’est que l’être humain est incapable au départ d’affronter la splendeur éblouissante de ces signes/âyât. Ils nous présentent bien un immense récit macrocosmique et insistent indirectement sur la nécessité de la guidance et l’apprentissage spirituel. Âyât et ‘qasas’/récit se répondent. Un bel exemple est la sourate Yousouf : de récit de ce dernier avec ses frères est une ‘âya’. L’on voit le même lien dans la quatrième occurrence de ‘âya’ dans sourate Yâsin :*

*« 41. Et un (autre) signe (âya) pour eux est que Nous avons transporté leur descendance sur le bateau chargé. » (36)*

*L’être humain est obligé de ‘regarder’, de ‘percevoir’, de ‘déchiffrer’ qu’il le veuille ou non les signes déposés par le Créateur dans Sa création, en comprendre le récit ultime. La nature de l’homme, pour autant qu’il est ‘voyant/déchiffrant/lecteur’, le détermine à observer ce qu’il y a autour de lui. Mais la compréhension des âyât prend du temps, et demande une guidance.*

*Le concept de ‘âya/signe’ est fondamental dans la compréhension du Coran. A la suite de de Saussure, il doit permettre une discussion intéressante avec le concept de ‘signe’ dans la linguistique moderne.*

Nous essaierons d’étudier certains aspects de la prière et du jeûne afin de nous aider à mieux apprécier ces deux cadeaux ? ? de la part d’Allah (swt).

La prière est une grande bénédiction d’Allah (swt) et elle est remplie de significations profondes. La façon dont elle est désignée est un chef d’œuvre. Il ne s’agit pas seulement de prononcer quelques mots. C’est un mélange de pensées, paroles et actions. À cela s’ajoute les horaires et quelques aspects sociaux. C’est un tout qu’Allah (swt) nous a offert en disant : 
« Si vous voulez vous souvenir de Moi, voici la meilleure forme de rappel pour votre propre avantage. » 

À trois endroits dans le Qur’an ?, Allah (swt) nous dit que si nous voulons avoir de l’assistance et du soutien, nous devrions prier et être patient.

Dans le verset 45 de la Sourate Baqarah, Il dit : « Et cherchez secours dans l'endurance et la salat : certes, la salat est une lourde obligation, sauf pour les humbles. » Parfois, nous faisons face à des défis et nous ressentons que nous avons besoin d’aide.
De nombreux hadiths disent que la patience se réfère ici au jeûne. Cela ne veut bien sûr pas dire que la seule forme de patience dont il est question ici est le jeûne mais il est vrai que le jeûne nous aide à renforcer notre patience. Jeûner est sans aucun doute inclus dans la patience.

Les Oulamas expliquent que vous avez besoin de deux choses :
- Votre propre confiance et intégrité ; votre courage
- Vous connecter à Allah (swt) comme source de Pouvoir

Dans la psychologie moderne, on parle toujours du fait que vous devez compter sur vous, avoir votre estime de soi, vous aimer et compter sur vous-même et personne d’autre.

Mais l’Islam nous propose un équilibre. L’Islam dit que vous devez avoir une personnalité forte, vous devez être courageux, vous devez vous faire confiance mais pas de sorte à ce que vous oubliiez Allah (swt). Vous devez être à la fois brave et comprendre votre besoin d’Allah (swt).

Qui était plus fort que le Prophète Mouhammad (s) ? Personne ! Ce seul homme s’est soulevé face à sa nation toute entière. Les gens ont tout fait pour l’intimider ou alors pour le soudoyer pour qu’il abandonne sa mission. Vous savez qu’Abou Soufiyane et d’autres leaders des Qouraysh sont allés voir H. Abou Talib pour lui dire : « Dites à votre neveu que nous sommes prêts à lui donner tout ce qu’il veut. » Et quand H. Abou Talib a transmis leur message au Prophète (s), il a répondu : « S’ils me donnent le soleil ? dans une main et la lune ? dans l’autre, je n’abandonnerai pas ! »
Notre Prophète (s) était un homme si fort et pourtant, il était si humble devant Allah (swt) et les créatures d’Allah (swt).
Ainsi, nous pensons que la force de la personnalité a besoin d’être connectée à Allah (swt).
Donc, nous devons avoir la patience et la persévérance (pour ne pas abandonner en temps de difficultés) et nous tourner vers notre Seigneur.

Le verset dit : « Et c’est très difficile, sauf pour ceux qui sont humbles ».
Selon Allama Tabatabai dans Tafssir-e-Mizaan, il s’agit ici de la salah. Ainsi, Allah (swt) dit que prier nécessite de l’humilité.
Et Marhoum Dastaghaib a écrit un livre ? intitulé Salat al-Khashi’eene, La prière de ceux qui sont humbles. Il est facile d’accomplir ses prières mais accomplir ses prières d’une façon qu’elles vous apportent du soutien et de l’aide est autre chose ! Peut-être que certains d’entre nous accomplissons nos prières tel un exercice physique, comme une routine. Mais nous ne sommes pas supposés faire ainsi. Chaque cas de prière est unique.

