le journal Haaretz qui reprend l'analyse de Amos Harel, expert en stratégie croit savoir la réponse : " au regard des frictions et des tensions qui se multiplient ces derniers temps sur les frontières avec le sud du Liban, une nouvelle guerre contre le Hezbollah n'est pas totalement à écarter . les agissements du Hezbollah constituent en effet une réponse au raid du fevrier de l'aviation israélienne contre une base du Hezbollah à Béjkaa. le Hezbollah nous trace une ligne rouge, il veut nous faire comprendre que le Liban n'est pas la Syrie et que tout raid contre le Liban a un prix à payer " Harel évoque l'assassinat de Laqquis , l'un des hauts commandants du Hezbollah : " quand Nasrallah a promis venger le sang de Laqquis tout comme le sang de Moghniyah, un autre chef du Hezb, il ne ment pas très probablement ! " Harel enumère les " actes anti israéliens du Hezbollah" qui se " sont multipliés depuis le raid du mois de février . " la riposte du Hezbollah ne semble pas avoit été achevée. cette riposte se poursuit ; le Hezbollah n'a pas l'intention de déclencher la guerre mais il veut placer lesdeux parties au seuil du conflit pour faire comprendre qu'Israël n'a pas le droit d'attaquer le sol libanais ou les convois d'armes destinés au Liban depuis la Syrie" " kla multiplication des agissements du Hezbollah sur les frontières nord ( limitrophe du sud du Liban ndlr) est une réponse infligée à Israël pour ses raids multiples contre les stocks d'armes syriens , et l'assassinat de Laqqis dans le parcking de sa maison . mais si les tensions continuent à croitre sur les frontières nord d'Israël, on ne peut nier le rôl d'Israël dans cette nouvelle donne "