L’incident survenu en février dernier, au cours duquel un F-16 israélien a été abattu par la DCA syrienne, a ouvert un nouveau chapitre dans le face-à-face militaire entre la Syrie et plus généralement le front de la Résistance d’une part et le régime israélien d’autre part.
Avant cet incident, le régime israélien, doté des techniques les plus modernes en matière militaires et de renseignement, était capable d’entrer sans grand obstacle dans l’espace aérien de la Syrie et de cibler avec une grande précision les positions syriennes.
Pour mieux comprendre cette situation, nous devons savoir que la colonne vertébrale de la DCA syrienne est composée de dispositifs de missiles à courte et à moyenne portée, dont la majeure partie a été livrée à Damas au cours des décennies précédentes par l’ex-Union soviétique. On ne peut évidemment pas compter sur ces équipements pour contrer les nouveaux types de menaces. Avec l’entrée de la Fédération de Russie dans le conflit syrien et la livraison de S-300, de Buk-M2 et de Pantsir à Damas par Moscou, la donne a véritablement changé.
Dans la récente agression du régime israélien contre les positions de l’armée dans une vaste zone de la banlieue de Damas et à Quneitra, nous avons constaté que dès les premières secondes de l’invasion israélienne, les systèmes de défense de l’armée syrienne ont réagi et que quatre missiles téléguidés ont abattu un chasseur israélien.
Cet incident peut être considéré comme l’une des plus grandes victoires remportées ces dernières semaines par le front de la Résistance contre le régime israélien.
On s’attend depuis à ce qu’Israël ne s’aventure pas avant quelques mois dans le ciel syrien, d’une part pour ne pas subir de nouvelles pertes et d’autre part pour ne pas se décrédibiliser un peu plus.
Pour mieux comprendre cette situation, nous devons savoir que la colonne vertébrale de la DCA syrienne est composée de dispositifs de missiles à courte et à moyenne portée, dont la majeure partie a été livrée à Damas au cours des décennies précédentes par l’ex-Union soviétique. On ne peut évidemment pas compter sur ces équipements pour contrer les nouveaux types de menaces. Avec l’entrée de la Fédération de Russie dans le conflit syrien et la livraison de S-300, de Buk-M2 et de Pantsir à Damas par Moscou, la donne a véritablement changé.
Dans la récente agression du régime israélien contre les positions de l’armée dans une vaste zone de la banlieue de Damas et à Quneitra, nous avons constaté que dès les premières secondes de l’invasion israélienne, les systèmes de défense de l’armée syrienne ont réagi et que quatre missiles téléguidés ont abattu un chasseur israélien.
Cet incident peut être considéré comme l’une des plus grandes victoires remportées ces dernières semaines par le front de la Résistance contre le régime israélien.
On s’attend depuis à ce qu’Israël ne s’aventure pas avant quelques mois dans le ciel syrien, d’une part pour ne pas subir de nouvelles pertes et d’autre part pour ne pas se décrédibiliser un peu plus.