تقي زاده

تقي زاده

Un avion non identifié s’est infiltré dans l’espace aérien de la Palestine occupée, depuis le nord de l’Irak, ont rapporté des médias arabophones et hébreux.

Itay Blumental, journaliste israélien de la chaîne israélienne KAN, a posté une image, sur son compte Twitter, montrant la trajectoire d’un avion non identifié qui s’est infiltré dans l’espace aérien de la Palestine occupée. Peu après, la chaîne Telegram de Sabereen News a publié une photo de la trajectoire de cet avion, rapportant que celui-ci avait décollé de l’aéroport d’Erbil. « L’avion s’est envolé vers Chypre après une escale sur l’aéroport de Ben Gourion », selon Sabereen News.

Les plus grands pays du monde, qui représentent également une part importante de l'économie mondiale, hésitent à payer en dollars américains et utilisent plutôt leur monnaie pour faire des commerces bilatéraux ou multilatéraux.

Ces dernières années, le montant des dettes des États-Unis envers d'autres pays a atteint les 20 000 milliards de dollars, ce qui équivaut au PIB américain pendant un an. Les plus grands créanciers des États-Unis sont la Chine et le Japon. Le cours volatil du dollar pendant ces dernières années et le refus par Washington de payer ses dettes semblent avoir poussé les créanciers à reconsidérer leurs moyens de commerce et à envisager d’exclure le dollar de leurs échanges internationaux.

La liquidation du Pro chinois et Pro russo -iranien PM pakistanais  Imran  Khan ne fait-il partie d'un projet de déstabilisation des frontières orientales iraniennes? Il y a quelques jours trois religieux iraniens se faisaient attaquer en pleine mausolée de l'imam Reza par un ressortissants afghan chose totalement inouïe en 4 décennies d'accueil que l'Iran réserve à  plus de 6 millions de réfugiés afghans qui parlent la même langue que les Iraniens et qui se sont parfaitement intégrés à la société iranienne. Les observateurs ont vu donc à travers cet incident un scénario.

  Ce mercredi les sources bien informées ont affirmait que le Secret Intelligence Service britannique,  MI6, en coopération avec le pro-Erdogan  Marshal Abdul Rashid Dostum, œuvrait pour déstabiliser et insécuriser le nord de l’Afghanistan. Selon The Independent que le MI6 aurait mis quelque 250 millions de dollars d’aides financières et en armements à la disposition de Rashid Dostum, chef du Parti du mouvement national afghan. « Etant donné l’influence de Marshal Dostum dans les régions du nord de l’Afghanistan, le projet de déstabilisation du pays sera lancé bientôt », a ajouté l’analyste américain Anthony H. Cordesman. Selon ce dernier, le Secret Intelligence Service de la Grande-Bretagne et Dostum se sont rencontrés à plusieurs reprises au cours de ces six derniers mois afin de faire les coordinations nécessaires.

« Pourtant, il est peu probable que le gouvernement Taliban tombe de cette façon, mais la mise en exécution d’un tel plan par les Britanniques vise plutôt la déstabilisation du pays 

L’Arabie saoudite veut se débarrasser des fardeaux de sa guerre au Yémen et transformer son agression militaire contre le pays en un conflit interne des yéménites.

Le matin du 7 avril, la capitale saoudienne, Riyad, a été témoin d’un événement assez surprenant, lorsque le président démissionnaire du Yémen Abd-Rabbo Mansour Hadi a limogé son adjoint, Ali Mohsen al-Ahmar, de son poste, avant de publier une déclaration selon laquelle le pouvoir a été transféré à un conseil présidentiel dirigé par Rashad Al-Alimi, et qui compte parmi ses membres sept personnalités influentes qui se répartissaient parallèlement entre le nord et le sud du Yémen.

Selon un article d’Al-Araby al-Jadeed, il s’agit du deuxième conseil présidentiel à être formé après la réalisation de la réunification du Yémen en 1990, et le sixième depuis la naissance du régime républicain au Yémen du Nord. En effet, le premier conseil présidentiel a été annoncé au Nord après la révolution qui a renversé l’ancien régime en 1962.

La baisse du niveau des relations avec la Russie et l’imposition des sanctions à Moscou ne seront pas suffisantes pour assurer les intérêts de Washington. C’est pourquoi les États-Unis sont en train de créer un mécanisme qui leur permettrait de contrôler le processus des relations économiques entre la Russie et les pays européens.

Dans une analyste publiée sur le site de l’agence Tasnim, Mikaïl Modir-Rousta, analyste iranien des questions politiques de l’Eurasie, a examiné les méthodes de Washington pour exploiter la crise actuelle en Ukraine et le levier des sanctions contre la Russie.

