Les pays du Moyen-Orient devraient se méfier du retrait de Syrie annoncé par les États-Unis, car malgré cette allégation, ils pourraient à tout moment lancer une nouvelle offensive, prévient le journal Rai al-Youm.
Selon Sarah Sanders, porte-parole de la Maison-Blanche, le président américain Donald Trump est arrivé en Irak tard dans la nuit de Noël pour rencontrer les troupes américaines sur la base d’al-Anbar.
Une source irakienne a également déclaré que les responsables irakiens avaient décliné une invitation de Donald Trump sur la base d’Ain al-Assad, précisant qu’elle n’était pas conforme au protocole international et que la souveraineté de l’Irak était au-dessus de tout.
Le président américain avait déclaré aux journalistes présents sur la base irakienne : « Notre présence en Syrie n’est pas éternelle, mais il n’y a pas de projet de retrait de nos troupes d’Irak, et nous pourrions nous servir de ce pays comme d’une base pour nos opérations en Syrie. »