تقي زاده

تقي زاده

1. Les médias salissent l'islam
L'islam est sans aucun doute la meilleure religion, mais les médias sont contrôlés par les occidentaux qui, eux, craignent l'islam. Les médias diffusent et impriment en permanence des informations qui calomnient l'islam. Soit ils font de la désinformation, soit ils déforment des propos ou exagèrent certains faits (quand ils ne les inventent pas).
Lorsqu'une bombe explose quelque part dans le monde, les premiers à être accusés (sans preuves) sont toujours les musulmans. C'est ce que nous constatons chaque fois à la lecture des grands titres des journaux. S'ils découvrent, plus tard, que les responsables n'étaient pas musulmans, cette nouvelle est reléguée à une page jouissant d'une moins bonne visibilité. 

2. Dans chaque communauté, il y a des brebis galeuses
Il y a bien des musulmans qui sont malhonnêtes, tricheurs, etc., mais les médias présentent les choses de façon à ce que l'on croit que seuls des musulmans peuvent être tricheurs, corrompus, etc. Il y a des brebis galeuses dans chaque communauté. 

3. Les musulmans, globalement meilleurs
Malgré toutes ces brebis galeuses au sein de la communauté musulmane, dans l'ensemble, les musulmans forment la meilleure communauté qui soit. Elle est la plus grande communauté à ne jamais boire une goutte d'alcool. Collectivement, elle est la communauté donnant le plus en charité dans le monde. Aucune communauté sur terre ne peut se vanter de surpasser les musulmans en matière de modestie et de pudeur, en matière de de sobriété et en matière de valeurs humaines et d'éthique. 

4. Jugez l'islam à son Prophète (paix et bénédictions d'Allah soient sur lui)
Si vous voulez vraiment savoir à quel point une voiture est bonne et performante, faites asseoir un expert derrière le volant. De même, le fidèle le plus exemplaire de l'islam, qui vous permettra de juger à quel point l'islam est bon, est le dernier des messagers de Dieu, i. e. le prophète Mohammad (paix sur lui). 
En plus des musulmans, plusieurs historiens et hommes de lettres non-musulmans honnêtes et impartiaux ont affirmé que le prophète Muhammad est le meilleur homme qui ait jamais vécu. Selon Michael H. Hart, qui a écrit ‘The Hundred Most Influential Men in History’ (Les cent personnes les plus influentes de l'histoire), la première position de ce palmarès revient au prophète de l'islam, Muhammad (paix sur lui). Il existe plusieurs exemples de non-musulmans qui ont rendu un sincère hommage au prophète Muhammad, comme Thomas Carlyle, l'écrivain français Lamartine, etc.

Le commandant en chef de l’armée iranienne souligne que même ceux qui prétendent être des superpuissances n’osent pas attaquer l’Iran, ajoutant que les ennemis n’atteindront pas leur « objectif sinistre » de désintégrer la République islamique d’Iran.

« Après 40 ans [depuis la victoire de la Révolution islamique], personne et aucun pays, même ceux qui prétendent être des superpuissances, n’ose envahir l’Iran ou même y penser », a déclaré le général de division Abdolrahim Moussavi.

Il a déclaré que les ennemis souhaitaient démembrer l’Iran, provoquer l’insécurité et la destruction, perturber l’économie et la production, entraver le progrès scientifique et technologique du pays, mais qu’ils n’atteindraient jamais leurs « objectifs vicieux ».

Alors que ces dernières années ont été marquées par la crise sanitaire de Covid-19 et l’inflation, les questions autour du pouvoir d’achat préoccupent la majorité des pays en Europe. En effet, avec une inflation de 10,7 % sur l’ensemble de la zone euro, un record depuis qu’elle est calculée, et la hausse des prix de l’énergie, plus de la moitié des Européens remarquent une baisse de leur pouvoir d’achat.

En France, l'intersyndicale des conducteurs de la Régie espère bien parvenir à organiser, jeudi 10 novembre, une journée «Zéro métro, zéro RER», afin de faire pression sur la RATP. Objectif : obtenir des revalorisations salariales comparables à l'inflation. Quelques heures plus tôt, le futur PDG de l'entreprise, Jean Castex, aura été auditionné par les parlementaires : cette grève peut donc aussi être perçue comme un avertissement adressé à l'ancien premier ministre.

