La manifestation de la semaine dernière des Gilets jaunes à Paris s’est déroulée dans le contexte de la réunion du G7 avec des rassemblements de masse dans et autour de la ville hôte de Biarritz.
des dizaines de milliers de manifestants se sont réunis ce samedi 31 août à Paris pour le 42e rassemblement organisé depuis le début du mouvement en novembre dernier, à la suite de la hausse prévue de la taxe sur les carburants.
En effet, c’est à partir de la rentrée que les Gilets jaunes comptent promettre au gouvernement un « septembre noir ». En guise d’avant-goût, la 42e journée d’actions, baptisée « pour le Smic et le Ric, agissons » se tient ce samedi 31 août.
« Gilets jaunes, ce n’est pas fini, la rentrée arrive », annonçait déjà Éric Drouet, une des figures des Gilets jaunes, dans une vidéo publiée le 20 août. Le mouvement « va continuer » car « rien n’a été réglé », avançait un autre, Yann Le Bihan, au micro de LCI. « Attendez-vous au pire [...]. La rentrée va être très très chaude », selon un autre gilet interrogé par BFM TV.
Pour l’acte 43 du 7 septembre, c’est Montpellier qui a été choisie comme ville épicentre de la mobilisation, selon des responsables du mouvement. Une semaine plus tard, le 14 septembre, un rassemblement est prévu à Nantes pour le 44e samedi consécutif — un événement qui s’annonce tendu, deux mois après la mort controversé de Steve Caniço, retrouvé noyé dans la Loire après une charge de la police. Puis, comme annoncé sur Facebook, viendra la « mobilisation historique » du 21 septembre : un appel à une grande manifestation à Paris pour « marcher ensemble contre le système, contre la destruction de la planète, le mépris des élites, la réforme des retraites et les fins de mois difficiles ». Pas moins de 14 000 personnes se disent pour l’heure intéressées par l’événement, et déjà 3 000 prévoient d’y participer. Des chiffres comparables aux mobilisations d’avant l’été.
Alors que le gouvernement français a abandonné son projet d’augmenter les taxes sur le carburant et d’introduire d’autres mesures pour améliorer la situation socio-économique du pays, les manifestants continuent de descendre dans les rues de France chaque week-end pour manifester leur mécontentement face à la politique gouvernementale.
En effet, c’est à partir de la rentrée que les Gilets jaunes comptent promettre au gouvernement un « septembre noir ». En guise d’avant-goût, la 42e journée d’actions, baptisée « pour le Smic et le Ric, agissons » se tient ce samedi 31 août.
« Gilets jaunes, ce n’est pas fini, la rentrée arrive », annonçait déjà Éric Drouet, une des figures des Gilets jaunes, dans une vidéo publiée le 20 août. Le mouvement « va continuer » car « rien n’a été réglé », avançait un autre, Yann Le Bihan, au micro de LCI. « Attendez-vous au pire [...]. La rentrée va être très très chaude », selon un autre gilet interrogé par BFM TV.
Pour l’acte 43 du 7 septembre, c’est Montpellier qui a été choisie comme ville épicentre de la mobilisation, selon des responsables du mouvement. Une semaine plus tard, le 14 septembre, un rassemblement est prévu à Nantes pour le 44e samedi consécutif — un événement qui s’annonce tendu, deux mois après la mort controversé de Steve Caniço, retrouvé noyé dans la Loire après une charge de la police. Puis, comme annoncé sur Facebook, viendra la « mobilisation historique » du 21 septembre : un appel à une grande manifestation à Paris pour « marcher ensemble contre le système, contre la destruction de la planète, le mépris des élites, la réforme des retraites et les fins de mois difficiles ». Pas moins de 14 000 personnes se disent pour l’heure intéressées par l’événement, et déjà 3 000 prévoient d’y participer. Des chiffres comparables aux mobilisations d’avant l’été.
Alors que le gouvernement français a abandonné son projet d’augmenter les taxes sur le carburant et d’introduire d’autres mesures pour améliorer la situation socio-économique du pays, les manifestants continuent de descendre dans les rues de France chaque week-end pour manifester leur mécontentement face à la politique gouvernementale.