Le Leader de la Révolution islamique a reçu, ce vendredi 7 septembre, le président turc à Téhéran.
Lors d’une rencontre avec Recep Tayyip Erdogan et la délégation l’accompagnant, l’honorable Ayatollah Khamenei a souligné que « l’unité des pays islamiques est la nécessité la plus impérative pour le monde musulman ».
« L’unité et la coopération des pays musulmans favoriseront, certainement, le règlement des problèmes de la région ; c’est pourquoi l’Arrogance mondiale, avec à sa tête les États-Unis, s’inquiète de la coopération et du rapprochement des pays musulmans et de la formation d’une puissance islamique », a-t-il indiqué.
Pour le Leader de la Révolution islamique, cette inquiétude est la cause de l’hostilité et de l’animosité des États-Unis envers les pays musulmans puissants et forts.
« La RII et la Turquie sont deux pays puissants et dignes de respect dans la région, ayant des objectifs communs pour le monde musulman. Il leur revient donc de développer de plus en plus leur coopération bilatérale dans les domaines politique et économique », a affirmé l’Ayatollah Khamenei.
En allusion aux relations au beau fixe des deux pays depuis l’arrivée au pouvoir du courant islamique, il a déclaré qu’il fallait renforcer les points communs rapprochant l’Iran et la Turquie.
Dans une autre partie de ses propos, le Leader a rendu hommage aux positions du président turc concernant l’affaire des musulmans du Myanmar.
Il a également déclaré que la cause palestinienne était une question importante du monde musulman et qu’il ne fallait pas l’ignorer ne serait-ce qu’un seul instant.
Lors de cette rencontre à laquelle a assisté le vice-président iranien Eshaq Jahanguiri, le président turc Recep Tayyip Erdogan a qualifié de critique la situation prévalant dans la région, sans manquer de souhaiter le règlement des crises régionales à la lumière de la coopération entre les pays islamiques.
Selon ce dernier, la division des pays musulmans sur les questions régionales est à l’origine de la situation actuelle du Moyen-Orient.
« En raison du comportement de l’Occident vis-à-vis des pays indépendants musulmans, la situation devient plus sensible ; c’est pourquoi l’Iran et la Turquie doivent accroître leur solidarité et leurs liens fraternels », a ponctué le président turc.
« L’unité et la coopération des pays musulmans favoriseront, certainement, le règlement des problèmes de la région ; c’est pourquoi l’Arrogance mondiale, avec à sa tête les États-Unis, s’inquiète de la coopération et du rapprochement des pays musulmans et de la formation d’une puissance islamique », a-t-il indiqué.
Pour le Leader de la Révolution islamique, cette inquiétude est la cause de l’hostilité et de l’animosité des États-Unis envers les pays musulmans puissants et forts.
« La RII et la Turquie sont deux pays puissants et dignes de respect dans la région, ayant des objectifs communs pour le monde musulman. Il leur revient donc de développer de plus en plus leur coopération bilatérale dans les domaines politique et économique », a affirmé l’Ayatollah Khamenei.
En allusion aux relations au beau fixe des deux pays depuis l’arrivée au pouvoir du courant islamique, il a déclaré qu’il fallait renforcer les points communs rapprochant l’Iran et la Turquie.
Dans une autre partie de ses propos, le Leader a rendu hommage aux positions du président turc concernant l’affaire des musulmans du Myanmar.
Il a également déclaré que la cause palestinienne était une question importante du monde musulman et qu’il ne fallait pas l’ignorer ne serait-ce qu’un seul instant.
Lors de cette rencontre à laquelle a assisté le vice-président iranien Eshaq Jahanguiri, le président turc Recep Tayyip Erdogan a qualifié de critique la situation prévalant dans la région, sans manquer de souhaiter le règlement des crises régionales à la lumière de la coopération entre les pays islamiques.
Selon ce dernier, la division des pays musulmans sur les questions régionales est à l’origine de la situation actuelle du Moyen-Orient.
« En raison du comportement de l’Occident vis-à-vis des pays indépendants musulmans, la situation devient plus sensible ; c’est pourquoi l’Iran et la Turquie doivent accroître leur solidarité et leurs liens fraternels », a ponctué le président turc.