Alors que les chefs d’État sont attendus en fin de journée ce samedi à Biarritz pour le G7, une grande manifestation des opposants à la réunion du groupe a lieu ce samedi 24 août, en fin de matinée, à Hendaye sur la frontière espagnole, à 30 km au sud de Biarritz. Une manifestation que les organisateurs veulent pacifique, mais certains activistes entendent bien malgré tout faire « peur aux dirigeants ».
Mais il y a une autre manifestation qui, elle, n’est pas autorisée par la préfecture qui aura lieu à Bayonne, plus près du lieu officiel du G7. Avec des contours beaucoup plus flous et donc potentiellement beaucoup plus volatiles », a annoncé un journaliste de France Télévision. Des heurts ont égrené la journée du 23 août, à la veille de l’ouverture du sommet à Biarritz. Ces tensions ont donné lieu à 17 interpellations de militants et quatre blessés légers du côté des forces de l’ordre.
Lors du sommet du G7, le président américain Donald Trump rencontrera ses homologues au sein du groupe, tous réunis en France, et fera l’éloge des politiques économiques de son gouvernement.
Lors de ce sommet à Biarritz, Donald Trump ne partage pas le même agenda que les autres membres du G7 et l’on peut s’attendre que le président américain profite de cette tribune pour diviser les alliés sur la scène internationale.
Selon les analystes, la grande difficulté, c’est que les sujets que Donald Trump veut mettre à l’ordre du jour ne sont pas nécessairement ceux dont ses pays partenaires souhaiteraient discuter. « On sait par exemple qu’il a imposé pour dimanche une réunion sur l’économie globale durant laquelle il va sans doute mettre en avant la bonne santé de l’économie US, et demander à ses partenaires de collaborer, on va dire, à la politique économique américaine », souligne un spécialiste des États-Unis.
Comme à chaque fois qu’il apparaît sur la scène internationale, on peut s’attendre à ce que Donald Trump profite de cette tribune pour diviser les alliés.
« On voit qu’il prend un malin plaisir, estime aussi ce spécialiste des États-Unis, et il l’avait déjà fait l’année dernière avant la réunion du G7 au Canada à diviser les autres membres du G7. On l’a vu par exemple avec sa demande de réadmission de la Russie à laquelle a été obligé de répondre le président Macron. Il joue de ces difficultés puisqu’il va avoir un entretien privé, séparé, avec Boris Johnson sur le Brexit, dont on sait qu’il encourage la tenue la plus rapide possible. »
Alors que le gouvernement français a renforcé les mesures de sécurité pour la tenue du sommet du G7 à Biarritz, les Gilets jaunes ont commencé leur 41e manifestation ce samedi 24 août.
Quelques centaines de « Gilets jaunes » défilaient dans le calme le samedi 24 août à Paris, encadrés par un important dispositif policier, pour rappeler que leurs revendications restaient inchangées et pour s’opposer au sommet du G7 qui s’est ouvert à Biarritz. Pour l’occasion, certains d’entre eux brandissaient des pancartes sur lesquelles on pouvait lire « G7 --> non Gfaim --> oui ».
« On demande toujours le RIC (référendum d’initiative citoyenne), l’augmentation du SMIC, de s’occuper des mendiants », ajoute un jeune manifestant.
Lors du sommet du G7, le président américain Donald Trump rencontrera ses homologues au sein du groupe, tous réunis en France, et fera l’éloge des politiques économiques de son gouvernement.
Lors de ce sommet à Biarritz, Donald Trump ne partage pas le même agenda que les autres membres du G7 et l’on peut s’attendre que le président américain profite de cette tribune pour diviser les alliés sur la scène internationale.
Selon les analystes, la grande difficulté, c’est que les sujets que Donald Trump veut mettre à l’ordre du jour ne sont pas nécessairement ceux dont ses pays partenaires souhaiteraient discuter. « On sait par exemple qu’il a imposé pour dimanche une réunion sur l’économie globale durant laquelle il va sans doute mettre en avant la bonne santé de l’économie US, et demander à ses partenaires de collaborer, on va dire, à la politique économique américaine », souligne un spécialiste des États-Unis.
Comme à chaque fois qu’il apparaît sur la scène internationale, on peut s’attendre à ce que Donald Trump profite de cette tribune pour diviser les alliés.
« On voit qu’il prend un malin plaisir, estime aussi ce spécialiste des États-Unis, et il l’avait déjà fait l’année dernière avant la réunion du G7 au Canada à diviser les autres membres du G7. On l’a vu par exemple avec sa demande de réadmission de la Russie à laquelle a été obligé de répondre le président Macron. Il joue de ces difficultés puisqu’il va avoir un entretien privé, séparé, avec Boris Johnson sur le Brexit, dont on sait qu’il encourage la tenue la plus rapide possible. »
Alors que le gouvernement français a renforcé les mesures de sécurité pour la tenue du sommet du G7 à Biarritz, les Gilets jaunes ont commencé leur 41e manifestation ce samedi 24 août.
Quelques centaines de « Gilets jaunes » défilaient dans le calme le samedi 24 août à Paris, encadrés par un important dispositif policier, pour rappeler que leurs revendications restaient inchangées et pour s’opposer au sommet du G7 qui s’est ouvert à Biarritz. Pour l’occasion, certains d’entre eux brandissaient des pancartes sur lesquelles on pouvait lire « G7 --> non Gfaim --> oui ».
« On demande toujours le RIC (référendum d’initiative citoyenne), l’augmentation du SMIC, de s’occuper des mendiants », ajoute un jeune manifestant.