تقي زاده

تقي زاده

1️⃣ Tout d'abord, tous les savants ne conviennent pas qu'il est nécessaire que la femme obtienne la permission de son mari avant de sortir.*
*Selon certains savants, si quitter la maison ne porte pas atteinte à l'honneur d'un homme ou à ses droits(je veux dire ici,si la femme ne causera pas des actes impudiques,comme l'adultère, le vol etc..)il n'y a pas de problème.*
*2️⃣ La seconde est que, selon la plupart des érudits, si pendant le mariage il a été convenu par le deux parties, que, la femme a la possibilité de quitter la maison pour aller travailler etc... sans l'autorisation de son mari, dans ce cas, l'autorisation n'est pas requise.*
*3️⃣ Troisièmement, si un homme ne fournit pas les droits économiques d'une femme et que la femme doit travailler pour subvenir à ses besoins, il n'y a aucun problème à ce qu'elle sorte et parte travailler sans autorisation requise du mari.*
*En outre, il est acceptable pour une femme de sortir pour toute autre question d'ordre intellectuelle et islamique nécessaire et obligatoire.*
*Par conséquent, la permission du mari est nécessaire s'il n'y a pas de nécessité d'ordre rationnelle ou religieuse.*
*4️⃣ Ce n'est pas une question étrange ! Chaque groupe qui réussit, même s'il est très petit, a besoin d'un manager pour atteindre son objectif sous l'ombre d'une gestion et d'une coordination avec celui-ci.*
    *-L'Islam a confié la gestion des membres de la famille au mari pour diverses raisons qui sont assez claires. Bien sûr, d'autre part, il est également responsable des frais de subsistance et de la responsabilité des membres.*
   *- Tout comme chaque femme doit obtenir une autorisation pour quitter le bureau où elle travaille ; Sortir de la maison doit être coordonné avec la personne que Dieu a désignée comme chef de la maison et de la famille;En résultat les fondations de la maison et de la famille seront solides.*



          *❄️ اللّهُمَّ صَلِّ عَلَيٰ مُحَمَّدٍ وَآلِ مُحَمًَدٍ*

Tout d'abord, l'éternité dans le feu n'est pas dû a des pêchés temporaires mais c’est bien le résultat de l'incrédulité et de l'entêtement.*
*En effet, nous savons bien qu'en dehors de l'associationniste, notre Dieu Tout Puissant peut pardonner à qui il veut parmi ses serviteurs.*
*Ensuite, l'incrédulité qui est un acte répréhensible mérite l'éternité dans le feu de l'enfer, même si sa durée qui correspond à la période de vie de l'incroyant en ce monde est temporaire.*
*Prenons pour exemple le meurtre qui est un grand crime puni par la loi islamique et passible de mort. Le meurtrier a commis ce crime en l’espace de quelques instants mais aura un châtiment qui lui coutera la vie entière.*
*Toutes les peines sont ainsi car la loi prend en compte la gravité du crime commis et non le temps passé à commettre ce crime.*
*Par ailleurs, par ces actes, l'infidèle contribue à la propagation de l'incroyance à travers des générations qui se succèderont après lui.*
*Son rôle capital dans la continuité de l'incrédulité sur terre mérite donc une punition permanente.*
*Enfin, le Tout-Puissant dit dans son noble livre:*
*« Mais non! Voilà que leur apparaîtra ce qu'auparavant ils cachaient.*
*Or, s'ils étaient rendus [à la vie terrestre], ils reviendraient sûrement à ce qui leur était interdit.*
*Ce sont vraiment des menteurs. »*
*An am v/28.*
*« Puis, lorsque la mort vient à l'un deux, il dit:* *« Mon Seigneur! Fais-moi revenir (sur terre),*
*“Ainsi, (lorsque Tu me feras revenir), j’accomplirai les bonnes actions (l’action qui purifie l’âme) que j’avais abandonné.”*
*Non, la parole qu’il annonce n’est qu’un mot (sec).*
*Et il y a derrière eux un obstacle jusqu’au jour où ils vont être ressuscités. »* *Mou’minun v/99/100.*
*Ainsi, on comprend que s’il devait vivre pour toujours et à jamais, l'infidèle serait déterminé à persister dans cette incrédulité.*
*Son comportement est donc en réalité permanent.

lundi, 28 novembre 2022 11:51

HADITHS

Rasulallah - Sallallah alayhi wa alihi wa salam - :*
*"Est au service de sa famille qu'un véridique ou un martyr ou un homme auquel Allah veut le bien dans ce monde et dans l'autre."*
*Bihar al-anwar.*

*Rasulallah - Sallallah alayhi wa alihi :*
*"Le musulman est le frère du musulman ; il ne l'opprime pas et ne le livre pas [aux ennemis,...]."*
 
 Rasulallah - Sallallah alayhi wa alihi wa salam :
"Ô Abu Dharr, deux rak'at avec parcimonie dans le Tafakur (contemplation, réflexion,...) valent mieux que de rester debout pour [prier] la nuit avec un cœur inattentif."
 