Le même jour, la CGT organise une grande journée de grève interprofessionnelle, qui fera suite à celle, mitigée, du 27 octobre. La centrale de Montreuil espère elle aussi faire pression sur les employeurs comme sur le gouvernement, pour arracher des augmentations salariales et une hausse du salaire minimum. La journée risque donc d'être pour le moins difficile dans les transports.

Les salariés de la RATP sont appelés à la grève par leur intersyndicale pour réclamer des hausses de salaire afin de faire face à l’inflation, mais aussi pour obtenir de meilleures conditions de travail et des recrutements. D’après la direction, les salaires ont déjà été augmentés de 5,2 % en 2022.

Le climat social à la RATP s’est fortement dégradé ces derniers mois en raison de l’inflation, mais aussi à cause de l’ouverture à la concurrence du réseau de bus qui doit entrer en vigueur le 1er janvier 2025. « Depuis le début de l’année, on a un nombre de jours de grève qu’on n’a pas connu depuis un certain temps », reconnaît une source proche de la direction.

Ailleurs en Ile-de-France, le réseau opéré par la SNCF devrait lui aussi connaître quelques perturbations en raison d’une grève lancée par la CGT-Cheminots. 

Le ministère iranien des Affaires étrangères a appelé par la voix de son porte-parole à une résolution intra-régionale des problèmes du Caucase, exprimant une fois de plus son opposition à l'ingérence étrangère dans les affaires de la région.

« La résolution des problèmes du Caucase passe par les capitales des pays de la région, et non par les forces extra-régionales », a déclaré le mardi 8 novembre le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Nasser Kanaani.

Le ministre qatari des Affaires étrangères du Qatar a dénoncé la politique de « deux poids deux mesures » de l’Allemagne pour sa critique du bilan des droits de l’homme de l’hôte de la Coupe du monde ainsi que sa volonté de signer en même temps des contrats énergétiques avec le Qatar.

Le cheikh Mohammed ben Abdulrahman Al-Thani a défendu la convocation de l’ambassadeur d’Allemagne à la suite des propos de la ministre de l’Intérieur Nancy Faeser selon lesquels le respect des droits de l’Homme devrait être pris en compte comme un critère dans la sélection de l’hôte de la Coupe du monde de football.

Le Qatar a été critiqué pour son traitement des travailleurs étrangers qui construisent les installations de la Coupe du monde de football 2022.

Plus tôt ce mois-ci, l’Agence de l’ONU pour l’emploi a déclaré que le Qatar avait mené des réformes significatives qui ont « amélioré les conditions de travail et de vie de centaines de milliers de travailleurs ».

Dans un changement de cap flagrant par rapport à ses positions antérieures envers le gouvernement vénézuélien, le président français Emmanuel Macron a appelé au dialogue et au renforcement des relations bilatérales avec le gouvernement du président vénézuélien Nicolas Maduro.

Après la victoire de Nicolas Maduro à l’élection présidentielle de 2019, le gouvernement français a été l’un des gouvernements occidentaux qui, après les États-Unis, ont reconnu Juan Guaido, chef de l’opposition vénézuélienne, comme président intérimaire et ont contesté la victoire de Maduro.

La réponse écrasante de la Chine à l’investissement de 10 millions de dollars de Taïwan dans la production de puces en Lituanie. La Chine s’est résolument opposée à toute tentative de Taïwan d’essayer de rechercher l’indépendance, a déclaré, mardi 8 novembre, un porte-parole de ministère chinois des Affaires étrangères.

La mise en garde chinoise est intervenue en réponse à un plan annoncé cette semaine par l’île autonome d’investir plus de 10 millions de dollars dans la production de puces en Lituanie, a rapporté Reuters.

« La tension dans le détroit de Taïwan est due à la collusion entre les autorités du Parti démocrate progressiste (DPP) au pouvoir à Taïwan et des forces extérieures », a ajouté le porte-parole de la diplomatie chinoise, Zhao Lijian, lors d’un point de presse de routine à Pékin.

Les tensions entre la Chine et Taïwan se sont intensifiées ces dernières semaines notamment après que la présidente de la Chambre des représentants des États-Unis, Nancy Pelosi, s’est rendue à Taïwan. Elle a été la plus haute responsable américaine à se rendre à Taïwan au cours d’en 25 dernières années, une mesure qui a provoqué la colère de la Chine et a conduit à la tenue d’exercices militaires chinois autour de l’île.

Dans la foulée, l’agence de presse Xinhua a rapporté, mercredi 19 octobre, que les hauts gradés de l’armée chinoise avaient juré de « rester en état d’alerte et de se préparer à la guerre », alors que le pays fait face à une vive tension militaire avec les États-Unis.

