En réaction aux accusations portées par les États-Unis contre l’Iran, le président de la Commission des affaires étrangères de la Douma russe a affirmé que le lancement par l’Iran du satellite militaire dans l’espace par l’Iran ne viole pas les résolutions du Conseil de sécurité de l’ONU.
« Je dois préciser qu’un satellite militaire ne signifie pas forcément qu’elle porte des armes », a précisé Alexeï Pouchkov, président de la Commission des affaires étrangères de la chambre basse du Parlement russe.
« Conformément aux accords internationaux sur l’interdiction de placer des armes de destruction massive en orbite autour de la Terre, les satellites militaires contrôlent les navigations et les communications et mènent des missions de reconnaissance », a-t-il expliqué.
« La résolution 2231 du Conseil de sécurité des Nations unies a demandé à l’Iran de ne pas concevoir d’armes balistiques capables de transporter des têtes nucléaires. Mais cette résolution n’est pas contraignante », a-t-il ajouté.
« Comme l’ont dit les autorités iraniennes, le lancement de satellites par leur pays n’a rien avoir avec cette résolution et l’Iran a le droit de mette en orbite de tels satellites », a souligné le président de la Commission des affaires étrangères de la Douma.
« La Russie ne dispose d’aucun indice établissant que l’Iran ait testé un missile capable de transporter d’armes nucléaires », a-t-il indiqué.
La réaction de Pouchkov intervient alors que le porte-parole du département d’État américain, Morgan Ortagus, avait prétendu que l’Iran avait violé la résolution du Conseil de sécurité en plaçant en orbite le satellite militaire « Nour » et qu’il saisirait le Conseil de sécurité des Nations unies.
Le mercredi 22 avril, le satellite Nour, premier satellite militaire de la RII, a été lancé avec succès dans l’espace par le Corps des gardiens de la Révolution islamique (CGRI) à une altitude de 425 km.
Par ailleurs, le membre de la Commission de la défense et de la sécurité du Parlement irakien, Badr al-Ziadi, a déclaré que le succès du CGRI dans le lancement dans l’espace d’un satellite militaire a provoqué la colère des ennemis et que les menaces brandies par Washington ne sont que de propagandes médiatiques.
« Les menaces proférées par les États-Unis ne sont pas sérieuses et ne sont qu’une propagande médiatique », a affirmé Badr al-Ziadi.
Faisant référence au succès de l’Iran dans le lancement de satellites, il a déclaré : « Les menaces américaines ne constituent qu'une propagande médiatique ».
« Aujourd’hui, l’Irak doit préserver sa souveraineté. Il ne doit pas permettre aux agresseurs d’utiliser le pays comme le point de départ d’attaques contre un pays tiers », a-t-il ajouté.
« L’Irak ne permettra à personne d’utiliser son espace aérien pour attaquer un pays tiers », a-t-il martelé.
« Conformément aux accords internationaux sur l’interdiction de placer des armes de destruction massive en orbite autour de la Terre, les satellites militaires contrôlent les navigations et les communications et mènent des missions de reconnaissance », a-t-il expliqué.
« La résolution 2231 du Conseil de sécurité des Nations unies a demandé à l’Iran de ne pas concevoir d’armes balistiques capables de transporter des têtes nucléaires. Mais cette résolution n’est pas contraignante », a-t-il ajouté.
« Comme l’ont dit les autorités iraniennes, le lancement de satellites par leur pays n’a rien avoir avec cette résolution et l’Iran a le droit de mette en orbite de tels satellites », a souligné le président de la Commission des affaires étrangères de la Douma.
« La Russie ne dispose d’aucun indice établissant que l’Iran ait testé un missile capable de transporter d’armes nucléaires », a-t-il indiqué.
La réaction de Pouchkov intervient alors que le porte-parole du département d’État américain, Morgan Ortagus, avait prétendu que l’Iran avait violé la résolution du Conseil de sécurité en plaçant en orbite le satellite militaire « Nour » et qu’il saisirait le Conseil de sécurité des Nations unies.
Le mercredi 22 avril, le satellite Nour, premier satellite militaire de la RII, a été lancé avec succès dans l’espace par le Corps des gardiens de la Révolution islamique (CGRI) à une altitude de 425 km.
Par ailleurs, le membre de la Commission de la défense et de la sécurité du Parlement irakien, Badr al-Ziadi, a déclaré que le succès du CGRI dans le lancement dans l’espace d’un satellite militaire a provoqué la colère des ennemis et que les menaces brandies par Washington ne sont que de propagandes médiatiques.
« Les menaces proférées par les États-Unis ne sont pas sérieuses et ne sont qu’une propagande médiatique », a affirmé Badr al-Ziadi.
Faisant référence au succès de l’Iran dans le lancement de satellites, il a déclaré : « Les menaces américaines ne constituent qu'une propagande médiatique ».
« Aujourd’hui, l’Irak doit préserver sa souveraineté. Il ne doit pas permettre aux agresseurs d’utiliser le pays comme le point de départ d’attaques contre un pays tiers », a-t-il ajouté.
« L’Irak ne permettra à personne d’utiliser son espace aérien pour attaquer un pays tiers », a-t-il martelé.