Ô Abu Dharr, il y a deux grâces qui sont beaucoup négligés/perdues par les gens :*la santé et le temps libre."*
 
ImamAli:
 Prends la sagesse partout où elle se trouve! Car la sagesse, dans la poitrine de l’hypocrite, se retourne jusqu’à sortir vers ses détenants et se loger dans la poitrine des croyants!                            Nahjah al-Balâgha, Hikam n. 74
 
L’imam Al-Hassan Ak-l-Askari (paix sur lui):
« La colère est la clé de tout mal et de toute laideur. »
Source : Tuhaful Uqul, 488.

L’Imam Ali (paix sur lui) :
« Les moralités cachées se révèlent par la cohabitation »
 
 *L’Imam Ali (p) témoigne: “Le Messager d’Allah (P) dit:*
*“L’un de mes descendants sera enterré à Khorâsân.*
*Il n’est pas un malheureux qui lui rende visite sans qu’Allah ne le lui enlève son malheur, ni un pécheur sans qu’Allah n’efface ses péchés”*
*Uyun al-Akhbar, v.2,
Nous exposerons la réponse à cette question à travers différents points :*
*Premier point :*

*Les degrés des preuves divines : les purs et les élus ne se limitent pas aux prophètes et aux messagers tout comme la révélation n'est pas spécifique aux prophètes et aux messagers, tout comme cela ne concerne pas nécessairement un homme, cela peut être une femme.*
*En effet, bien qu'elle ne fut pas Prophétesse, la mère de Moussa reçue une révélation des anges.*
*A ce sujet, Le Tout-Puissant a dit : «  et à la mère de Moïse Nous avons révélé ceci : Allaite-le, et quand tu craindras pour lui, jette-le dans le fleuve. Et n'aies pas peur et ne t'attriste pas. Certes Nous allons te le rendre et ferons de lui un Messager »*
*(S qasas V *7).*
*D’autre part, nous pouvons lire à travers de nombreux versets la conversation entre des anges et la sainte Marie l'inspirant, lui parlant et lui confiant plusieurs choses bien qu’elle ne fut pas une prophétesse .*
*Ainsi , le Tout-Puissant dit :*
*« Rappelle-toi quand les Anges dirent:*
*«O Marie, certes Allah t'a élue et purifiée; et Il t'a élue au-dessus des femmes des mondes ».*
*«O Marie, obéis à Ton Seigneur, prosterne-toi, et incline-toi avec ceux qui s'inclinent».*
*[Al Imran: 42-43]*
*Et le Tout-Puissant dit :{ (Rappelle-toi) quand les Anges dirent:*
*«O Marie, voilà qu'Allah t'annonce une parole de Sa part : son nom sera «Al-Masîh», «'Issâ», fils de Marie, illustre ici-bas comme dans l'au-delà, et l'un des rapprochés d'Allah».*
*Il parlera aux gens, dans le berceau et en son âge mûr et il sera du nombre des gens de bien».*
*Elle dit: «Seigneur! Comment aurais-je un enfant, alors qu'aucun homme ne m'a touchée?» - «C'est ainsi!» dit-Il. Allah crée ce qu'Il veut. Quand Il décide d'une chose, Il lui dit seulement: «Sois» et elle est aussitôt ».*
*(Al Imrân : 45-47).*
*Et le Tout-Puissant dit : « puis, par les douleurs de l’accouchement, elle s’adossa au tronc d’un palmier en s’écriant :*
*"Malheur à moi! Que je fusse morte avant cet instant! Et que je fusse totalement oubliée ! »*
*« Alors, il l'appela d'au-dessous d'elle, [lui disant:]*
*«Ne t'afflige pas. Ton Seigneur a placé à tes pieds une source.*
*Secoue vers toi le tronc du palmier: il fera tomber sur toi des dattes fraîches et mûres.*
*Mange donc et bois et que ton œil se réjouisse! Si tu vois quelqu'un d'entre les humains, dis [lui:] «Assurément, j'ai voué un jeûne au Tout Miséricordieux :*
*je ne parlerai donc aujourd'hui à aucun être humain».*
*[Marie : 23-26].*
*De manière semblable, il est mentionné dans de nombreux récits que notre dame et maîtresse Fatima al-Zahra (que la paix soit sur elle) avait l'habitude de parler aux anges après la mort du Messager de Dieu (pslf).*
*Le deuxième point :*

