Avec la réouverture d'un poste-frontière clé avec la Jordanie, le pouvoir syrien table sur une relance de son économie sclérosée après sept ans de guerre et espère "normaliser" ses échanges économiques avec ses voisins.
Fermé pendant trois ans à cause de la présence des rebelles, le passage de Nassib a été repris en juillet aux rebelles par l'armée syrienne.
Plaque-tournante du commerce régional, sa réouverture le 15 octobre doit permettre à la Syrie d'exporter plus facilement et à moindre coût des produits agricoles et d'autres marchandises vers les pays du golfe Persique mais aussi vers l'Irak, en l'absence d'autres passages viables avec le voisin irakien.
Damas peut aussi espérer redynamiser les importations et doper les réserves de change du pays, grâce aux droits de douane.
"C'est un pas vers la réintégration économique de la Syrie" et "vers la normalisation avec la Jordanie et la région au sens large", résume Sam Heller, analyste à l'International Crisis Group.
C'est aussi "un coup dur pour les efforts des Etats-Unis visant à isoler Damas", souligne l'expert, qui pointe du doigt une "victoire politique pour le gouvernement syrien".
Plaque-tournante du commerce régional, sa réouverture le 15 octobre doit permettre à la Syrie d'exporter plus facilement et à moindre coût des produits agricoles et d'autres marchandises vers les pays du golfe Persique mais aussi vers l'Irak, en l'absence d'autres passages viables avec le voisin irakien.
Damas peut aussi espérer redynamiser les importations et doper les réserves de change du pays, grâce aux droits de douane.
"C'est un pas vers la réintégration économique de la Syrie" et "vers la normalisation avec la Jordanie et la région au sens large", résume Sam Heller, analyste à l'International Crisis Group.
C'est aussi "un coup dur pour les efforts des Etats-Unis visant à isoler Damas", souligne l'expert, qui pointe du doigt une "victoire politique pour le gouvernement syrien".