Sous prétexte de l’éventualité du bombardement des cibles civiles à Idlib, le ministre français des Affaires étrangères a exprimé sa vraie inquiétude concernant le sort des terroristes et des groupes armés pris au piège dans cette ville.
Le chef de la diplomatie française, Jean-Yves Le Drian, a prétendu ce mercredi devant l’Assemblée nationale à Paris que « l’hypothèse de crimes de guerre n’est pas exclue » à Idlib, dernier fief des terroristes en Syrie.