*Il existe un degré de preuves divines avec laquelle les musulmans sont d'accord.  Il s’agit du statut du Mouhaddith (interlocuteur des anges).*
*Il s’agit de celui avec lequel les anges communiquent et informent des nouvelles des cieux et de la terre en insufflant dans les cœurs une certaine connaissance à travers l'inspiration en révélant ainsi des choses cachées ou apparentes qui lui est destinée alors qu'il n’est pas un prophète.*
*Notre Prophète (pslf) a confirmé la présence de personnes dans les précédentes nations occupant cette position comme mentionné dans nos lectures bien connues et célèbres.*
*Quant à ceux qui sont liés à cette nation, les Imamites soutiennent qu'ils sont les imams infaillibles de la maison du Prophète (pslf), Sayedat Az-Zahra (as), Salman Al Mohammadi et d'autre comme lui.*
*L'origine de cette station existe sans aucun doute et il n’existe aucune divergence  entre les musulmans, que ce soit au niveau des nations précédentes que de cette nation.*
*Voici quelques-unes des narrations chiites :*
*1- Al-Kulayni et d'autres ont raconté avec des chaînes de narrateurs sous l'autorité de Hamran bin Ayan qui a dit:*
*Abu Jaafar, que la paix soit sur lui, a dit :*
*« Ali, que la paix soit sur lui, était un Mouhadith, alors je suis sorti vers mes compagnons et dit :*
*« je suis venu vers toi avec un miracle »*
*et ils dirent «qu’est-ce que c'est ?*
*«J'ai entendu Abu Jaafar, (as), dire : Ali (as), était un interlocuteur »*
*ils ont dit : « tu n'as rien prouvé à moins que tu lui demandes à qui il parle. Alors je suis retourné vers lui et je lui ai dit : « j'ai dit à mes compagnons ce que tu m'as dit, et ils ont dit :*
*«  tu n'as rien fait à moins que tu lui demande à qui il parlait » ?*
*Il m’a dit « un ange lui parle»*
*j'ai dit : «tu dis : C'est un prophète ?*
*Il a dit : «  (non), il bougea sa main comme ceci…,ou comme le compagnon de Salomon, ou comme le compagnon de Moïse, ou comme Zoul Qarnayn.*
*(Al-Kafi par al-Kulayni : 1/271, Baseer al-Darat : 1/570)*
*Sa parole :*
*(Il bougea sa main comme ceci) signifie la négation c’est à dire qu'il n’est pas un prophète.*
*2- Al-Kulayni a raconté avec sa chaîne de transmission sous l'autorité de Muhammad bin Ismail, qui a dit : J'ai entendu Abu Al-Hassan, que la paix soit sur lui, dire :*
*« les imams sont des érudits honnêtes, compréhensifs et des interlocuteurs *(Mouhadith) ».*
*(Al-Kafi par al-Kulaini : 1/271)*
*3 -Al-Saffar a raconté dans sa chaîne de transmission d'Abu Baseer, sous l'autorité d'Abu Abdullah (que la paix soit sur lui) qui a dit :*
*« Ali, (pslf), était un interlocuteur, et Salman l'était aussi ».*
*J'ai dit :*
*« Quel est le signe d'un interlocuteur ?»*
*Il dit :*
*« un ange insuffle dans son cœur certaines choses»*
*(Bassirou ad’daradiat T.1\P.571)*
*Ces hadiths contiennent des preuves sur plusieurs choses :*
*Premièrement :*
*Explication du statut de Mouhadith dans sa discussion avec les anges soit par l'oreille ou le souffle dans le cœur.*
*Deuxièmement :*
*Il n'y a pas d'inhérence entre la communication avec des anges et la prophétie, car tous ceux avec qui les anges communiquent ne sont pas prophètes.*
*Troisièmement :*
*Le narrateur a fait une erreur en pensant que toute personne qui communique avec les anges est un prophète.* *Cependant, l'imam l'a corrigé, quand il a levé le doigt pour lui dire non.*
*Quatrièmement :*
*L'imam a mentionné certaines personnes qui ont eu ce statut de Mouhadith  sans pour autant avoir le titre de Prophète.*
*Ces personnes sont connues par tous les musulmans : Asif bin Barkhiya, le compagnon de Salomon et son successeur, le compagnon de Musa,  Al-Khidr, et Zul-Qarnayn.*

*Cinquièmement :*
*Les imams d'Ahl al-Bayt (que la paix soit sur eux) sont issus des Mouhadith.*
*Sixièmement :*
*La position de Mouhadith (l’interlocuteur des anges) n'est pas limitée aux imams d' Ahl al-Bayt (psl) ou à al-Khidr, Asif et Dhul-Qarnayn.*
*Dans certaines narrations, il a été mentionné que Notre Dame Fatimah al-Zahra (que la paix soit sur elle) était l'une d'entre eux ainsi que Salmanal-Muhammadi.*
*Bien entendu, leurs degrés diffèrent tout comme diffèrent les degrés de la prophétie.*
*Le troisième point :*
*La Nuit du Destin n'a pas disparu après la mort du Messager de Dieu (pslf).*
*Elle demeurera donc jusqu'au jour de la Résurrection, selon l’opinion unanime des musulmans.*
*Les anges et l'Esprit descendent la Nuit du Destin sur l'Imam du temps et le successeur de Dieu sur terre(Khalifatullah).*
*Ils lui livrent des dossiers, qui sont liés à sa position de successeur de Dieu et son imamat sur les musulmans.*
*Le fait est que la porte de la prophétie fut close après la mort du Messager de Dieu (PSL).*
*Néanmoins, les anges et l'esprit descendent et informent de la volonté de Dieu au calife de Dieu à chaque nuit de destin de l'année.*
*«  Nous l’avons certes, fait descendre (le Coran) dans La nuit d’al –Qadr ».*
*(1)Qu’est ce qui te dira ce qu’est la nuit d’al-Qadr?*
*(2)La nuit d‘ al-Qadr vaut mieux que mille mois .*
*(3)Durant celle-ci (cette nuit), les Anges et l’Esprit descendent avec la permission de leur Seigneur, pour tout ordre.*
*(4)Elle (la nuit) est Paix et Salut jusqu’à la naissance de l’aube.*
*(5) } [Al-Qadr : 1-5

