L'Australienne Kerry Jane Wilson, qui avait été enlevée en avril dans l'est de l'Afghanistan où elle travaillait pour une ONG, a été libérée et est en bonne santé, a annoncé lundi la ministre australienne des Affaires étrangères Julie Bishop.Je confirme que Kerry Jane Wilson, qui a été enlevée en avril, a été libérée et est en sûreté et en bonne santé, a-t-elle dit dans un communiqué.
Agée d'une soixantaine d'années, Mme Wilson, dont le vrai prénom est Katherine, avait été enlevée fin avril à Jalalabad. Elle dirigeait une petite ONG, Zardozi, lancée en 2006 pour soutenir les artisanes et entrepreneuses afghanes.
Ataullah Khogyani, porte-parole du gouverneur de la province de Nangarhar, dont Jalalabad est la capitale, avait affirmé à l'AFP en avril que Mme Wilson avait été enlevée dans la nuit au domicile où elle logeait par des hommes armés déguisés en policiers.
Mme Bishop, qui a de nombreuses fois répété que l'Australie ne versait pas de rançon aux ravisseurs, s'est dite soulagée par la libération de Mme Wilson, mais s'est refusée à en donner les détails, pour protéger ceux qui demeurent captifs où risquent d'être enlevés en Afghanistan ou ailleurs.
Le communiqué de la ministre ne précise pas quand Mme Wilson a été libérée, ni où elle se trouve.
Le père de l'Australienne, Brian Wilson, 91 ans, avait plaidé en avril pour la libération de sa fille, précisant qu'elle travaillait dans la région depuis 20 ans, avec des organisations spécialisées dans le droit des femmes et l'accès à l'eau.
Agée d'une soixantaine d'années, Mme Wilson, dont le vrai prénom est Katherine, avait été enlevée fin avril à Jalalabad. Elle dirigeait une petite ONG, Zardozi, lancée en 2006 pour soutenir les artisanes et entrepreneuses afghanes.
Ataullah Khogyani, porte-parole du gouverneur de la province de Nangarhar, dont Jalalabad est la capitale, avait affirmé à l'AFP en avril que Mme Wilson avait été enlevée dans la nuit au domicile où elle logeait par des hommes armés déguisés en policiers.
Mme Bishop, qui a de nombreuses fois répété que l'Australie ne versait pas de rançon aux ravisseurs, s'est dite soulagée par la libération de Mme Wilson, mais s'est refusée à en donner les détails, pour protéger ceux qui demeurent captifs où risquent d'être enlevés en Afghanistan ou ailleurs.
Le communiqué de la ministre ne précise pas quand Mme Wilson a été libérée, ni où elle se trouve.
Le père de l'Australienne, Brian Wilson, 91 ans, avait plaidé en avril pour la libération de sa fille, précisant qu'elle travaillait dans la région depuis 20 ans, avec des organisations spécialisées dans le droit des femmes et l'accès à l'eau.