De la liquidation début août d'un militaire israélien en pleine colonie de Gush Etzion, à l'attaque à la bombe anti-israélienne ce vendredi 23 août à Ramallah, en passant par ces opérations commandos palestiniennes récurrentes à la "bordure de sécurité" avec Gaza, il y a quelque chose d'intimement fatale qui vient de se produire contre Israël: la perte totale du contrôle d'un "front intérieur" désormais élargi.
Vendredi 23 août vers midi, une "bombe artisanale" a explosé non loin d’un réservoir d'eau à l’extérieur de la colonie israélienne de Dolev, au nord de Ramallah, en Cisjordanie occupée. Trois colons ont été blessés dont l’un a succombé à ses blessures. Cette version est celle colportée par les médias mainstream qui demandent à être clarifiée : "En effet une commando de deux ou trois assaillants a pris le temps de poser la bombe de manière experte sur la route empruntée par les colons au petit matin. les assaillants se seraient ensuite retranchés dans les oliveraies attendre les colons avant d'activer la bombe et prendre la fuite sans laisser de trace", affirme DEBKAfile, site proche des renseignements de l'armée israélienne.
DEBKAfile commente en ces termes : "Cette opération n'est pas au contraire de la version officielle une action des "loups solidaires" mais le travail "d'une commando bien organisée, avec en amont " une planification, et une vaste travail d'espionnage". Pire "une issue de secours avait été également aménagée pour les auteurs de l'opération qui a bord de leur voiture immatriculée en Israël ont réussi à disparaître encore sous l’œil des caméras de surveillance".
Aussitôt après l'incident, le président du bureau politique de la Résistance palestinienne, Hamas, Ismaël Haniyeh, a déclaré que la Cisjordanie soutenait pleinement Qods et la mosquée d’al-Aqsa : « L’explosion de la Cisjordanie est porteuse d’un message à l’adresse des Israéliens: Qu’ils sachent que Qods ressemble à une poudrière qui ne devrait pas être provoquée. Bien que l’auteur de cette explosion n’ait pas encore été identifié, l’acte met en évidence la poursuite de la résistance face aux pressions ».
Quelques heures après cette spectaculaire opération, les Palestiniens de Gaza se rassemblaient pour la 71e Marche de grand retour: 70 Palestiniens ont été blessés et parmi eux, une quarantaine, par balles réelles. Mais pas de décès: les militaires commencent visiblement à comprendre à leurs dépens que la donne change rapidement sur le front interne : un centre de commandement bien unifié pilote des opérations commandos de plus en plus complexe au cœur d'Israël et ce centre, appuyant sur une vaste connaissance du terrain et donc ayant des relais en Israël, réussit tous ces coups sur fond d'incapacité totale du renseignement et de la sécurité israélienne à réagir. Ce centre de commandement a passé des opérations à l'arme blanche aux opérations d'embuscade et depuis vendredi il manie les bombes. Au bon entendeur le salut.
DEBKAfile commente en ces termes : "Cette opération n'est pas au contraire de la version officielle une action des "loups solidaires" mais le travail "d'une commando bien organisée, avec en amont " une planification, et une vaste travail d'espionnage". Pire "une issue de secours avait été également aménagée pour les auteurs de l'opération qui a bord de leur voiture immatriculée en Israël ont réussi à disparaître encore sous l’œil des caméras de surveillance".
Aussitôt après l'incident, le président du bureau politique de la Résistance palestinienne, Hamas, Ismaël Haniyeh, a déclaré que la Cisjordanie soutenait pleinement Qods et la mosquée d’al-Aqsa : « L’explosion de la Cisjordanie est porteuse d’un message à l’adresse des Israéliens: Qu’ils sachent que Qods ressemble à une poudrière qui ne devrait pas être provoquée. Bien que l’auteur de cette explosion n’ait pas encore été identifié, l’acte met en évidence la poursuite de la résistance face aux pressions ».
Quelques heures après cette spectaculaire opération, les Palestiniens de Gaza se rassemblaient pour la 71e Marche de grand retour: 70 Palestiniens ont été blessés et parmi eux, une quarantaine, par balles réelles. Mais pas de décès: les militaires commencent visiblement à comprendre à leurs dépens que la donne change rapidement sur le front interne : un centre de commandement bien unifié pilote des opérations commandos de plus en plus complexe au cœur d'Israël et ce centre, appuyant sur une vaste connaissance du terrain et donc ayant des relais en Israël, réussit tous ces coups sur fond d'incapacité totale du renseignement et de la sécurité israélienne à réagir. Ce centre de commandement a passé des opérations à l'arme blanche aux opérations d'embuscade et depuis vendredi il manie les bombes. Au bon entendeur le salut.