تقي زاده

تقي زاده

Pour la septième semaine consécutive, des milliers de manifestants ont organisé de nouveaux rassemblements d'envergure dans plusieurs villes des territoires occupés contre les projets du Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu de manipuler le système judiciaire du régime.

Les manifestants sont descendus dans les rues des villes côtières de Tel-Aviv et de Netanya, ainsi que de la ville sainte de Qods à l'approche d'un vote parlementaire sur les soi-disant réformes judiciaires du Premier ministre.

Les réformes visent à permettre à la Knesset (le parlement israélien) et aux responsables exécutifs du régime à contourner les décisions de la Cour suprême, en plus de donner aux parlementaires un droit de regard décisif sur la nomination des juges.

 

Un groupe de responsables gouvernementaux, de représentants, d’ambassadeurs de pays islamiques et de participants à la Compétition internationale du noble Coran ont été reçus en audience par le Leader de la Révolution islamique.

À l’occasion de la grande fête de Mab'ath (commencement de la mission du Prophète de l’Islam), un groupe de responsables du pays, de représentants et d’ambassadeurs de pays islamiques en poste à Téhéran et des gens de différentes couches de la société ainsi que des invités participant à la Compétition internationale du noble Coran ont été reçu en audience par le Leader de la Révolution islamique, l’honorable Ayatollah Ali Khamenei, ce samedi 18 février. 

Je tiens, affirme-t-il, à féliciter tous les chercheurs de Vérité et tous les musulmans du monde à l’occasion de la fête de Mab'ath, car si l’appel du Bi’that (mission prophétique) atteint le cœur des chercheurs de Vérité du monde, ils seront certainement attirés par cet appel.

« La désignation du Grand Prophète de l’Islam est le plus grand don que Dieu ait fait à l’humanité. La raison en est que sa mission (Bi’that) porte des trésors inépuisables pour l’humanité, lesquels peuvent assurer le bonheur de l’homme dans sa vie ici-bas et dans l’Au-delà », a-t-il poursuivi.

Plus loin dans son discours, l’Ayatollah Khamenei a évoqué la cause de la Palestine, affirmant : « Si les gouvernements islamiques étaient restés fermes sur la question de la Palestine dès le premier jour et s'ils avaient résisté, la situation dans la région de l’Asie occidentale aurait certainement été différente et l’Oummah islamique aurait été plus forte et plus unie aujourd’hui. »

L’Ayatollah Khamenei a réitéré les positions claires et fermes de la République islamique en faveur des Palestiniens opprimés, affirmant que l’Iran « n’a aucune réserve à soutenir et à défendre ouvertement la nation palestinienne ».

« L'Ordre islamique continuera d’aider les Palestiniens de toutes les manières possibles », a ajouté le Leader, décrivant la question de la Palestine comme l’une des principales plaies de l’Oummah islamique.

« Une nation et un pays sont soumis à une oppression sans fin et quotidienne sous les yeux du monde de l'islam et par un régime barbare et pervers ; des pays islamiques avec toutes leurs richesses et leurs capacités ne font que regarder et même certains d’entre eux, surtout récemment, accompagnent ce régime sanguinaire », a-t-il dénoncé.

Le résultat final, a déclaré l’Ayatollah Khamenei, est l’affaiblissement des pays qui gardent le silence face aux crimes de ce régime et coopèrent avec les sionistes.

« Les États-Unis, la France et plusieurs autres pays, prétendant résoudre les problèmes des musulmans, se sont donné le droit d’intervenir dans les affaires du monde de l'islam, alors qu’ils sont impuissants et incapables de résoudre leurs propres problèmes et de gérer leurs propres pays », a-t-il fait noter.

Il a également exprimé son profond chagrin concernant les récents tremblements de terre en Turquie et en Syrie, qui ont fait de nombreuses victimes, rappelant que tous les musulmans se devaient de compatir à leur douleur et à leur souffrance.  