Ne pensez pas que cette prière arrivera encore et encore ! Chaque prière est comme une nouvelle personne que vous rencontrez. Et vous n’allez pas rencontrer de nouveau cette personne. Si je rencontrais une personne une seule fois dans ma vie, que ferais-je ? Je ferais très attention et j’essaierais de la rencontrer de la meilleure façon. C’est ma seule chance. Je ne pourrais pas la rencontrer de nouveau et lui dire : « Désolé(e), la dernière fois, je n’étais pas attentionné(e) ! Désolé(e), la dernière fois, j’étais trop occupé(e) ! » Il n’y a pas de seconde chance !...
 

Notre Saint Prophète Mouhammad (s) disait : « Ma joie se trouve dans la prière. »
Quand l’heure de la prière approchait, le Prophète (s) n’était pas dans un état normal. Il était inquiet. Il était comme une personne affamée à l’approche de l’heure du dîner. ? Mais le Prophète (s) disait que la différence entre un affamé/assoiffé et lui était qu’une personne affamée n’a plus faim après avoir mangé. Il accomplissait ses prières mais une fois que ses prières étaient faites, il était toujours assoiffé. À l’heure de la prière, il disait à Bilal : « Ô Bilal, apportez-nous du réconfort ! » Et quel était ce réconfort ? L’appel à la prière, l’adhan ! ? C’est comme quand vous dites : « Svp, emmenez la nourriture ? ? ! » quand vous avez très faim.

Notre Prophète (s) se rappelait constamment Allah (swt). Et pourtant, ses sentiments pendant la salah ou avant et après la salah étaient différents. Donc même s’il ressentait toujours qu’il était en présence d’Allah (swt), la salah était quelque chose de différent pour lui. C’était unique !
Qui peut avoir cette compréhension de la salah ? Les personnes qui sont humbles. Les personnes qui n’ont pas d’arrogance. Ce sont ces gens qui peuvent avoir ce soutien, cette aide de la salah.

*Dr Shomali, Les secrets de la prière et du jeûne*

A suivre ..
 
À l’occasion de la naissance de l’enfant: Walimah, Aqiqah
 
Walimah?

C’est le fait de nourrir les croyants à l’occasion de la naissance de l’enfant. Il est fortement recommandé d’inviter la famille et les amis le septième jour après la naissance de l’enfant (ou le plus proche possible de ce jour) pour partager cette grande occasion qu’est la naissance d’un nouveau-né.

On rapporte du Prophète (SAWW) : « Un Walimah organisé le premier jour est un devoir, le deuxième jour, c’est bien, et le troisième jour, Riya (c’est-à-dire qu’il est organisé pour le plaisir des autres personnes et non pour le plaisir d’Allah et c'est de trop). »

Il est Makrouh que tous les invités soient riches, mais un mélange de gens riches et pauvres ne pose pas de problème. Il est également Moustahab(conseillé) pour les convives d’accepter l’invitation au Walimah.
 
 
L’importance de faire l’Aqiqah

On rapporte que la vie d’un enfant est liée à l’Aqiqah et ne pas l’effectuer expose l’enfant à des tourments et à la mort. S’il est retardé, il est Sounnah pour le père de le faire jusqu’à ce que l’enfant devienne Baligh, et ensuite c’est Sounnah pour l’enfant lui-même de s’en acquitter.

On rapporte d’Imam as-Sadiq (AS) que l’Aqiqah est nécessaire pour toute personne riche ; si la personne est pauvre, elle doit le faire une fois qu’elle aura assez d’argent, mais si elle ne parvient pas à obtenir assez d’argent, alors, ce n’est pas grave (elle peut y renoncer). Si la personne n’a pas fait d’Aqiqah mais qu’il a fait un sacrifice (Qourbani), cela suffira.

On rapporte que quelqu’un demanda à Imam as-Sadiq (AS) : « Nous avons fait une demande pour un mouton pour Aqiqah mais nous n’arrivons pas à en obtenir un, qu’est-ce que vous suggérez ? Devrions-nous donner le montant d’un mouton comme Sadaqah à la place ? » Imam répondit : « Non, demandez jusqu’à ce que vous en obteniez un car Allah (SWT) aime que l’on nourrisse (les autres)… »

Oumar ibn Yazid rapporte qu’il demanda à Imam as-Sadiq (AS) : « Je ne sais pas si mon père a fait mon Aqiqah ou pas ». Imam répondit : « Fais-le » et il fit donc son Aqiqah à un âge avancé.

Dans une autre Tradition, on rapporte que quelqu’un demanda à Imam as-Sadiq (AS) si l’Aqiqah doit être fait même si l’enfant meurt le septième jour. Imam répondit que si l’enfant meurt avant Zohr, l’Aqiqah n’est pas nécessaire, mais si l’enfant meurt après Zohr, faire l’Aqiqah.
 
 
Quel animal doit être sacrifié ?

