Alors que des centaines d'Américains quittent en ce moment l'Irak par crainte d'avoir à faire face à une vaste riposte de la Résistance et ce à l'appel du département d'État, et que les États-Unis et l'OTAN viennent, selon Reuters, de cesser "la formation des forces irakiennes", les premiers impacts de la débile décision US d'assassiner le commandant en chef de la Force Qods commencent à se manifester : en Irak, les premières informations font état du barricadage des bases américaines à travers tout le territoire du pays de Aïn al-Asad à Balad en passant par K1 et autres bases militaires.