Des images montrent des manifestations anti-guerre à Munich, en Allemagne, alors que la ville accueille une conférence sur la sécurité à laquelle participent de hauts diplomates et dirigeants occidentaux, dont la vice-présidente américaine Kamala Harris et le Premier ministre britannique Rishi Sunak.

Environ 10 000 manifestants se sont rassemblés, samedi 18 février, sur la majestueuse Königsplatz de la ville du sud de l'Allemagne avec une foule composée d'un mélange d'extrême droite et d'extrême gauche, de pacifistes et de citoyens pro-russes.

Quelques-uns portaient des drapeaux russes, mais le plus important sur les panneaux était le sentiment anti-OTAN et anti-américain qui bouillonnait depuis longtemps en Allemagne. En effet, la décision d'armer l'Ukraine reste une décision inconfortable pour de nombreux Allemands.

Les agents de sécurité ont expulsé la délégation du régime israélien venue de Tel-Aviv pour participer au sommet de l’Union africaine à Addis-Abeba, la capitale de l’Éthiopie, a fait savoir, samedi 18 février, l’agence de presse palestinienne Ma’an.

La délégation israélienne est entrée secrètement dans la salle où se tenait samedi la cérémonie d'ouverture du sommet de l’Union africaine, en utilisant de fausses identités. La délégation israélienne qui prétendait être en possession d'invitation pour assister au sommet, a été expulsée de la salle puisque la Commission de l'Union africaine avait au préalable annulé l'invitation de la délégation du régime sioniste.

À l’issue de son rapport, l’agence de presse palestinienne Ma’an a souligné que l'expulsion de la délégation israélienne a prouvé que le régime n'a pas réussi à obtenir le statut d'observateur à l'Union africaine, bien au contraire, puisque le processus d'expulsion de la délégation israélienne a prouvé que le régime d'occupation était rejeté par l'Union africaine.

 

Alors que le secrétaire général de l'OTAN a fait le rapprochement entre les guerres Ukraino-russe et sino-taïwanaise, des « pourparlers secrets » entre des responsables de la Maison Blanche et Taipei sont prévus ce week-end. 

Une délégation taïwanaise qui devrait arriver aux États-Unis au cours du week-end participera à des « pourparlers secrets » avec des responsables de la Maison Blanche, a affirmé le Financial Times, citant des sources anonymes. 

Les rencontres s'inscriront dans le cadre d'un dialogue diplomatique spécial destiné à rester privé afin d'éviter de provoquer une réaction de la Chine, qui considère Taïwan comme faisant partie de son territoire.

La délégation taïwanaise serait dirigée par le ministre des Affaires étrangères Joseph Wu et le conseiller à la sécurité nationale Wellington Koo.

La Corée du Nord a tiré au moins un missile balistique à longue portée au large de ses côtes orientales après avoir averti d'une réponse vigoureuse aux prochains exercices militaires conjoints entre les États-Unis et la Corée du Sud.

Le lancement du missile a été effectué depuis la région de Sunan près de Pyongyang, a annoncé, samedi 18 février, l'armée sud-coréenne.

Vendredi 17 février, la Corée du Nord a accusé Washington et Séoul d'avoir planifié plus de 20 exercices militaires pour cette année, dont un prévu la semaine prochaine à Washington.

Pyongyang a décrit ses rivaux comme « les grands criminels qui perturbent délibérément la paix et la stabilité de la région ».

À cet égard, l'état-major interarmées de la Corée du Sud a déclaré que la Corée du Nord a tiré un missile balistique non identifié dans la mer de l'Est, également connue sous le nom de mer du Japon.

Électricité de France (EDF) a enregistré en 2022 une perte historique de 17,9 milliards d'euros, creusant son endettement à un niveau également record de 64,5 milliards d'euros, au terme d'une année noire plombée par les déboires de son parc nucléaire, mais aussi sa contribution forcée au « bouclier tarifaire » des Français.

