si le doute est lié à l'accomplissement du ghusl (on ne sait pas si on a accomplit le ghusl ou non): on est tenu d'accomplir le ghusl.*
*Mais si ledit doute survient après qu'on ait accompli une prière accomplie, celle-ci demeure valable et on est tenu de faire le ghusl pour accomplir le reste des prières.*
*- si le doute est lié à la validité du ghusl (on ne sait pas s'il a été accomplit de façon correcte ou non):*
*il y a deux possibilités, à savoir :
1- le doute survient à l'issue du ghusl :*
*on considère que le ghusl est correct et on ne fait pas attention au doute.*
*2- le doute survient pendant le ghusl (avant de le mener à terme):*
*- le doute est lié au lavage de la partie droite :*
*1- si on a déjà entamé le lavage de la partie gauche, on ne devra pas faire attention audit doute.*
*2- si on n'a pas encore entamé le lavage de la partie gauche , on est tenu de laver d'abord la partie qui est l'objet du doute et la partie gauche.*
*- le doute est lié au lavage de la tête du cou :*
*1- si on a déjà entamé le lavage de la partie droite , on ne fait pas attention au doute.*
*2- si on n'a pas encore entamé le lavage de la partie droite, on est tenu de laver d'abord la tête et le cou , ensuite la partie droite et enfin la partie gauche.*
*- la partie du corps qui suscite le doute est externe ou interne (tel le trou de la bouche d'oreille): on n'est pas tenu de la laver.*
*- On doute pendant le ghusl qu'il y a présence ou non d'un obstacle qui empêche l'eau d'atteindre l'épiderme :*
*si c'est une probabilité rationnellement admise , on est tenu de vérifier sinon rien du tout.*