Ces remarques ont été prononcées lors de tables rondes organisées en marge du congrès du Parti communiste chinois à Pékin.

 

Amman a averti que les relations entre la Jordanie et Israël pourraient se détériorer si le nouveau gouvernement israélien tentait de changer le statu quo en ce qui concerne la mosquée Al-Aqsa.

L’avertissement, rapporté par un radiodiffuseur public israélien, a souligné les pièges diplomatiques potentiels qui attendent le chef du parti Likoud, Benjamin Netanyahu, qui envisageait de former un cabinet avec des extrémistes de droite.

« Toute tentative de modifier le statu quo sur le mont du Temple à Qods nuira définitivement aux liens entre la Jordanie et Israël », a déclaré le radiodiffuseur citant une source jordanienne anonyme.

Avertissant Itamar Ben-Gvir, chef du parti extrémiste Otzma Yehudit, qui est censé faire partie de la coalition au pouvoir, la source jordanienne a souligné que la répétition de l’action provocatrice d'Itamar Ben-Gvir en tant que ministres du nouveau cabinet israélien pourrait ternir les relations entre les deux parties.

 

L’Ukraine dit que son intégrité territoriale est la condition de négociations avec la Russie.

La principale condition à une éventuelle reprise des négociations avec la Russie serait la restauration de l’intégrité territoriale de l’Ukraine, a déclaré, mardi 8 novembre, le secrétaire du conseil ukrainien de défense et de sécurité nationale.

Oleksiy Danilov a aussi souligné que l’Ukraine devait obtenir la « garantie » de disposer d’armements et de systèmes modernes de défense antiaérienne.

« Russie, négociations. La principale condition du président de l’Ukraine est la restauration de l’intégrité territoriale ukrainienne », a-t-il écrit sur Twitter.

Par Hiba Morad

La tristement célèbre prédiction de la secrétaire d’État américaine de l’époque, Condoleezza Rice, sur les « affres de l’enfantement d’un nouveau Moyen-Orient » en 2006 s’est révélée, au cours de la période, remarquablement loin de la vérité.

Une délégation du Mouvement de résistance islamique palestinien, Hamas, a récemment rencontré le président syrien Bachar al-Assad à Damas lors de la première visite de ce type depuis plus d’une décennie alors que les deux parties cherchent à revitaliser leurs liens.

Il ne sera pas exagéré de dire que le Hamas, qui était la composante manquante de l’axe de la Résistance, est bel et bien de retour.

Avec la réconciliation Hamas-Syrie, le scénario émergent a naturellement provoqué des inquiétudes aux États-Unis et à Tel-Aviv. Le Hamas, ainsi que d’autres membres de l’axe de la Résistance à savoir, la Syrie, le Hezbollah, l’Iran et le Yémen, constitue un front fort contre le régime d’occupation meurtrier d’enfants et ses partisans occidentaux.

Les États-Unis échouent à démanteler l’axe de la Résistance

Le rapprochement tant attendu a effectivement annulé les désaccords passés et déjoué les « attentes stratégiques » du soi-disant printemps arabe chorégraphié par les États-Unis en vue de déstabilisation supplémentaire de la région. Il a également anéanti les ambitions hégémoniques du complexe militaro-industriel américain dans la région grâce à une politique étrangère diversifiée et globale.

Selon le sociologue et analyste politique libanais, le Dr Talal Atrissi, la réconciliation entre le Hamas et le gouvernement syrien prouve que les tentatives désespérées des États-Unis de semer les graines de la discorde sectaire dans la région et de démanteler le bloc de Résistance ont été contrecarrées.

Avec le retour du Hamas, un mouvement de résistance populaire dans le monde, l’axe de la Résistance est à nouveau complet et plus inébranlable que jamais, a déclaré le Dr Atrissi dans une interview avec Press TV. De nombreux acteurs internationaux et régionaux ont tenté de créer des fissures dans l’axe de la Résistance en attisant les flammes du sectarisme à l’intérieur de la Syrie et même à l’extérieur.

Les grands médias, les journalistes et les experts politiques se sont efforcés d’élargir le fossé entre le mouvement Hamas et l’axe de la Résistance, en particulier en Syrie, pour renforcer le fait que le Hamas n’est pas une composante du corps de l’axe de la Résistance transnationale, note l’analyste politique.

