تقي زاده

تقي زاده

lundi, 18 avril 2022 19:10

Missiles tirés; Nahal Oz tremble

La riposte tombe ! La profanation de la mosquée de Gaza ripostée. Les sirènes d’alerte ont retenti, ce dimanche, à Nahal Oz, au sud des territoires palestiniens occupés par Israël.

Selon la chaîne Telegram de Sabereen News, deux explosions ont été entendues ce dimanche 17 avril, dans l’après-midi, dans la ville de Nahal Oz, située non loin de Gaza. « Deux missiles de 107 mm ont touché la ville », ajoute Sabereen News.

Le satellite baptisé Nour-1 (Lumière, en persan) a été lancé 22 avril 2020 par la force aérospatiale du CGRI à partir du lanceur à trois étages Qassed (messager en persan). Le satellite a orbité autour de la Terre à 425 km et sa mission s’est terminée hier après près de 2 ans.

Le CGRI a diffusé 8 mars 2021 également une vidéo sur les derniers préparatifs qui ont précédé le lancement du satellite Noor-2 à bord de lanceur Qassed qui l’a placé dans sur une orbite de 500 km.

Qassed est un lanceur à trois étages. Utilisant le moteur-fusée à ergol liquide Ghadr dans le premier étage produisant 32 tonnes de poussée et mesurant 12,9 de long et 1,25 de diamètre, le moteur à propergol solide Salman dans le deuxième étage et un petit moteur inconnu comme troisième étape dont les détails viennent d’être révélés.  

À la deuxième phase, le lanceur Qassed fonctionnait par le propulseur au combustible solide de type Salman dévoilé en février 2020. Le corps extérieur et l’isolation autour du combustible solide du moteur Salman sont construits d’un matériau en fibre de carbone, ce qui a entraîné une réduction de poids significative. En outre, Salman dispose d’une buse entièrement mobile, qui relève d’une technologie de pointe et qui permet une utilisation optimale de la poussée.

dimanche, 17 avril 2022 23:41

Riyad prêt à claquer la porte du camp US?

Ben Salmane est-il décidé vraiment d'adhérer à l'axe russo-chinois et de rejoindre la guerre contre le dollar ou se livre-t-il surtout à des manœuvre de diversion destinées à prouver à Biden qu'il a en sa possession de quoi venger de Biden et de son indifférence? 

Le vendredi 15 avril  Mohammed ben Salman a téléphoné au président chinois Xi Jinping et a reçu le lendemain un autre appel du président russe Vladimir Poutine ce qui a relancé les spéculations  sur la volonté d'un prince recalcitrant cherchant peut-être à tourner le dos a l'allié stratégique américain depuis 80 ans.

Or rejoindre la nouvelle alliance russo-chinoise relève d un «coup d'État» pour le royaume car il pourrait signaler un changement d'alliance radical, non seulement dans la région du Golfe persique, mais dans toute la région du Moyen-Orient, 
L'agence de presse saoudienne "SPA" n'a pas dérogé aux phrases traditionnelles en expliquant ce qui s'est passé lors de l'appel qui  ben Salmane -président chinois, où les deux parties ont discuté des aspects des relations bilaterales, et des  efforts pour renforcer les relations stratégiques entre Quant à son homologue, l'agence de presse chinoise "Xinhua", elle n'a pas non plus abordé plus de détails, si ce n'est l'accent mis par le président chinois sur l'importance des relations sino-saoudiennes à la lumière des changements profonds et complexes que les traverse la scène internationale et régionale.

 

Le vice-président de l’Organisation de la zone franche d’Anzali, Amin Ofoghi a déclaré que la mise en œuvre du corridor maritime Chine-Kazakhstan-Iran menant au port de la Caspienne et l’utilisation du transport combiné avait réduit à moins de moitié le temps de transport des marchandises de la Chine vers l’Iran.

