Le parlement turc s'inquiète du traitement infligé à des musulmans en Europe. L'assemblée souhaite dès lors mener une enquête sur l'islamophobie dans quatre pays du Vieux Continent, dont la Belgique, rapportent lundi les journaux de la Belgique Het Nieuwsblad, Gazet van Antwerpen et De Standaard.
Une telle initiative fait suite aux nombreuses réactions racistes suscitées lors de la naissance du premier bébé de l'année 2018 à Vienne, une fille d'origine turque. De nombreux commentaires xénophobes ont ainsi afflué sur les réseaux sociaux lorsqu'un journal autrichien a publié sur Facebook une photo du nouveau-né et des ses parents à la maternité.
Cela a mené à une petite émeute dans le pays où le parti d'extrême droite FPÖ est récemment entré dans le gouvernement. Cet incident a poussé le parlement turc à initier une enquête sur l'islamophobie en Europe, écrivent les journaux de Mediahuis, citant des médias turcs.
Une nouvelle commission parlementaire a donc été mise sur pied. Celle-ci débutera ses travaux ce mardi. Les députés se concentreront sur les quatre pays européens, où, selon eux, l'islamophobie est la plus forte, à savoir l'Autriche, l'Allemagne, la France et la Belgique. Ils souhaitent également être autorisés par ces pays à mener leurs recherches sur place.
Cela a mené à une petite émeute dans le pays où le parti d'extrême droite FPÖ est récemment entré dans le gouvernement. Cet incident a poussé le parlement turc à initier une enquête sur l'islamophobie en Europe, écrivent les journaux de Mediahuis, citant des médias turcs.
Une nouvelle commission parlementaire a donc été mise sur pied. Celle-ci débutera ses travaux ce mardi. Les députés se concentreront sur les quatre pays européens, où, selon eux, l'islamophobie est la plus forte, à savoir l'Autriche, l'Allemagne, la France et la Belgique. Ils souhaitent également être autorisés par ces pays à mener leurs recherches sur place.