Les analyses militaires montrent que l’Iran est en mesure de fermer le détroit d’Hormuz, à l’embouchure du golfe Persique. Une voie stratégique pour le transit de pétrole brut des pays de la zone, selon l’analyste du site web d’information Oil Price.
Le président américain Donald Trump a menacé d’imposer des sanctions financières aux pays qui continueront à importer du pétrole iranien après le 4 novembre. Les responsables de la RII ont aussitôt réagi. Le président iranien a souligné qu’une poursuite du transfert de pétrole de la région via le détroit d’Hormuz serait insignifiante si jamais l’Iran sera interdit d’exporter son propre pétrole.