Ou Pourquoi nous, les partisans de la famille du  Prophète sawas, les chiites, nous lamentons-nous des malheurs des ahl al-Bayt (as) ?
*#Réponse:La lamentation, par convention, ou coutume, est le fait de se  frapper la poitrine, le visage, la tête ou l’une des parties du corps avec la paume de la main par chagrin face à la calamité, c'est l'un des actes innés que toute personne qui subit un malheur peut manifester.*
*Elle peut revêtir plusieurs formes d'expression  :*
*comme chanter de la poésie, pleurer, pleurnicher ,crier etc….*
*[Voir :Fiqh asha à iroul husseiniya, vol. 3, p.98 en arabe].*
*Se lamenter sur les Ahl al-Bayt (as), en particulier le maître des martyrs (as) Hussein Ibn Ali, est considéré comme une manifestation de tristesse et d'anxiété pour eux (as);  c'est aussi considéré comme un des  rituels sacrés, qui s’inspire de la piété des cœurs, se référant  au  verset béni qui dit:*
*« Et quiconque exalte les injonctions sacrées d'Allah, s'inspire en effet de la piété des cœurs. »*
*sourate Al Hajj verset 32.*

و من یعظم شعائرالله فانها من تقوی القلوب
*L'état de lamentation est ainsi, comme le cas d'autres actions,  considéré comme des manifestations de chagrin, de malheur dans le sens  rituel et cultuel".*
*La preuve juridique de la permission de ces pratiques et actions est apparue au  temps des maîtres de l'existence, les Ahloul Bayt (as) ; en parler du point de vue de la loi Islamique (de sa permission et de son interdiction, de sa prépondérance et de l’absence de celle-ci),  exige une preuve  légale, tirée du législateur, et non issue d'illusions, de fantasmes, d'approbations complexes sur le plan  psychologique et autres.*
*Parmis les preuves :*
   *Ce que Cheikh al-Tusi a raconté dans [Tahdheeb al-Ahkam, vol. 8 pg. 325]*
*avec la chaîne de transmission de Khalid bin Sudair, sous l'autorité de l'Imam Jafar al-Sadiq (as), qui dit :*
*« Les poches étaient fendues et les joues des femmes (fatimides) étaient lacérées sur Al-Husayn ibn Ali (as), et comme sur lui (imam Hussein), les joues se frappent et les poches se fendent. »*
*C'est -à -dire que les gens se frappent les joues et se fendent les poches.*
   *Après avoir fait référence à la narration, Sayyid Jawad al-Amili, le juriste et chercheur, a déclaré dans*
*[Miftah al-Karama, vol. 4, p. 301],:
*« dit : L'action des femmes fatimides (leur lamentation) sur al-Husayn (que la paix soit sur lui) est fréquente (mutawatir), il est donc possible d'approuver cette question avec la constatation de l’imam Zayn al-Abidin (que la paix soit sur lui).*
   *Il a été mentionné dans la Ziara an’nahiyatoul Mouqadassah:*
*« Quand les femmes virent ton cheval en disgrâce, et qu'elles regardèrent ta selle dessus se tordre, elles sortirent brusquement des  tentes, exprimant leurs émotions , en se frappant les joues.. »*
   *Il a été rapporté « qu'Al-Aquilah Sayeda Zaynab (as) lorsqu'elle a entendu son frère Imam Al-Hussein (as) se lamenter en versant des larmes, elle est tombée en sanglots, se frappant au visage, et les femmes ont pleuré eux aussi frappant leur visage ».*
*[ Al irchad V2 p94]*
*Il a été rapporté:*
*« Lorsque l'Imam Hussein (as) a prononcé son dernier sermon au peuple, ses filles et sa sœur Zainab l'ont entendu puis commencèrent à pleurer, se lamenter en se frappant. »*
*[Al-Loof, p.53].*
*Ces narrations peuvent être considérées comme valides pour les raisons suivantes :*
   *Premièrement : l'acte des femmes Fatimides (as) était à la vue et à l'ouïe des infaillibles (as), à savoir le maître des martyrs, Zein el-Abidine et Muhammad al-Baqir (as), de sorte qu'il bénéficie de la tradition (Sunna) déclarative de trois des infaillibles (p); cela suffit dans un tel cas que l’action se soit produite en leur présence  et qu' ils ne l'aient pas interdite ou réprimée, cela relève donc d'une approbation silencieuse.*
*La narration qui est rapportée sous l’autorité de l'Imam al-Sadiq (as) :
*« Les poches étaient fendues et les joues des femmes (fatimides) étaient lacérées sur Al-Husayn  ibn Ali (as), et comme sur lui (imam Hussein), les joues se frappent et les poches se fendent. »*
*C'est -à -dire que les gens se frappent les joues et se fendent les poches.*
   *Après avoir fait référence à la narration, Sayyid Jawad al-Amili, le juriste et chercheur, a déclaré dans [Miftah al-Karama, vol. 4, p. 301],:*
*« dit : L'action des femmes fatimides (leur lamentation) sur al-Husayn (que la paix soit sur lui) est fréquente (mutawatir), il est donc possible d'approuver cette question avec la constatation de l’imam Zayn al-Abidin (que la paix soit sur lui).*
