La Grande-Bretagne et l'Iran ont insisté dimanche sur les gros progrès encore nécessaires à l'amélioration de leur relation à l'occasion d'une visite à Téhéran du chef de la diplomatie britannique, Boris Johnson.
Du côté iranien, la venue du ministre britannique des Affaires étrangères a permis d'exprimer le sentiment de frustration des autorités face aux faibles retombées économiques obtenues par la République islamique depuis la conclusion de l'accord sur le nucléaire iranien de 2015.
M. Johnson a rencontré dimanche matin le président iranien Hassan Rohani, selon un journaliste de l'AFP, peu après s'être entretenu avec le chef de l'Organisation de l'énergie atomique iranienne, Ali Akbar Salehi.
Avec M. Rohani, "les deux hommes ont parlé franchement des obstacles qui entravent la relation entre l'Iran et la Grande-Bretagne et sont convenus de la nécessité de faire des progrès dans tous ces domaines", ajoute le communiqué qualifiant d'"utile" la visite de M. Johnson.
"Les deux parties veulent poursuivre sur leur lancée pour résoudre les questions difficiles [...] et préserver l'accord sur le nucléaire".
Durant l'entretien, M. Rohani a estimé que les relations entre la Grande-Bretagne et l'Iran n'avaient "pas atteint le potentiel que l'on pouvait espérer" après la conclusion de l'accord sur le nucléaire, et qu'il fallait "davantage d'efforts" en vue d'une "coopération mutuelle" optimale, selon un communiqué du gouvernement iranien.
L'accord sur le nucléaire iranien conclu entre Téhéran et le Groupe des Six (Allemagne, Chine, États-Unis, France, Grande-Bretagne et Russie) en juillet 2015 a permis de sortir l'Iran de son isolement en levant les sanctions internationales liées au programme nucléaire iranien, en échange de garanties prouvant que la République islamique suit un programme nucléaire pascifique.
M. Johnson a quitté Téhéran en début d'après-midi pour les Émirats arabes unis.
M. Johnson a rencontré dimanche matin le président iranien Hassan Rohani, selon un journaliste de l'AFP, peu après s'être entretenu avec le chef de l'Organisation de l'énergie atomique iranienne, Ali Akbar Salehi.
Avec M. Rohani, "les deux hommes ont parlé franchement des obstacles qui entravent la relation entre l'Iran et la Grande-Bretagne et sont convenus de la nécessité de faire des progrès dans tous ces domaines", ajoute le communiqué qualifiant d'"utile" la visite de M. Johnson.
"Les deux parties veulent poursuivre sur leur lancée pour résoudre les questions difficiles [...] et préserver l'accord sur le nucléaire".
Durant l'entretien, M. Rohani a estimé que les relations entre la Grande-Bretagne et l'Iran n'avaient "pas atteint le potentiel que l'on pouvait espérer" après la conclusion de l'accord sur le nucléaire, et qu'il fallait "davantage d'efforts" en vue d'une "coopération mutuelle" optimale, selon un communiqué du gouvernement iranien.
L'accord sur le nucléaire iranien conclu entre Téhéran et le Groupe des Six (Allemagne, Chine, États-Unis, France, Grande-Bretagne et Russie) en juillet 2015 a permis de sortir l'Iran de son isolement en levant les sanctions internationales liées au programme nucléaire iranien, en échange de garanties prouvant que la République islamique suit un programme nucléaire pascifique.
M. Johnson a quitté Téhéran en début d'après-midi pour les Émirats arabes unis.