Plus de 1 800 Palestiniens ont été tués depuis qu’Israël a lancé sa campagne génocidaire spécifique dans le nord de Gaza en octobre 2024, ont fait savoir les autorités locales, affirmant que des centaines d’autres ont disparu.
Dans un communiqué publié le lundi 4 novembre, le bureau des médias de Gaza a indiqué que le nombre de blessés s’élevait à environ 4 000.
Le régime a utilisé la famine comme méthode de guerre dans la bande de Gaza, a indiqué le bureau des médias, avant de déclarer qu’Israël a empêché « 3 800 camions d’aide d’entrer dans le nord de Gaza ».
L’entité israélienne a « délibérément affamé près de 400 000 personnes là-bas, dont plus de 100 000 enfants », toujours selon le même communiqué.
« Israël a également détruit des dizaines de centres de déplacement et d’hébergement qui abritaient des dizaines de milliers de personnes déplacées qui ont fui leurs foyers en quête de sécurité », a déploré le bureau des médias de Gaza.
Depuis le 6 octobre, Israël est engagé dans un assaut terrestre dans le nord de Gaza. Le régime a également imposé un siège renforcé dans cette région, notamment autour de Jabalia.