  *Il a été mentionné dans la Ziara* *an’nahiyatoul Mouqadassah:*
*« Quand les femmes virent ton cheval en disgrâce, et qu'elles regardèrent ta selle dessus se tordre, elles sortirent brusquement des  tentes, exprimant leurs émotions , en se frappant les joues.. »*
    *Il a été rapporté « qu'Al-Aquilah Sayeda Zaynab (as) lorsqu'elle a entendu son frère Imam Al-Hussein (as) se lamenter en versant des larmes, elle est tombée en sanglots, se frappant au visage, et les femmes ont pleuré eux aussi frappant leur visage ».* *[ Al irchad V2 p94]*
   *Il a été rapporté:*
*« Lorsque l'Imam Hussein (as) a prononcé son dernier sermon au peuple, ses filles et sa sœur Zainab l'ont entendu puis commencèrent à pleurer, se lamenter en se frappant. »*
*[Al-Loof, p.53].*
*Ces narrations peuvent être considérées comme valides pour les raisons suivantes :*
   *Premièrement : l'acte des femmes Fatimides (as) était à la vue et à l'ouïe des infaillibles (as), à savoir le maître des martyrs, Zein el-Abidine et Muhammad al-Baqir (as), de sorte qu'il bénéficie de la tradition (Sunna) déclarative de trois des infaillibles (p); cela suffit dans un tel cas que l’action se soit produite en leur présence  et qu' ils ne l'aient pas interdite ou réprimée, cela relève donc d'une approbation silencieuse.*
*La narration qui est rapportée sous l’autorité de l'Imam al-Sadiq (as) :*
*« Les poches étaient fendues et les joues des femmes (fatimides) étaient lacérées sur Al-Husayn ibn Ali (as), et comme sur lui, les joues se frappent et les poches se fendent. »*
*Cette approbation et légalisation montre que L'Imam (as) n'est pas dans la position de dissuasion et de dénigrement de son honorable famille, mais plutôt dans la position d'exhortation et d'encouragement.
*En effet,  les paroles de l'Imam (as) témoignent de la validité de leur action, on peut en déduire qu'il est permis de se fendre la poche et de se frapper la joue, s'accordant à ses paroles :*
*« … et comme sur lui, les joues se frappent et les poches se fendent. »*
   *Pour le second : certaines des femmes fatimides (la paix soit sur elles) jouissent du statut de pureté, comme la véridique Sayyida zainab (as), et certaines d'entre elles sont dans les plus hauts niveaux de piété et d'adhésion à la charia, et elles ont été élevées dans les maisons des Imams (as), donc leurs actions révèlent l'opinion de l'infaillible (as), sans aucun doute, sur la question.  Leur action n'est rien de moins que la biographie du législateur et la biographie des sages, etc., qui font partie des arguments de poids sur lesquels les docteurs de la loi s'appuient pour déduire des décisions sur la Charia.*
*[Voir : Fiqh des rituels, v3, p.101].*
   *Pour cette raison, le brillant juriste Sheikh Khidr bin Shallal dit dans [ Abwab Al jinân , p. 292] :*
*" Ils vous suffit la lamentation des filles et sœurs d'Al-Hussain (as), éraflant leur visage, se tailladant les poches et montrant le chagrin, avec la possibilité de l'infaillibilité de certaines d'entre elles, sans qu'on n’ait vu un des Imams témoin de la scène l’interdire"*
   *Parmi les preuves:* *Ce qui a été mentionné dans le poème de Da'bal Al-Khuza'i, qu'il a chanté en présence de l'Imam Ali ibn Musa Al-Ridha (as), et qui l'a fait pleurer et peiné*
*[Regardez:*
*Uyoun Akhbar Al-Ridha V2 page 294].*
*Et  parmi les poèmes que Daabil a récités en présence d'Al-Ridha (as) en résumé dit:*
*« Ô Fatima si tu étais présente au moment de l’événement de l’imam Hussein qui a été tué à côté de Fourat, alors tu te frapperais la joue  et tes yeux verseraient des larmes.. »*
*[Kashf Al-Ghamma,V3, page 114].*
   *Parmi les preuves: les hadiths rapportent que toute anxiété est détestée sauf pour le chef des martyrs (as), car il est aimé et recherché, et on sait que se frapper est l'un des signes de l'anxiété.*
   *Parmi les preuves :*
*Les fatwas des juristes et les Mazhab sont clairs dans la licéité  ou même la prépondérance de se lamenter sur les Ahl al-Bayt (as), en particulier le maître des martyrs (as), la tradition des croyants depuis l'âge des infaillibles (as) était basée sur des lamentations, des gémissements et des pleurs pour les Ahl al-Bayt (as), les preuves en sont abondantes; il  suffit de les relier au fait qu'elles ont été exprimées par les Fatimides d'abord, puis les processions qui en ont émergé, accompagnées de lamentations, à la vue et à l’ouïe des juristes et des Mazhab, qui les ont soutenues et même encouragées pour certains.*
lundi, 28 novembre 2022 11:38