En dépit des désaccords entre le Mouvement de résistance palestinien et le président syrien Bachar Assad, ajoute-t-il, le Hamas n’a pas renoncé à son rôle de résistant contre le régime d’occupation israélien tout au long de la dernière décennie. Certains principes et obligations restent constants dans le bloc de Résistance : le plus important étant l’élimination du régime d’apartheid israélien et la libération des territoires palestiniens occupés.

Un nouveau scénario régional

L’opération dite « Épée de Qods » a marqué un pas de géant dans la capacité des factions de la Résistance palestinienne à combattre l’occupation israélienne. Le retour aujourd’hui du Hamas dans le giron de l’axe de la résistance représente un moment décisif.

Le Dr Atrissi a souligné que la rencontre entre la direction du Hamas et les responsables du gouvernement syrien changera la dynamique régionale : le réalignement d’Assad avec le Hamas inclut des relations potentiellement améliorées avec les alliés du mouvement, le Qatar et la Turquie, dont les relations avec la Syrie restent fragiles.

« La réconciliation ouvrira la voie à de meilleures relations entre la Syrie et les alliés du Hamas, le Qatar et la Turquie, et cela aura également un impact sur la région », a expliqué le Dr Atrissi à Press TV, se réjouissant de l’avènement de ce qu’il considère être « une unité d’arènes ».

« Nous parlons ici d’une unité des arènes. L’arène palestinienne était unie depuis l’opération Épée de Qods qui a conduit à la mise en place d’une salle d’opération conjointe qui rassemble les factions de la Résistance palestinienne », a-t-il fait remarquer.

« Maintenant, il y a aussi une autre salle d’opération conjointe, mais cette fois en dehors de la Palestine, qui rassemble les alliés de la Résistance palestinienne, l’Iran et le Hezbollah libanais. »

Avec cela, le retour du Hamas en Syrie intensifie les opérations conjointes en termes de leadership, de cartographie et d’exécution des plans et des opérations.

La peur américano-israélienne s’intensifie

Le retour du Hamas permettra non seulement à l’axe de la Résistance de passer à un autre niveau et de développer davantage ses capacités, mais il approfondira également les craintes et les inquiétudes américaines et israéliennes.

« Cette réalité rend les choses plus difficiles pour le régime israélien, en particulier à la lumière des opérations héroïques et du soulèvement auquel nous assistons en Cisjordanie occupée », a souligné le Dr Atrissi.

L’analyste s’est empressé d’ajouter que la peur des Américains due à la récente réconciliation est logique. Les États-Unis voient l’axe de la Résistance comme un groupe « d’organisations terroristes » qui menacent la sécurité de l’entité illégitime occupant la Palestine.

La réunion de l’axe de la Résistance est vouée à déjouer tous les efforts américains, y compris la soi-disant normalisation entre le régime israélien et certains pays arabes ou le soi-disant accord du siècle, tout en mettant en danger la sécurité et l’avenir du régime israélien.

« L’inquiétude des États-Unis est due à leur peur pour la sécurité d’Israël et au fait que leurs plans dans la région du Moyen-Orient ont échoué », a affirmé M. Atrissi.

Cette réconciliation semble aggraver encore plus les malheurs et les inquiétudes des États-Unis, d’autant plus qu’ils sont impliqués dans une guerre contre la Russie et la Chine pour la suprématie mondiale.

La Syrie a toujours représenté une profondeur stratégique pour la Palestine et a toujours soutenu les mouvements de Résistance palestiniens.

« Aujourd’hui, grâce à cette réconciliation, le Hamas est de retour au premier plan. Dans toute confrontation future, Israël doit calculer les choses correctement et comprendre que la Syrie fera partie de toute confrontation à venir. De telles équations n’existaient pas avant la réconciliation », a-t-il déclaré.

Le Dr Atrissi a fini par saluer les efforts inlassables de la République islamique d’Iran, du Mouvement de résistance libanais Hezbollah et du général Qassem Soleimani, ex-commandant antiterroriste iranien, en vue de forger la réconciliation entre la Syrie et le Hamas.

« L’Iran, le Hezbollah et Haj Qassem Soleimani avaient tous pour objectif stratégique de préserver les relations avec le Hamas et de le ramener à bord ; et le principal objectif stratégique de l’axe de la Résistance est la libération de la Palestine, de toute la Palestine, et la fin de l’apartheid israélien », a-t-il souligné.

Hiba Morad est une universitaire et analyste politique basée à Téhéran, qui poursuit actuellement un doctorat en linguistique à l'Université de Téhéran.