Ahmad Salim, 24 ans, a été tué à Jayyous, près de Qalqiliya, dans le nord de la Cisjordanie, territoire palestinien occupé depuis plus de 50 ans par Israël.
Le Palestinien a été tué lundi par des tirs de l'armée israélienne lors des manifestations en Cisjordanie occupée, ont indiqué le ministère palestinien de la Santé et l'agence officielle Wafa.
Un porte-parole de l'armée israélienne a fait état dans un communiqué d'une manifestation au cours de laquelle "des dizaines de Palestiniens ont lancé des pierres sur les soldats".
"Les soldats ont riposté à ces violences en employant des moyens de dispersion et en tirant à balles réelles", a-t-il dit.
"Les informations sur la mort d'un Palestinien sont en cours d'examen", a-t-il dit.
Il s'agit du 17e Palestinien tué lors de violences depuis le 6 décembre et l'annonce par le président américain Donald Trump de la reconnaissance d'al-Qods comme capitale d'Israël. Un Israélien a en outre été assassiné en Cisjordanie.
La décision de M. Trump a provoqué la colère des Palestiniens. Ils voient en elle un déni de leurs revendications sur Jérusalem-Est annexée et occupée, dont ils souhaitent faire la capitale de l'Etat auquel ils aspirent.
Les dirigeants palestiniens étaient réunis lundi à Ramallah pour tenter d'élaborer la riposte aux coups portés selon eux à leur cause par l'administration Trump.
Un porte-parole de l'armée israélienne a fait état dans un communiqué d'une manifestation au cours de laquelle "des dizaines de Palestiniens ont lancé des pierres sur les soldats".
"Les soldats ont riposté à ces violences en employant des moyens de dispersion et en tirant à balles réelles", a-t-il dit.
"Les informations sur la mort d'un Palestinien sont en cours d'examen", a-t-il dit.
Il s'agit du 17e Palestinien tué lors de violences depuis le 6 décembre et l'annonce par le président américain Donald Trump de la reconnaissance d'al-Qods comme capitale d'Israël. Un Israélien a en outre été assassiné en Cisjordanie.
La décision de M. Trump a provoqué la colère des Palestiniens. Ils voient en elle un déni de leurs revendications sur Jérusalem-Est annexée et occupée, dont ils souhaitent faire la capitale de l'Etat auquel ils aspirent.
Les dirigeants palestiniens étaient réunis lundi à Ramallah pour tenter d'élaborer la riposte aux coups portés selon eux à leur cause par l'administration Trump.