QU'EST-CE QUE LE SAVOIR ?

Comment définir le SAVOIR ?
*- Dans le Larousse, le SAVOIR est une ACCUMULATION de CONNAISSANCES d'une Personne ou d'une COLLECTIVITÉ acquises par l'ÉTUDE, par l'OBSERVATION, par l'APPRENTISSAGE ou par l'EXPÉRIENCE.*
*(Synonyme : c'est un ACQUIS, un bagage, des Connaissances, une CULTURE, une SCIENCE).*
*- Quelle est la différence entre, le SAVOIR et la CONNAISSANCE ??*
   *- Le SAVOIR est lié à une communauté ou à un individu.*
   *- La CONNAISSANCE est quant à elle, le Processus d'assimilation individuelle de ce SAVOIR.*
*- Elle fait ainsi référence à des objets plus spécifiques mais surtout, à l'EXPÉRIENCE individuelle de ce SAVOIR.*
*- Le 6ème Imâm D'Ahlulbayte Imam Jafar as-SADEQ (as), disait :*
*- « Le SAVOIR n’est pas une ACCUMULATION de CONNAISSANCES acquises, mais il est une LUMIÈRE qui se situe dans le CŒUR de celui que DIEU veut diriger ».*
*- Puis il (as) ajouta : « Aussi, si tu veux la SCIENCE, demande d’abord à l’intérieur de toi-même, l’ESSENCE de l’ADORATION, puis demande à DIEU le SAVOIR par son utilisation et qu’IL te fasse comprendre. Alors Il te fera comprendre ».*
*- Et le SAVOIR tout entier, est pour DIEU et on ne trouve pas de SAVOIR dans le monde qui ne  Provienne pas du SAVOIR de DIEU ..*
   *- Albert Einstein.*
   *- Newton.*
   *- Galilée et tous les SAVANTS et scientifiques qui ont existé, ont obtenu leur SAVOIR de DIEU !*
*- l’Imâm As-SADEQ (as) dit :*
*- « Par DIEU ! Je sais ce qu’il y a dans les CIEUX et ce qu’il y a sur TERRE , ce qu’il y a au PARADIS et en ENFER, ce qui a été et ce qui sera jusqu’au moment où l’Heure se dressera ».*
*- Il se tût, puis il ajouta : « Je le sais du Livre de DIEU ».*

*(Al-Kâfî, Vol.1, Page 61 & 229)*

Et il voit ceux qui sont pris [morts] sans qu’ils s’y attendent – dans la mesure où il n’y a pas d’annulation ni de retour –* *comment est tombé sur eux ce qu’ils ignoraient, [comment] est venue à eux la séparation de ce monde dont ils se croyaient assurés. Ils s’avancent vers ce qui leur a été promis de l’Au-delà. Ce qui descend sur eux est indescriptible.*
*L’ivresse de la mort et les soupirs devant ce qui est perdu s’emparent d’eux. Leurs extrémités s’immobilisent et leur couleur change.*
*Ensuite, la mort pénètre davantage en eux, un trouble survient en eux, entre eux et leur parole [ils ne peuvent plus parler].*
*Il [le mort] est maintenant parmi les membres de sa famille, il regarde de ses yeux et entend de son oreille, la raison encore saine et le cœur (intelligent) maintenu. Il réfléchit sur ce à quoi il a employé sa vie, sur ce à quoi il a passé son temps.*
*Il se rappelle les biens qu’il a rassemblés, fermant les yeux sur leur origine, les prenant de [sources] claires et de [sources] ambiguës.*
*Les suites/conséquences de leur amoncellement [de façon illicite] l’accompagnent.*
*Il assiste à leur perte alors qu’ils vont rester pour ceux qu’il laisse derrière lui qui vont en profiter et prendre du plaisir avec.*
*Ainsi pour autre que lui, la réussite sans fatigue alors que pour lui c’est le fardeau sur son dos; les gages de l’homme sont alors fermés [il ne peut plus rien faire].*
*Il se mord les doigts, de regret, devant ce qui apparait de son ordre au moment de la mort, [au moment où] lui est retiré ce qu’il désirait durant sa vie.*
*Il souhaite alors que celui qui le convoitait et le jalousait, possède tout [ce qu’il avait] et lui non.*
*La mort s’empare de tout son corps au point que sa langue se mêle à son ouïe*
*[ces deux organes ne fonctionnant plus].*
*Il est parmi les membres de sa famille, mais il ne parle plus de sa langue, ni n’entend de son ouïe.*
*Il promène son regard sur leurs visages et voit leurs lèvres remuer, mais il n’entend pas leurs propos en retour.*
*Ensuite, la mort se colle davantage à lui.*
*Sa vue est saisie comme son ouïe l’a été précédemment.*
*Son âme (l’esprit) sort de son corps et il devient un cadavre parmi les membres de sa famille, qui s’attristent à ses côtés, qui s’éloignent de sa proximité. Il ne console plus celui qui pleure, ni ne répond à celui qui l’appelle.*
*Il est ensuite porté à son tombeau dans la terre où ils le laissent à ses actes. Puis, ils arrêtent de lui rendre visite.*
*” In Nahja al-Balâgha du Prince du Croyants,  Imam Ali ibn AbiTalib as , Sermon N. 109