Se référant aux avantages du port de la Caspienne, Amin Ofoghi, a déclaré que des factures avaient transformé du port de la Caspienne en un port de troisième génération, dont l’existence d’un arrière-pays approprié, la possibilité de laisser accoster des navires à grande capacité de charge ainsi que la présence de deux villes industrielles près du port : la première est en service et la seconde est en phase de construction.

Est-ce un hasard si le petit royaume de Suède en instance d’adhésion à l’OTAN alors même que la Russie est en guerre ouverte contre cette dernière procède soudain à une méga provocation avec en toile fond l’autodafé du noble Coran, et ce, en plein mois de Ramadan ? Plus d’un observateur tendrait à voir à travers cette offense aux relents guerrière une tentative destinée à dévoyer l’opinion publique à l’occuper par des querelles internes pour le placer une fois le processus d’adhésion à l’OTAN complété et l’ire de la Russie provoquée devant le fait accompli. Et alors cette extrême droite manipulée aura à récolter avec les autres Suédois une tempête à deux niveaux : la guerre confessionnelle inter- suédoise et la guerre contre la Russie.

Le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères, Saïd Khatibzadeh, a déclaré que la République islamique d’Iran condamnait la profanation du Coran par un raciste extrémiste. Il a ajouté que cet acte de profanation incarnait une incitation à la haine et contredisait la liberté d’expression.

Téhéran a dénoncé la répétition délibérée de cet acte ignoble au courant du mois saint du Ramadan, dans le but de porter atteinte aux sentiments des musulmans en Suède et à travers le monde.

Le porte-parole a ajouté : « Nous appelons les autorités suédoises à répondre immédiatement, fortement et franchement aux auteurs de cet acte insultant et à prendre des mesures claires et tangibles pour empêcher que de tels actes ne se reproduisent ».

Des médias turcs font part des efforts d’Ankara pour améliorer ses relations avec Damas, ce dernier le dément une fois de plus.

Des sources concordantes syriennes ont rejeté, vendredi 15 avril lors d’un entretien avec le journal al-Baath, les rumeurs selon lesquelles le chef du Renseignement syrien aurait rencontré son homologue turc à Moscou.

« Ce n’est pas la première fois que les médias turcs publient ce genre de rapports qui s’inscrivent dans le cadre d’une campagne médiatique alors que s’approchent les élections présidentielles en Turquie », ont souligné les mêmes sources.

Le Maroc, dont le monarque préside le Comité Al-Qods Al-Sharif de l'Organisation de la coopération islamique, a condamné la prise d'assaut de la mosquée Al-Aqssa par les forces d'occupation israéliennes, et ce, au milieu d'une vague de condamnations. Le communiqué du ministère marocain des Affaires étrangères  exprime "la ferme condamnation du Maroc et sa ferme dénonciation de la prise d'assaut de la mosquée Al-Aqsa par les forces d'occupation israéliennes." La même déclaration dénonce de surcroît "la fermeture par les forces israéliennes des portes de la mosquée Al-Aqssa et l'attaque contre des fidèles sans défense à l'intérieur de la mosquée et dans ses cours extérieures, faisant un certain nombre de blessés".

 
dimanche, 17 avril 2022 23:33

Missiles tirés; Nahal Oz tremble

La riposte tombe ! La profanation de la mosquée de Gaza ripostée. Les sirènes d’alerte ont retenti, ce dimanche, à Nahal Oz, au sud des territoires palestiniens occupés par Israël.

Selon la chaîne Telegram de Sabereen News, deux explosions ont été entendues ce dimanche 17 avril, dans l’après-midi, dans la ville de Nahal Oz, située non loin de Gaza. « Deux missiles de 107 mm ont touché la ville », ajoute Sabereen News.