Les Oulémas s’accordent à dire que l’Aqiqah doit être un mouton, un chameau ou une chèvre et que l’Aqiqah d’un garçon doit être un animal mâle et l’Aqiqah d’une fille doit être un animal femelle.

Si c’est un chameau, il doit avoir 5 ans ou plus. Si c’est une chèvre, elle doit avoir 1 an ou plus. Si c’est un mouton, il doit avoir au moins 6 mois et il est préférable que le septième mois soit écoulé. Ses testicules ne doivent pas être coupés et il est préférable qu’ils ne soient pas écrasés non plus. Sa corne ne doit pas être cassée (de telle manière qu’il saigne) et ses oreilles ne doivent pas être coupées. Il ne doit pas être trop mince ni aveugle et ne doit pas être boiteux au point de se déplacer avec difficulté.

Cependant, il est important de noter qu’Imam as-Sadiq (AS) a dit que l’Aqiqah ne correspond pas au sacrifice (Qourbani) qui répond à des critères beaucoup plus stricts sur le type d’animal qui peut être sacrifié. Donc, s’il n’est pas possible que les critères ci-dessus soient respectés, n’importe quel mouton fera l’affaire et plus gros il est, mieux c’est.
 
 
Affirmant que l'Iran a décidé de devenir l'un des meilleurs au monde dans tous les domaines, le commandant en chef du Corps des gardiens de la révolution islamique a déclaré que l'Iran est l'un des meilleurs dans la construction de drones.
"Ceux qui parlent de liberté et de droits de l'homme veulent que nos enfants soient laissés sans nourriture et sans médicaments. Leur plan pour notre nation est la faim, la pauvreté et la maladie, et c'est pourquoi ils ne permettent pas à notre nation d'avoir des échanges financiers avec le monde", a déclaré le major général Hossein Salami dimanche lors de la cérémonie de dévoilement du vaccin "Noora".

"Mais nous sommes une grande nation qui a été capable de créer de grandes surprises malgré les nombreuses sanctions", a-t-il ajouté.

"Nous avons décidé d'être l'un des meilleurs au monde dans tous les domaines, nous lançons des satellites, et nous sommes l'un des meilleurs dans la construction de drones. Nous excellons dans divers domaines. Dans le domaine de la fabrication de vaccins, plusieurs vaccins ont été produits dans notre pays, et peut-être avons-nous autant de diversité dans la production de vaccins que le nombre de pays producteurs", a déclaré M. Salami.

Faisant référence à l'utilisation du vaccin iranien par le Leader de la Révolution islamique, il a ajouté : "Comme c'est excitant et plein d'espoir de voir ces scènes. Nous mettons ces vaccins à la disposition de toutes les nations du monde."

Le vaccin "Noora" produit par l'Université des sciences médicales de Baqiyatallah pour lutter contre la pandémie de Covid-19 a été dévoilé lors d'une cérémonie dimanche. Le vaccin Noora a atteint le stade de l'essai clinique après 16 mois de travaux de recherche menés par des scientifiques iraniens.

A peine 10 jours après le sommet de Genève où Biden a promis à Poutine de ne plus toucher à l'Ukraine à condition que la Russie accepte de travailler avec les USA en Syrie, c'est-à-dire à en tolérer la présence dans le nord est, voire à l'est où les Yankee continuent à pomper le pétrole, les céréales, à réprimer dans le sang  les tribus , à alimenter à partir de deux des 33 bases illégales en Syrie, à savoir al Tanf et Hassaké, un trafic aéro-blindé de terroristes en direction de Homs mais aussi de l'Irak, le compromis a du plombe dans l'aile : côté russe des choses, la soi-disant volonté US de ne plus attiser les velléités anti russes de Kiev a été contrebalancé par cet espèce de fol aventurisme de sa Majesté qui a poussé la Royal Navy d'aller violer les eaux de la Crimée qu'elle dit appartenir à l'Ukraine par HMS Defender interposé à bord duquel se trouvaient des commandos marins russes et ukrainiens. D'ailleurs Londres a affiché un mépris total quand Moscou a convoqué son ambassadeur après avoir ouvert le feu sur son navire de guerre et accusé le ministre britannique de la Défense d'avoir ordonné en personne cette suprême provocation en mer Noire.

En Syrie, ce n'est pas seulement les MiG-31K et leurs missiles aéro-balistiques Kinzhal russes déployés sur la base aérienne de Hmeimim qui inquiète Israël, mais 2 à 4 missiles hypersoniques qui débarqueraient droit sur la base russe où le CGRI voire le Hezbollah tiennent des stands et cette proximité Résistance/technologie hypersonique russe, c'est déjà un réel sujet de préoccupation surtout quand on sait comment cette base accueille depuis près d'un an les vols militaires iraniens à destination de la Syrie, ou comment les avions russes qui y sont stationnés tiennent même à escorter de temps à autre le transit d'armes aériennes Iran-Armée syrienne entre Lattaquié et Deir ez-Zor et ce, évidemment afin de contrer les raids aux missiles air-air israéliens.