Le CGRI saurait parfaitement changer les rapports de force au Moyen-Orient après plus de 40 ans d'ingérence US. Le commandant en chef du Corps des gardiens de la Révolution islamique, le général de division Hossein Salami l'a exprimé mardi au cours d'un discours tenu devant les étudiants de l'université polytechnique de Téhéran.
Les missiles balistiques iraniens sont parfaitement capables de frapper des porte-avions américains, ce qui changera radicalement le rapport de force au Moyen-Orient », a souligné le général iranien avant de préciser qu'il s'agit là d'une "technologie que l'Iran maîtrise depuis 12 ans".
La Russie a exhorté les États-Unis à renoncer à leurs projets « provocateurs » consistant à déployer davantage de troupes au Moyen-Orient.
« Ces missiles peuvent frapper en mer avec une grande précision. Ils sont de fabrication locale et difficiles à intercepter ou à toucher à l'aide d'autres missiles», a-t-il affirmé.
« Il y a douze ans, le fait d'atteindre des cibles en mer s'est posé à nous. Mais avec des missiles de croisière il était bien difficile de réaliser cet objectif car ces missiles sont vulnérables en raison de leur vitesse et de leur trajectoire proche du sol. Mais les choses ont littéralement changé avec la conception des missiles balistiques, lesquels atteignent leur cible à une vitesse plusieurs fois supérieure à celle du son et sont difficiles à être intercepté avec des missiles antimissiles », a fait savoir le général de division Hossein Salami.
Ce jeudi 13 juin, les États-Unis ont littéralement accusé l'Iran d'implication dans la double explosion qui a visé les deux superpétroliers en mer d'Oman, allant même jusqu'à fournir une vidéo granuleuse à titre de pièce à conviction. Les alliés les plus proche des États-Unis ne sont toutefois pas convaincu et appellent surtout les parties à la retenue. L'Arabie saoudite et Israël ont emboîté le pas à Washington et accusé l'Iran d'avoir "menacé le trafic libre de l'énergie dans le golfe Persique". Réagissant à ces accusations, le chef d'état-major iranien, le général de division Mohammad Baqeri a rejeté ces accusations "gratuites" et "infondées" soulignant que "l'Iran n'avait nullement besoin de cacher quoi que ce soit et qu'il a, à maintes reprises, affirmé très clairement que c'est lui qui assure la sécurité de la navigation en golfe Persique et dans le détroit d'Hormuz : « Cependant aucune partie ne saura transiter son pétrole si l'Iran ne pourrait en faire autant », a averti le chef d'état major iranien.
Une arme secrète iranienne fabriquée par les moyens nationaux a ramené Trump à la raison, qui a décidé de ravaler ses propos ridicules et de renoncer aux propositions de l’équipe B qui l’encourage à la guerre contre l’Iran.
Lundi, les États-Unis ont annoncé l'envoi de 1 000 soldats supplémentaires dans la région pour, ont-ils prétendu, "améliorer l'état des forces US". L'annonce de ce déploiement de troupes dans le golfe Persique a suscité la réaction immédiate de la Chine et de la Russie, tous deux accusant les États-Unis "de provoquer l'Iran et d"attiser les tensions".
Le commandant en chef du Corps des gardiens de la Révolution islamique a également relevé que les agissements américains marquent à vrai dire "la faiblesse organique des États-Unis": « Les États-Unis se sont affaiblis. Ils sont frappés de l’intérieur et l'ère américaine est sur le point de finir. »
Interrogé par l'agence de presse Mizan, le conseiller du commandant en chef du CGRI, le général Morteza Qorbani avait précédemment affirmé que l'Iran possédait des armes propres à faire sombrer aux tréfonds de l'océan les navires américains.
La Russie a exhorté les États-Unis à renoncer à leurs projets « provocateurs » consistant à déployer davantage de troupes au Moyen-Orient.
« Ces missiles peuvent frapper en mer avec une grande précision. Ils sont de fabrication locale et difficiles à intercepter ou à toucher à l'aide d'autres missiles», a-t-il affirmé.
« Il y a douze ans, le fait d'atteindre des cibles en mer s'est posé à nous. Mais avec des missiles de croisière il était bien difficile de réaliser cet objectif car ces missiles sont vulnérables en raison de leur vitesse et de leur trajectoire proche du sol. Mais les choses ont littéralement changé avec la conception des missiles balistiques, lesquels atteignent leur cible à une vitesse plusieurs fois supérieure à celle du son et sont difficiles à être intercepté avec des missiles antimissiles », a fait savoir le général de division Hossein Salami.
Ce jeudi 13 juin, les États-Unis ont littéralement accusé l'Iran d'implication dans la double explosion qui a visé les deux superpétroliers en mer d'Oman, allant même jusqu'à fournir une vidéo granuleuse à titre de pièce à conviction. Les alliés les plus proche des États-Unis ne sont toutefois pas convaincu et appellent surtout les parties à la retenue. L'Arabie saoudite et Israël ont emboîté le pas à Washington et accusé l'Iran d'avoir "menacé le trafic libre de l'énergie dans le golfe Persique". Réagissant à ces accusations, le chef d'état-major iranien, le général de division Mohammad Baqeri a rejeté ces accusations "gratuites" et "infondées" soulignant que "l'Iran n'avait nullement besoin de cacher quoi que ce soit et qu'il a, à maintes reprises, affirmé très clairement que c'est lui qui assure la sécurité de la navigation en golfe Persique et dans le détroit d'Hormuz : « Cependant aucune partie ne saura transiter son pétrole si l'Iran ne pourrait en faire autant », a averti le chef d'état major iranien.
Une arme secrète iranienne fabriquée par les moyens nationaux a ramené Trump à la raison, qui a décidé de ravaler ses propos ridicules et de renoncer aux propositions de l’équipe B qui l’encourage à la guerre contre l’Iran.
Lundi, les États-Unis ont annoncé l'envoi de 1 000 soldats supplémentaires dans la région pour, ont-ils prétendu, "améliorer l'état des forces US". L'annonce de ce déploiement de troupes dans le golfe Persique a suscité la réaction immédiate de la Chine et de la Russie, tous deux accusant les États-Unis "de provoquer l'Iran et d"attiser les tensions".
Le commandant en chef du Corps des gardiens de la Révolution islamique a également relevé que les agissements américains marquent à vrai dire "la faiblesse organique des États-Unis": « Les États-Unis se sont affaiblis. Ils sont frappés de l’intérieur et l'ère américaine est sur le point de finir. »
Interrogé par l'agence de presse Mizan, le conseiller du commandant en chef du CGRI, le général Morteza Qorbani avait précédemment affirmé que l'Iran possédait des armes propres à faire sombrer aux tréfonds de l'océan les navires américains.