lundi, 28 novembre 2022 11:32

Les doutes relatives au ghusl

si le doute est lié à l'accomplissement du ghusl (on ne sait pas si on a accomplit le ghusl ou non): on est tenu d'accomplir le ghusl.*
*Mais si ledit doute survient après qu'on ait accompli une prière accomplie, celle-ci demeure valable et on est tenu de faire le ghusl pour accomplir le reste des prières.*
*- si le doute est lié à la validité du ghusl (on ne sait pas s'il a été accomplit de façon correcte ou non):*
*il y a deux possibilités, à savoir :

1- le doute survient à l'issue du ghusl :*
*on considère que le ghusl est correct et on ne fait pas attention au doute.*
*2- le doute survient pendant le ghusl (avant de le mener à terme):*
*- le doute est lié au lavage de la partie droite :*
*1- si on a déjà entamé le lavage de la partie gauche, on ne devra pas faire attention audit doute.*
*2- si on n'a pas encore entamé le lavage de la partie gauche , on est tenu de laver d'abord la partie qui est l'objet du doute et la partie gauche.*
*- le doute est lié au lavage de la tête   du cou :*
*1- si on a déjà entamé le lavage de la partie droite , on ne fait pas attention au doute.*
*2- si on n'a pas encore entamé le lavage de la partie droite, on est tenu de laver d'abord la tête et le cou , ensuite la partie droite et enfin la partie gauche.*
*- la partie du corps qui suscite le doute est externe ou interne (tel le trou de la bouche d'oreille): on n'est pas tenu de la laver.*
*- On doute pendant le ghusl qu'il y a présence ou non d'un obstacle qui empêche l'eau d'atteindre l'épiderme :*
*si c'est une probabilité rationnellement admise , on est tenu de vérifier sinon rien du tout.*

L’homme est un être complexe et peu connu. Il peut accomplir des exploits et des choses extraordinaires. Ce genre d’actes découle des dimensions matérielles et spirituelles de l’homme. Matériellement, l’homme peut se servir de certains moyens et des exercices pour augmenter sa rapidité dans l’accomplissement de certaines tâches. Ou alors il peut s’habituer à certains phénomènes qui sembleraient encore stupéfiants pour d’autres personnes. Spirituellement l’homme peut aussi s’appuyer sur les forces psychologiques et psychiques pour accomplir des exploits. Le talisman et le fétichisme sont des exemples.


Sous le mot talisman il est écrit dans Majma’ul bahrein : « trois points de vu sont plus connus au sujet de la notion de talisman.
 
 1- Elle est composée du syllabe « Tal » qui signifie « effet » et « ism ».
 2- C’est un mot d’origine grec qui signifie nœud impossible à détacher. 
3- C’est la version modifiée du mot « mosallat ».[1]

L’auteur de « Kashâf istilahaat uloum wa founoon déclare : « Abdou Ali Birjandi dit dans le commentaire de tazkira que le mot talisman est un acte qui part de la force active cosmique (action) mélangée aux réceptacles terrestres réactifs (réaction) pour donner lieu à un phénomène surnaturel. En effet, pour bousculer l’univers des causes cosmiques sont nécessaires. Ces conditions se conjuguent et contribuent à la perfection du réceptacle. Celui qui maitrise ce réceptacle et sait le manipuler ou les combiner peut voir se produire des faits extraordinaires ».[2]

Donc, dans le talisman certaines forces supranaturelles sont apprivoisées à l’aide de certains objets. Par ailleurs le talisman n’est pas facile et ne relève pas du domaine de n’importe qui. Donc il ne faut pas croire aussi facilement quand quelqu’un prétend détenir la maitrise du talisman. Car certains opportunistes en ont fait une source de revenu avec laquelle ils trompent et escroquent les gens.

