Le cheikh Mahdi al-Samid’i, mufti des sunnites irakiens qui a déjà échappé à deux attentats terroristes, lors de la cérémonie d’ouverture de la quatrième réunion des religieux chrétiens et musulmans pour la paix mondiale et le respect de la dignité humaine, le 6 novembre 2016, a déclaré que les religieux sunnites rejetaient le takfirisme et souhaitaient une paix durable.
« Le prophète de l’islam (as) a toujours conseillé la paix et la tolérance. Dans les pays arabes et occidentaux, les chrétiens, les juifs et les musulmans vivaient en paix mais la situation est devenue inquiétante. Nous devons rejeter ceux qui autorisent le meurtre au nom de la religion. Certains prétendent que les religieux sunnites ne manifestent pas leur opposition alors que ce n’est pas le cas. Nous espérons que cette réunion aura pour résultat, la paix la sécurité et la tolérance dans toutes les sociétés », a-t-il dit.
L’Ayatollah Taskhiri, conseiller du Guide suprême de la révolution islamique d’Iran, a déclaré que toutes les religions apportaient un message de paix et de sécurité.
«Un terroriste n’a aucune religion et les conflits sont les messages du diable. Nous devons comme le recommande le Coran, discuter de manière raisonnable», a-t-il dit.
John Onaiyekan, évêque catholique, cardinal nigérian puis archevêque d'Abuja depuis 1992, a déclaré que le dialogue conduisait à la paix et qu’il fallait trouver des solutions aux conflits.
« Toutes les religions ont un bon bilan et beaucoup font des efforts pour l’instauration de la paix et si certains le considèrent comme du temps perdu, il faut leur assurer que ces réunions sont des pas positifs qui exigent des réalisations concrètes », a-t-il dit.
Le cardinal John Bryson Chane de la cathédrale de Washington, a déclaré que les efforts de l’Iran avaient contribué en 2010, à la création de l’Association islamique et chrétienne
« Le Président iranien en 2006, avait demandé que nous organisions des réunions en Iran pour l’union des chrétiens et des musulmans. Nous avons eu jusqu’ici, plusieurs réunions à Téhéran, Washington, Rome et Beyrouth qui devraient avoir des effets concrets dans nos sociétés. Dans la situation actuelle, nous avons la lourde responsabilité de travailler pour la paix », a-t-il dit.
Le cheikh Jaafar al-Mohajer, directeur du centre « Baha al-din al-Ameli » de Beyrouth, a déclaré que la situation actuelle était le résultat de l’abandon de la religion et du choix du sécularisme.
« Le sécularisme a mis les gens au bord du précipice et causé de nombreux problèmes dans le monde, comme l’injustice dans la répartition des richesses, que les intellectuels doivent résoudre. La course aux armements est devenue prioritaire dans certains pays par rapport à la lutte contre la pauvreté et la faim. Les chrétiens et les musulmans dont les prophètes étaient du coté des pauvres et des opprimés, doivent travailler ensemble pour lutter contre ces injustices », a-t-il dit.
Cette réunion organisée par le Centre international de dialogue interreligieux, qui rassemble des représentants d’Iran, d’Irak, du Nigéria, des États-Unis, de Suisse, d’Italie, de l’inde, de France, d’Angleterre, de Hong Kong et du Vatican, se déroule au Centre de la culture et des relations islamique de Téhéran et poursuivra ses travaux jusqu’au 9 novembre 2016
« Le prophète de l’islam (as) a toujours conseillé la paix et la tolérance. Dans les pays arabes et occidentaux, les chrétiens, les juifs et les musulmans vivaient en paix mais la situation est devenue inquiétante. Nous devons rejeter ceux qui autorisent le meurtre au nom de la religion. Certains prétendent que les religieux sunnites ne manifestent pas leur opposition alors que ce n’est pas le cas. Nous espérons que cette réunion aura pour résultat, la paix la sécurité et la tolérance dans toutes les sociétés », a-t-il dit.
L’Ayatollah Taskhiri, conseiller du Guide suprême de la révolution islamique d’Iran, a déclaré que toutes les religions apportaient un message de paix et de sécurité.
«Un terroriste n’a aucune religion et les conflits sont les messages du diable. Nous devons comme le recommande le Coran, discuter de manière raisonnable», a-t-il dit.
John Onaiyekan, évêque catholique, cardinal nigérian puis archevêque d'Abuja depuis 1992, a déclaré que le dialogue conduisait à la paix et qu’il fallait trouver des solutions aux conflits.
« Toutes les religions ont un bon bilan et beaucoup font des efforts pour l’instauration de la paix et si certains le considèrent comme du temps perdu, il faut leur assurer que ces réunions sont des pas positifs qui exigent des réalisations concrètes », a-t-il dit.
Le cardinal John Bryson Chane de la cathédrale de Washington, a déclaré que les efforts de l’Iran avaient contribué en 2010, à la création de l’Association islamique et chrétienne
« Le Président iranien en 2006, avait demandé que nous organisions des réunions en Iran pour l’union des chrétiens et des musulmans. Nous avons eu jusqu’ici, plusieurs réunions à Téhéran, Washington, Rome et Beyrouth qui devraient avoir des effets concrets dans nos sociétés. Dans la situation actuelle, nous avons la lourde responsabilité de travailler pour la paix », a-t-il dit.
Le cheikh Jaafar al-Mohajer, directeur du centre « Baha al-din al-Ameli » de Beyrouth, a déclaré que la situation actuelle était le résultat de l’abandon de la religion et du choix du sécularisme.
« Le sécularisme a mis les gens au bord du précipice et causé de nombreux problèmes dans le monde, comme l’injustice dans la répartition des richesses, que les intellectuels doivent résoudre. La course aux armements est devenue prioritaire dans certains pays par rapport à la lutte contre la pauvreté et la faim. Les chrétiens et les musulmans dont les prophètes étaient du coté des pauvres et des opprimés, doivent travailler ensemble pour lutter contre ces injustices », a-t-il dit.
Cette réunion organisée par le Centre international de dialogue interreligieux, qui rassemble des représentants d’Iran, d’Irak, du Nigéria, des États-Unis, de Suisse, d’Italie, de l’inde, de France, d’Angleterre, de Hong Kong et du Vatican, se déroule au Centre de la culture et des relations islamique de Téhéran et poursuivra ses travaux jusqu’au 9 novembre 2016