Toutes nos félicitations au Prophète Mohamad (sawas), à l’Imam Ali (as), à Sayida Fatimah Al-Zahra (sa), et à toute leur sainte famille (as) et pieuse descendance (as) pour la naissance de l’Imam Al-Hassan (as), le premier petit-fils du Messager d’Allah qui eue lieu le 15 du mois béni de Ramadan en l’an 3 de l’Hégire à Médine.


Lorsque Fatimah Al-Zahra proposa à l'Imam Ali de donner un nom au nouveau-né, il lui dit qu'il ne pouvait pas se permettre de devancer le Messager de Dieu dans cette tâche.
C'est que l'Imam Ali savait d'ores et déjà que le Prophète sawas, considérait ce premier enfant de sa fille comme son propre fils et combien cette naissance lui tenait à cœur.
La bonne nouvelle parvint au Prophète sawas. Exultant de joie, il se rendit chez sa fille pour exprimer sa réjouissance et féliciter le couple bienheureux. Om Salama - ou Asmâ' Bint 'Umays selon certaines sources, apporta l'enfant et le présenta au Prophète, lequel le prit dans ses mains, l'embrassa et l'étreignit. Puis il récita l'azan dans son oreille droite, l'iqâmah dans son oreille gauche, afin que la voix du Vrai soit la première chose qui parvienne à son ouïe.
Puis, s'adressant à l'Imam Ali, il lui demanda:
- Quel prénom as-tu donné à «mon» fils?
- Je n'aurais pas osé t'y précéder, répondit l'Imam Ali.
- Pas plus que moi-même je n'oserais y précéder mon Seigneur !
Ce dialogue entre le Prophète et Imam Ali, n'était pas encore tout à fait terminé que la révélation divine parvint au Messager de Dieu l'informant que le Créateur avait nommé le nouveau-né «Hassan». 
Il est à noter que le nom «Al-Hassan» était inconnu dans la jahiliyyeh (le pré-islam) et signifie le «Bienveillant».
Le septième jour de la naissance d'al-Hassan le Prophète revint chez Fatimah Al-Zahra pour parachever les rites. Il égorgea un mouton dont il donna un quartier à la sagefemme. En plus d'un dîner en témoignage d'estime pour ses efforts. Ensuite il rasa la tête du nouveau-né et offrit en aumône une quantité d'argent équivalent au poids des cheveux coupés. Puis, il enduisit la tête de l'enfant d'un parfum (Khalouq) à dominante de safran (annonçant à cette occasion l'interdiction de la coutume jahilite consistant à enduire la tête de l'enfant de sang). II ordonna enfin, que l'on procède à la circoncision du nouveau-né.
L'ensemble des rites que le Messager pratiqua à l'occasion de la naissance de son petit-fils seront désormais des Traditions que les Musulmans suivront.