Le talisman est loin d’être une superstition car ses effets sont palpables. Abou Ali Sina (Avicenne) croit que la magie est causée par les esprits forts qui agissent sans se servir de la matière. Mais le talisman nait de la conjugaison des forces cosmiques et terrestres.
 Il affirme : « Les phénomènes surnaturels dans le monde ordinaire découlent de trois sources : a- L’état d’âme ; b- caractéristiques de certains corps comme par exemple l’attraction exercée par une source magnétique sur le fer et les objet en fer; c- les forces cosmiques qui au contact des forces terrestres produisent d’effet incroyables. La magie appartient à la première catégorie et le talisman relève du troisième.[3]

Après avoir apporté une définition proche de celle de Birjandi, Shahid Awwal ajoute : « Le talisman ou fétichisme est interdit et il aussi interdit d’en faire une source de revenu »[4]
Malgré ses effets incontestables, le talisman peut être annulé. On peut le faire de plusieurs manières. Comme Dieu est l’unique force capable d’agir sur la création toute entière, il vaut mieux se confier à Dieu pour tuer et annuler la magie, le talisman le fétichisme et la sorcellerie : « quiconque se fie Dieu, il le suffit ».[5] « Dieu suffit comme celui à qui on peut se réfugier »[6] Il est la cause principale, celui qui laisse agir d’autres causes et il est tout-puissant. Alors, au lieu de se tourner vers la magie, la sorcellerie, le fétichisme et autre maraboutage pour résoudre les problèmes, il vaut mieux se fier à Dieu.
Donc, le meilleur moyen pour annuler la magie et le talisman consiste à se réfugier en Dieu et à sa mer de miséricorde intarissable, car il est intrépide et puissant. Il faut se servir du saint Coran. En effet Dieu dit : « nous avons révélé dans le coran la guérison et la miséricorde divine pour ce qui ont la foi »[7] Pour empêcher l’effet de la magie et la sorcellerie il faut lire certaines sourates telles que la sourates « Ikhlâs », « Falaq », « Nâss ». Il existe également des invocations dans le livre « les clés du paradis » (mafati-ul-jinâne) qui sont très efficaces contre la magie.  

 
[1] - Majma’ul barein, Fakh dine toureyhi, recherché d’Ahmad Hosseini, Vol 5, P 7, les editions maktaba mortadhawiyya
[2] - Kashaaf istilahaat uloum founoon, Tahanawi, vol 2, p 1138, les ééditions maktabatou al Loubnân
[3] - L’encyclopédie du chiisme, Sayyed Javadi Sadr et autres auteurs, vol 9, p 117, les editions Shahid Sa’eid Mohibbi, Téhéran, 1381 hégire solaire
[4] - Safinat ul bahar de Sheikh Abbas Qomi, vol 4, p 91, deuxième impression, les editions Darou ouswa, 1416 hégire lunaire, cité dans dourous Shahid Awwal
[5] - Sourate Talaq : 3
[6] - Sourate Nisaa : 81
[7] - Sourate Israa : 82

Selon l’Imam al-Sâdiq (p), pour éloigner les soucis et l’affliction, on fait le ghusl (ablution totale), on accomplit deux rak‘ah de prière, suivies de l’invocation suivante, suivie de Âyat al-Kursî , et des sourates al-Falaq (No 113) et al-Nâs (114):

“Yâ Fârij-al-hammi! Yâ Kachif-al-ghammi! Yâ Rahmân-ad-dunyâ wa-l-âkhirati wa Rahîmayhuma! Farrij hammî wa-k-chif ghammî! Yâ Allâh-ul-Wâhid-ul-Ahad-uç-çamad-ul-lathî lam yalid wa lam yûladu wa lam yakun lahu kufwan ahadun! I‘çimnî wa tahhirnî wa-th-hib baliyyatî”

يا فارِجَ الْهَمِّ وَ يا كاشِفَ الْغَمِّ يا رَحْمنَ الدُّنْيا وَالاْخِرَةِ وَ رَحيمَهُما فَرِّجْ هَمّي وَاكْشِفْ غَمّي يا اَللهُ الْواحِدُ الاَْحَدُ الصَّمَدُ الَّذي لَمْ يَلِدْ وَ لَمْ يُولَدْ وَ لَمْ يَكُنْ لَهُ كُفُواً اَحَدٌ اِعْصِمْني وَ طَهِّرْني وَ اذْهَبْ بِبَلِيَّتي

(O Toi qui dissipes les soucis! O Toi qui apaises l’affliction! O Tout-Miséricordieux et Très-Miséricordieux de ce monde et de l’Autre-monde! Dissipe mes soucis et apaise mon affliction! O Allah, le Un, l’Unique, l’Impénétrable, Celui Qui n’a pas engendré et Qui n’est pas engendré et que personne n’est égal à Lui! Immunise-moi, purifie-moi et conjure mon malheur!)