La guerre en Ukraine a commencé il y a plus d’un mois, et tout le monde s’accorde à dire que la guerre durera encore longtemps. Dès les premiers jours de la crise, le bloc occidental, notamment les États-Unis ont entamé leurs efforts pour imposer de plus en plus de sanctions économiques à la Russie. Dans un tel processus de sanctions, les Américains passent rapidement à imposer des restrictions financières et commerciales et à bloquer les avoirs du pays cible.

jeudi, 14 avril 2022 10:57

Dame Khadija as

10 du mois Ramadan,  l'anniversaire du décès de Dame Khadija as 
 

 Khadija bt. Khuwaylid(en arabe : خَديجة بِنت خُوَيلِد) connue sous le nom Khadija Al-Kubrâ, est la surnommée "Mère des croyants" (Umm al-Mu'minîn), la première épouse du Prophète (s) et la mère de Fatima Az-Zahrâ (a). Le Prophète (s) l’épousa avant sa prophétie. Elle fut la première femme et la première personne qui crut en lui.

?Elle dépensa toute sa richesse pour répandre l’islam. Tant qu’elle était en vie, le Prophète (s) ne se remaria pas et après son décès, le Prophète (s) parlait souvent de ses qualités et la louait.

?Il eut deux fils et quatre filles de Khadija, nommés : Qâsîm, Abd Allah, Zaynab, Ruqayya, Umm Kulthûm et Fatima. Donc, tous les enfants du Prophète (s) sauf Ibrâhîm furent de Khadidja.

?Khadija décéda à La Mecque, trois ans avant l’émigration du Prophète (s). Il l’enterra dans le cimetière d'al-Ma’lâh, situé dans un endroit élevé à La Mecque.

◾ Toutes nos condoléances à l'occasion du  décés de Sayyeda Khadija (Paix sur Elle).

Lors d’un discours télévisé le lundi 11 avril, le secrétaire général du Hezbollah libanais a évoqué les récentes évolutions du Liban et de la région.

Le secrétaire général du Hezbollah, Seyyed Hassan Nasrallah, s’est particulièrement attardé sur les développements en cours en Palestine, appelant à soutenir les exploits des hommes, des femmes et de la jeune génération de la Palestine, ainsi que les fermes positions des familles des martyrs palestiniens, « et cela, en éprouvant un grand respect digne de leur grandeur ».

« Ce qui est en train de se produire à l’heure actuelle en Palestine est très significatif, par rapport à la lutte contre l’ennemi et surtout le sort du régime sioniste », a affirmé Nasrallah qui s’est par la suite adressé en ces termes aux ennemis : « Vous vivez dans l’illusion si vous comptez sur la déception ou une défaite du peuple palestinien. »

Nasrallah n’a pas manqué de parler du Liban et de la Résistance libanais, pour dire qu’« au cours de la guerre de 1996, la Résistance a su imposer à l’ennemi et à la communauté internationale une équation qui consiste à “protéger les civils au Liban tout en poursuivant la voie de résistance” ». « Dans les territoires occupés du Liban, c’était la Résistance qui a combattu l’ennemi sioniste et visé les soldats occupants », a rappelé Seyyed Hassan Nasrallah.

Il a ensuite fait allusion au massacre de Cana (bombardement israélien d’un village au sud du Liban causant la mort de centaines de Libanais) ; et d’ajouter qu’à l’époque, les États-Unis n’ont pas autorisé le Conseil de sécurité de l’ONU à adopter une résolution condamnant l’ennemi sioniste pour avoir commis ce massacre. Nasrallah a ainsi dénoncé la classique attitude américaine de soutenir les agresseurs, ceux-là mêmes qui commencent la guerre. « Ce n’est pas dans l’attitude américaine de les sanctionner, voire condamner », a-t-il ajouté.

Une frange d'analystes toujours curieux de suivre les hauts et les bas de la politique chinoise en mer Rouge se demande depuis quelques heures quelle mouche a piqué Pékin pour qu'il envoie son navire charger une grosse quantité de pétrole à Hadramout, l'une des province les plus pétrolifères du Yémen avec Maarib Chabwa ou encore al Jawf et ce non pas en signant des contrats avec les yéménites mais avec les Emiratis. Al Massirah, chaine de TV de la Résistance rapporte ainsi la nouvelle : "Le navire APOLYTARES (Crude Oil Tanker) a accosté au port d'Ash-Shihr dans la province de l'Hadramout, dans l'est du Yémen, en provenance du port chinois de Zhoushan dans le but de piller le pétrole brut yéménite, a déclaré dimanche une source au ministère du Pétrole à Sanaa.

"La source a expliqué que le pétrolier géant chinois se prépare à "piller "(316 679) mille tonnes de pétrole brut, ce qui équivaut à (2 375 090) millions de barils.