L'Amour du Prophète sawas, pour Al-Hassan.
Si la naissance d'Al-Hassan et avant elle le mariage de ses parents étaient deux occasions pour le Prophète de fixer à travers les êtres les plus aimés de son cœur, des Traditions à la Ummah, l'amour qu'il continuera d'exprimer à l'égard de son petit-fils pendant les quelques années qu'il lui restait à vivre, lui permettra de tracer aux Musulmans beaucoup d'autres lignes de conduite et d'apporter à ce dernier (Al-Hassan) les premiers éléments indispensables à l'équilibre de la personnalité.
En effet, le tendre baiser et la douce étreinte dont le grand-père a couvé le nouveau-né le jour de sa naissance inaugura une période de plus de sept ans au cours de laquelle le Prophète sawas, ne manquera aucune occasion d'entourer al-Hassan de son amour, de ses bons soins, de sa tendresse, de ses caresses et de toutes sortes de marques d'affection.
Cet amour et cette affection du Messager pour le premier descendant de la «Maison du Message» étaient devenus d'autant plus de notoriété publique qu'ils contrastaient avec l'attitude généralement assez distante d'un père envers son enfant dans les milieux bédouins de l'époque.
Ainsi, un jour, un bédouin voyant le Prophète embrasser, étreindre et renifler le petit Al-Hassan, dit à son adresse: «Moi aussi j'ai un fils ! Mais je ne l'ai jamais embrassé». Le Messager, indigné de cette réflexion, répondit: «Ce n'est pas ma faute si Dieu a ôté la miséricorde de ton cœur».
On dirait que chaque fois que le Prophète laissait déborder ses sentiments d'affection envers son petit-fils devant les visiteurs ou les Compagnons, il tenait à faire passer un message ou un enseignement aux Musulmans. Les exemples suivants confirment l'exemple précédent à cet égard:
Selon Abou Hurayrah cité par l'Imam Ahmad:
Un jour le Prophète (saw) est venu nous accueillir en portant Al-Hassan et Al-Hussayn chacun sur une épaule, et en les embrassant alternativement. Lorsqu'il arriva à notre niveau, un homme lui dit: «Par Dieu, tu les aimes vraiment, Ô Messager de Dieu!» Le Prophète répondit: «Celui qui les aime m'aura aimé et celui qui les déteste m'aura détesté».
Selon al-Barâ' (cité par al-Bukhâri et Muslim):
«J'ai vu le Messager de Dieu porter al-Hassan sur son épaule en disant: Ô mon Dieu! Je l'aime, aime-le donc».
Toujours selon al-Barâ' (cité par al-Termithi):
«Un jour voyant Al-Hassan et Al-Hussayn, le Messager de Dieu (sawas) dit: Ô mon Dieu! Je les aime, aime-les donc».
Selon 'Aïchah:
«Le Prophète prenait Al-Hassan et l'étreignait en disant: Mon Dieu c'est mon fils, je l'aime et j'aime celui qui l'aime».
Selon Osâmah Ibn Zayd, cité par al-Tarmathi:
«J'ai vu le Messager de Dieu porter Al-Hassan et Al-Hussayn sur ses hanches en disant: Ce sont mes deux fils et les deux fils de ma fille je les aime! Aime-les donc et aime ceux qui les aiment!».
Comme on le voit à travers ces témoignages et les témoignages qui suivent, le Prophète sawas, aimait tellement Al-Hassan qu'il ne pouvait pas résister à l'envie de se prêter à des jeux d'enfant avec lui ou à le faire jouer même en présence de personnes étrangères au cercle familial. Il étreignait Hassan et Hussein en psalmodiant:
«Je les protège par les mots divins parfaits contre tout (Satan), contre le mal de toute chose mordante et rampante,  contre le mal de tout mauvais oeil, et contre le mal de jalousie(l'envieux quand il envie)».
أُعِيذُكُما بِكَلِماتِ اللّٰهِ التَّامَّةِ، وَأَسْمَائِهِ الْحُسْنَىٰ كُلِّها عامَّةً، مِنْ شَرِّ السَّامَّةِ وَالْهامَّةِ، وَمِنْ شَرِّ كُلِّ عَيْنٍ لامَّةٍ، وَمِنْ شَرِّ حاسِدٍ إِذا حَسَدَ.
Puis il (sawas) a dit: Le Prophète Ibrahim (paix soit sur lui)  avait l'habitude d'amuletter Ismaël et Isaac de cette manière.
 
Ya'lâ Ibn Marrah témoigne à cet égard:
«Un jour nous sommes sortis avec le Prophète sawas pour nous rendre à une invitation. Chemin faisant, le Prophète (sawas) apercevant Al-Hassan en train de jouer, accourut vers lui devant tout le monde, ouvrit ses bras, laissant l'enfant passer tantôt par ci tantôt par-là, s'amusant avec lui et le faisant rire. Il finit par l'attraper, posant l'une de ses mains sur son cou l'autre sur sa tête. Puis l'étreignant et l'embrassant, il dit:
- « Hassan est de moi et je suis de lui. Dieu aimera celui qui aura aimé al-Hassan