C’est le roi Salmane d’Arabie saoudite qui a ordonné en personne l’arrêt du processus d’introduction en bourse de la compagnie pétrolière Aramco.
L’agence de presse Reuters qui avait fait part mercredi dernier de l’arrêt de l’introduction en bourse d’Aramco vient d’annoncer ce lundi que c’est le roi Salmane en personne qui en a donné l'ordre.
C’était après une réunion en juin dernier avec certains membres de la famille royale et hauts directeurs du secteur pétrolier, dont un directeur exécutif de la compagnie Aramco que le roi Salmane a décidé d’arrêter l’introduction en bourse de la compagnie nationale pétrolière de son pays, rapporte Reuters.
Alors qu’en Arabie saoudite c’est le roi qui dit le dernier mot, cette décision du roi Salmane ben Abdel Aziz porterait un coup dur, selon Reuters, au « Plan Vision 2030 », ce vaste projet de réformes économiques et sociétales élaboré par le prince héritier et homme fort du royaume, Mohammed ben Salmane.
Citant des sources concordantes, Reuters ajoute que le roi saoudien a aussi délimité les prérogatives du prince héritier.
C’est la deuxième fois que le roi Salmane d’Arabie saoudite se voit obligé d’intervenir et de contredire le prince héritier à cause de ses paroles ou actions.
L’année dernière, après que le prince héritier Mohammed ben Salmlane eut annoncé son approbation avec la décision américaine de reconnaître la ville sainte de Qods comme capitale d’Israël, son père, le roi Salmane, s’est vu obligé de dire à la tribune d’une conférence officielle tenue en avril en Arabie saoudite, que Riyad tenait à l’identité arabo-islamique de Qods.
À ce sujet, une source bien informée a déclaré à Reuters :
« Une question devrait largement préoccuper le roi Salmane : quel jugement portera l’histoire sur un homme qui a vendu à la fois la Palestine et Aramco ? »
C’était après une réunion en juin dernier avec certains membres de la famille royale et hauts directeurs du secteur pétrolier, dont un directeur exécutif de la compagnie Aramco que le roi Salmane a décidé d’arrêter l’introduction en bourse de la compagnie nationale pétrolière de son pays, rapporte Reuters.
Alors qu’en Arabie saoudite c’est le roi qui dit le dernier mot, cette décision du roi Salmane ben Abdel Aziz porterait un coup dur, selon Reuters, au « Plan Vision 2030 », ce vaste projet de réformes économiques et sociétales élaboré par le prince héritier et homme fort du royaume, Mohammed ben Salmane.
Citant des sources concordantes, Reuters ajoute que le roi saoudien a aussi délimité les prérogatives du prince héritier.
C’est la deuxième fois que le roi Salmane d’Arabie saoudite se voit obligé d’intervenir et de contredire le prince héritier à cause de ses paroles ou actions.
L’année dernière, après que le prince héritier Mohammed ben Salmlane eut annoncé son approbation avec la décision américaine de reconnaître la ville sainte de Qods comme capitale d’Israël, son père, le roi Salmane, s’est vu obligé de dire à la tribune d’une conférence officielle tenue en avril en Arabie saoudite, que Riyad tenait à l’identité arabo-islamique de Qods.
À ce sujet, une source bien informée a déclaré à Reuters :
« Une question devrait largement préoccuper le roi Salmane : quel jugement portera l’histoire sur un homme qui a vendu à la fois la Palestine et Aramco ? »