Une grande foule s’est dirigée, ce vendredi 5 octobre, vers l’est de Gaza pour participer à la manifestation dans le cadre de la Marche du grand retour.Selon la chaîne Al-Alam, le Haut Conseil national de la Marche du grand retour a baptisé ce vendredi, « le vendredi de la résistance ».
Le Conseil insiste sur la poursuite des manifestations jusqu’à la réalisation totale de tous les objectifs, dont la levée du blocus de Gaza et le retour des réfugiés palestiniens dans leur patrie.
Selon une dépêche du journaliste d’Al-Alam, les manifestants palestiniens ont réussi à enlever une partie des fils barbelés qui se trouvent à la frontière de l’est de Gaza, dans la région de Malaka.
Le porte-parole du ministère palestinien de la Santé, Ashraf Qadra, a souligné que deux Palestiniens ont été tués sous les balles des militaires israéliens. De plus, 376 Palestiniens ont été blessés par des balles tirées par les militaires israéliens à la frontière de Gaza. L’unité du « caoutchouc » a brûlé quelques pneus pour perturber la vision des soldats israéliens.
Par ailleurs, selon l’IRNA, l’armée israélienne a déclaré les frontières de Gaza avec Israël « zone militaire fermée » et installé des soldats supplémentaires le long de la frontière.
« Après l’évaluation de la situation par le chef d’état-major de l’armée Gadi Eizenkot et à la faveur d’une coopération entre les commandants de l’armée et du Shabak, il a été décidé de déployer des effectifs plus importants dans cette région et de prendre des mesures fermes pour empêcher l’infiltration à l’intérieur d’Israël », a annoncé l’armée israélienne dans un communiqué.
Les tensions entre Israéliens et Palestiniens à la frontière de Gaza se sont accrues depuis la fin mars, début de la vague de manifestations de la Marche du grand retour.
Depuis le début de l’année, de nombreuses manifestations ont eu lieu à la frontière entre Gaza et Israël, et beaucoup d’entre elles ont été marquées par des flambées de violence.
Les Palestiniens de la bande de Gaza ont exigé qu’ils soient autorisés à retourner dans leurs maisons ancestrales qui se trouvent maintenant sur le territoire sous contrôle israélien.
Soumise au blocus israélien, Gaza est affligée par la pauvreté et les pénuries. Son économie est « en chute libre », selon la Banque mondiale. De plus, les employés de l’agence onusienne pour les réfugiés palestiniens ont observé une grève générale mardi dernier dans la Bande de Gaza en protestation contre les licenciements annoncés par l’UNRWA suite à l’arrêt des financements américains, bloquant ainsi les activités de l’agence.
Le Conseil insiste sur la poursuite des manifestations jusqu’à la réalisation totale de tous les objectifs, dont la levée du blocus de Gaza et le retour des réfugiés palestiniens dans leur patrie.
Selon une dépêche du journaliste d’Al-Alam, les manifestants palestiniens ont réussi à enlever une partie des fils barbelés qui se trouvent à la frontière de l’est de Gaza, dans la région de Malaka.
Le porte-parole du ministère palestinien de la Santé, Ashraf Qadra, a souligné que deux Palestiniens ont été tués sous les balles des militaires israéliens. De plus, 376 Palestiniens ont été blessés par des balles tirées par les militaires israéliens à la frontière de Gaza. L’unité du « caoutchouc » a brûlé quelques pneus pour perturber la vision des soldats israéliens.
Par ailleurs, selon l’IRNA, l’armée israélienne a déclaré les frontières de Gaza avec Israël « zone militaire fermée » et installé des soldats supplémentaires le long de la frontière.
« Après l’évaluation de la situation par le chef d’état-major de l’armée Gadi Eizenkot et à la faveur d’une coopération entre les commandants de l’armée et du Shabak, il a été décidé de déployer des effectifs plus importants dans cette région et de prendre des mesures fermes pour empêcher l’infiltration à l’intérieur d’Israël », a annoncé l’armée israélienne dans un communiqué.
Les tensions entre Israéliens et Palestiniens à la frontière de Gaza se sont accrues depuis la fin mars, début de la vague de manifestations de la Marche du grand retour.
Depuis le début de l’année, de nombreuses manifestations ont eu lieu à la frontière entre Gaza et Israël, et beaucoup d’entre elles ont été marquées par des flambées de violence.
Les Palestiniens de la bande de Gaza ont exigé qu’ils soient autorisés à retourner dans leurs maisons ancestrales qui se trouvent maintenant sur le territoire sous contrôle israélien.
Soumise au blocus israélien, Gaza est affligée par la pauvreté et les pénuries. Son économie est « en chute libre », selon la Banque mondiale. De plus, les employés de l’agence onusienne pour les réfugiés palestiniens ont observé une grève générale mardi dernier dans la Bande de Gaza en protestation contre les licenciements annoncés par l’UNRWA suite à l’arrêt des financements américains, bloquant ainsi les activités de l’agence.