La presse mainsteam affirme que le limogeage de John Bolton, le belliciste revient à mettre de l'eau dans le vin guerrier américain et à mettre un holà à l'escalade délibérément recherché par les USA pendant l'état dans le golfe Persique. Le départ du fervent défenseur de la guerre contre l'Iran s'explique pourtant plus par la volonté du président américain de s'entendre avec l'Iran que par le sentiment d'incapacité à en découdre militairement avec une puissance émergente qui n'a pas peur de l'Amérique. Le 20 juin au soir, alors que un drone US venait à être visé dans le ciel iranien, le CGRI était prêt à riposter. Mais quelles auraient pu être ses premières cibles en cas d'attaque US? Les deux bases aériennes américaines d’al-Dhafra et d’al-Udeid sont à la portée des missiles du CGRI, a souligné le général de brigade Amir Hajizadeh, commandant de la Force aérospatiale du Corps des gardiens de la Révolution islamique (CGRI).
« Lorsque l’Iran a abattu un drone espion américain appartenant à la famille des Global Hawk dans le détroit d’Hormuz le 20 juin dernier, nous étions prêts à viser les bases US au Qatar et aux Émirats arabes unis, en cas d’attaque américaine contre l’Iran », c’est ce qu’affirmait le général de brigade Hajizadeh.
Mais quelles les bases bases les mieux exposées?