Les pertes, qui contrastent avec un bénéfice de 5 milliards d'euros en 2021, sont les troisièmes les plus importantes de l'histoire des entreprises françaises et les pires depuis plus de deux décennies. Cette baisse intervient malgré une hausse de 70 % des revenus d'EDF, qui s'élèvent à 144 milliards d'euros en raison de la hausse des prix mondiaux de l'énergie.

Le producteur d'électricité, en grande partie détenu par l'État, a connu une année 2022 difficile en raison d'un nombre sans précédent d'arrêts de ses réacteurs, ainsi que du plafond introduit par la France pour aider les entreprises et les ménages à faire face à la flambée des prix de l'énergie. En raison de la baisse importante de la production d'électricité, EDF a été contraint d'acheter de l'énergie pour combler le déficit du marché français, alors que les prix de l'électricité atteignaient des records.

Le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères a réagi aux allégations infondées des États-Unis et des membres du Conseil de coopération du golfe Persique (CCGP) ayant accusé la République islamique d’Iran de soutenir le terrorisme et de déstabiliser la région.

Le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Nasser Kanaani a rejeté jeudi soir le contenu du communiqué de la troisième réunion du groupe de travail conjoint des États-Unis et du CCGP concernant la République islamique d'Iran, et a estimé que la publication de tels communiqués s'inscrit dans le cadre de la stratégie antérieure menée par les États-Unis pour susciter la division entre les pays de la région.

Les ministres des gouvernements français, allemand, italien et britannique ont emboîté le pas aux États-Unis, en dénonçant le fait que l'expansion des colonies prévue par Israël ne fera qu'accroître les tensions entre Israéliens et Palestiniens.

Dans un communiqué de presse conjoint publié mardi 14 février, les ministres des Affaires étrangères de la France, de l'Allemagne, de l'Italie, de la Grande-Bretagne et des États-Unis se sont opposé à l'approbation par Israël de nouveaux projets de construction illégaux de 10 000 nouveaux logements en Cisjordanie occupée.

« Nous - les ministres des Affaires étrangères de la France, de l'Allemagne et de l'Italie, le ministre des Affaires étrangères du Royaume-Uni et le secrétaire d'État des États-Unis - sommes profondément troublés par l'annonce faite par le gouvernement israélien de l'avancement de près de 10 000 unités de peuplement et de son intention d'entamer un processus de normalisation de 9 avant-postes qui étaient auparavant considérés comme illégaux en vertu de la loi israélienne. Nous nous opposons fermement à ces actions unilatérales qui ne serviront qu'à exacerber les tensions entre Israéliens et Palestiniens et à saper les efforts pour parvenir à une solution négociée à deux États. »

Après cinq mois de projections diverses dans l’affaire de l'explosion des pipelines Nord Stream 1 et 2, les preuves parlent d’elles-mêmes désormais. Et elles disent clairement qu’il y a eu derrière les incidents des opérations de sabotage de l’Amérique et de l'OTAN. Un jeu frauduleux qui a empêché l'entrée du gaz russe en Europe et la crise énergétique sur le continent vert, le tout faisant de l'Amérique le désormais plus grand exportateur d'énergie en Europe.

C'était il y a environ cinq mois que les autorités danoises ont confirmé que le gaz du Nord Stream 2 fuyait dans la mer Baltique (eaux danoises). La Suède a également confirmé que Nord Stream 1 fuyait dans les eaux suédoises. De cette manière, l'Europe et le monde ont été informés que les gazoducs Nord Stream 1 et 2 qui acheminent le gaz russe vers l'Europe ont explosé et que la transmission a été complètement interrompue.

Depuis les premières heures de la révélation de cette nouvelle, il y a eu des spéculations pour savoir si cet incident était un accident ou un sabotage. La plupart des médias européens, en particulier les médias allemands, ont rejeté la thèse de l’accident et ont estimé que cet acte était un acte de sabotage évident et que les gouvernements des pays européens concernés avaient le devoir d’identifier aussi tôt que possible l’origine de l’incident ainsi que ses auteurs.