Les médias chinois suivent avec une extrême sensibilité les évolutions de combats à Idlib et à raison : Quelques 18 000 terroristes qaïistes d'origine chinoise seraient engagés dans ces combats à titre de supplétifs de l'armée turque, et ils font partie des mercenaires les plus coriaces. Basés dans le village Zanbaki sur les frontières avec la Turquie, ces qaïdistes qui parlent turc et pas chinois refusent catégoriquement de regagner la Chine.