Le chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov, a accusé vendredi les Occidentaux de chercher à "préserver le potentiel militaire des terroristes" en Syrie à l'issue de pourparlers avec l'Iran et la Turquie à Astana, au Kazakhstan.
"Nous voyons chez certains de nos collègues occidentaux une volonté d'éviter aux terroristes les coups et de préserver leur potentiel militaire", a déclaré M. Lavrov après des discussions sur la Syrie avec ses homologues turc et iranien.
M. Lavrov fait notamment référence à l'ex-branche syrienne d'Al-Qaïda, le Front al-Nosra, qui joue selon lui "le rôle de provocateur dans les scénarios de metteurs en scène géopolitiques occidentaux".
La Russie et l'Iran, alliés de la Syrie et la Turquie, soutien des rebelles, se sont réunis vendredi dans la capitale kazakhe pour évoquer la situation en Syrie et notamment la crise humanitaire dans Ghouta orientale, bastion rebelle que les forces gouvernementales tentent de reprendre depuis un mois via une offensive meurtrière.
Dans un communiqué final à l'issue des pourparlers, les trois pays ont promis de continuer à "liquider" le Front al-Nosra et les autres groupes associés avec al-Qaïda.
Le processus d'Astana réunit depuis janvier 2017, sans implication de Washington, des discussions réunissant des représentants de Damas et des délégations rebelles.
De nombreuses réunions ont eu lieu depuis, aboutissant notamment à la création de quatre "zones de désescalade" en Syrie qui ont parfois permis une diminution des violences.
M. Lavrov fait notamment référence à l'ex-branche syrienne d'Al-Qaïda, le Front al-Nosra, qui joue selon lui "le rôle de provocateur dans les scénarios de metteurs en scène géopolitiques occidentaux".
La Russie et l'Iran, alliés de la Syrie et la Turquie, soutien des rebelles, se sont réunis vendredi dans la capitale kazakhe pour évoquer la situation en Syrie et notamment la crise humanitaire dans Ghouta orientale, bastion rebelle que les forces gouvernementales tentent de reprendre depuis un mois via une offensive meurtrière.
Dans un communiqué final à l'issue des pourparlers, les trois pays ont promis de continuer à "liquider" le Front al-Nosra et les autres groupes associés avec al-Qaïda.
Le processus d'Astana réunit depuis janvier 2017, sans implication de Washington, des discussions réunissant des représentants de Damas et des délégations rebelles.
De nombreuses réunions ont eu lieu depuis, aboutissant notamment à la création de quatre "zones de désescalade" en Syrie qui ont parfois permis une diminution des violences.