Le ministre israélien de l'Immigration a appelé les juifs résidant en France à émigrer en Israël après la profanation d'un cimetière juif dans le nord-est de la France. Dans la foulée, Emmanuel Macron a promis «des actes» et «des lois» pour «punir».
Le ministre israélien a également fait savoir qu'il avait rendu visite la semaine passée à la communauté juive de Paris et que, selon lui, celle-ci faisait face à une «offensive antisémite et au processus d'assimilation».
Présent sur place Emmanuel Macron promet «des actes» et «des lois»
Alors que le président français, Emmanuel Macron, s'est rendu sur place dans la journée –accompagné du Grand rabbin de France, Haïm Korsia, et portant la kippa – pour se recueillir devant plusieurs tombes, il a promis «des actes» et «des lois» pour «punir».
Après la profanation du cimetière de Quatzenheim, le parquet de Strasbourg, compétent dans cette affaire, a déclaré ouvrir une «enquête de flagrance» confiée à la section de recherches (SR) de la gendarmerie de la capitale alsacienne. Selon un photographe de l'AFP, les tombes avaient été marquées de croix gammées bleues et jaunes. Une sépulture portait également l'inscription «Elsassisches Schwarzen Wolfe» («Les loups noirs alsaciens»), possible référence à un groupe autonomiste alsacien actif dans les années 1970.
Présent sur place Emmanuel Macron promet «des actes» et «des lois»
Alors que le président français, Emmanuel Macron, s'est rendu sur place dans la journée –accompagné du Grand rabbin de France, Haïm Korsia, et portant la kippa – pour se recueillir devant plusieurs tombes, il a promis «des actes» et «des lois» pour «punir».
Après la profanation du cimetière de Quatzenheim, le parquet de Strasbourg, compétent dans cette affaire, a déclaré ouvrir une «enquête de flagrance» confiée à la section de recherches (SR) de la gendarmerie de la capitale alsacienne. Selon un photographe de l'AFP, les tombes avaient été marquées de croix gammées bleues et jaunes. Une sépulture portait également l'inscription «Elsassisches Schwarzen Wolfe» («Les loups noirs alsaciens»), possible référence à un groupe autonomiste alsacien actif dans les années 1970.