La Traité du Quirinal, conclu par la France et l’Italie, ainsi que le projet de gouvernement du prochain chancelier allemand, Olaf Schotz, sont incompatibles avec l’histoire de l’Union européenne. Paris et Berlin viennent de poser des actes concrets qui ne peuvent qu’amorcer l’inévitable dissolution de l’Union européenne.

تقي زاده
Qelques doua tirer de Sahifa Al Sajjadiyya
Qelques doua tirer de Sahifa Al Sajjadiyya
Dans le Qur’an, Allah swt dit :
« Votre Seigneur a dit : Appellez Moi et Je vous répondrai…. » (40 :60)
Le Prophète sawas a dit :
« Le Dua est l’arme du croyant, le pilier de la religion et la lumière des cieux et de la terre. »
« Le Dua est la meilleure forme de vénération et de rappel au souvenir d’Allah swt. »
« Le Dua est l’acte le plus plaisant sur terre offert à Allah swt. »
« Le Dua chasse les désastres, les événements malheureux et le mal »
« Le Dua est le remède de tous les maux. »
Imam Djaffar Sadiq (a.s) a dit :
« Allah ne satisfait jamais les Duas qui viennent du cœur d’une manière indifférente. Aussi, quand vous offrez votre Dua, faites le en concentrant toute votre attention sur Allah, et ayez la certitude totale que vos souhaits seront réalisés par Allah swt. »
Ecrivez vous-même un Dua en vous inspirant du SAHIFA.
« Ô Celui par qui les nœuds des contrariétés se dénouent……
Ouvre moi, Seigneur, la porte de la délivrance par Ta Grâce…. »
Dua 7
« Ô mon Dieu ! Même si je pleure jusqu’à ce que tombent mes paupières, hurler jusqu’à perdre ma voix, me tenir debout jusqu’à ce que mes pieds enflent…..
…si je mange la poussière de la terre tout le long de ma vie….
Je ne mériterai pas pour autant l’effacement d’un seul de tous mes péchés. »
Dua 16
« Ô mon Dieu ! Délie ce qu’il (Shaytan) a noué ! Découds ce qu’il a cousu ! Défais ce qu’il a arrangé ! Détruis ce qu’il a fondé !.... »
Dua 17
« Ô mon Dieu ! Achève par Ton Pardon, le terme (de ma vie)… ! »
Dua 20
« Ô Allah ! Fais que mon obéissance à mes parents et ma piété à leur égard me procurent plus de plaisir que le sommeil de l’assoupi, plus rafraichissants pour moi que l’eau pour l’assoiffé, afin que je puisse faire passer leurs souhaits avant les miens, leur satisfaction avant la mienne. »
« Ô Allah ! Abaisse ma voix en leur présence ! Rends mes paroles agréables à leurs oreilles ! Adoucis mon tempérament devant eux ! Fais
L’Union européenne amorce sa dissolution
À la fin de la Seconde Guerre mondiale, Winston Churchill imagina un système permettant aux Anglo-Saxons de s’assurer que l’Europe occidentale ne tomberait pas dans les mains de l’Union soviétique et qu’ils en conserveraient le contrôle. Il s’agissait de créer un marché commun européen avec les pays ruinés qui acceptaient le Plan Marshall [1].
Les États-Unis et le Royaume-Uni avançaient alors de concert. En quelques années, ils jetèrent les bases de notre monde : l’Otan est une alliance militaire dominée par eux, tandis que ce qui est devenu l’Union européenne est l’organisation civile pour leurs alliés. Certes, les membres d’une institution ne sont pas nécessairement membres de l’autre, mais il n’en reste pas moins que, basées à Bruxelles, l’une et l’autre sont les deux faces d’une même médaille. Les services communs des deux structures sont discrètement installés au Luxembourg.
Après la crise entre Washington et Londres lors de l’expédition de Suez, le Royaume-Uni qui était en train de perdre son Empire, décida d’entrer dans ce qui n’était pas encore l’Union européenne. Si Harold Macmillan échoua en 1958, Edward Heath y parvint en 1973. Mais l’équilibre des forces évoluant encore, le Royaume-Uni quitta l’Union européenne fin 2020, se tournant à nouveau vers son ancien Empire (« Global Britain »).
Tous les documents de l’Union européenne sont traduits dans chaque langue officielle des pays membres. Plus l’anglais qui en est devenu la langue officielle alors qu’il ne l’est plus d’aucun de ses membres. Ce n’est pas parce que les Britanniques en ont fait partie, mais parce que l’Union est sous la coupe de l’Otan ainsi que le précise l’article 42, paragraphe 7 du Traité sur l’Union européenne modifié par le Traité de Lisbonne (qui a remplacé par la force le Traité constitutionnel rejeté par les peuples) [2].
L’Allemagne, qui fut occupée par les quatre vainqueurs de la Seconde Guerre mondiale jusqu’en 1990, c’est-à-dire après sa réunification, s’est toujours satisfaite de ne plus être une puissance militaire. Aujourd’hui encore, ses services secrets, réorganisés par les USA avec leur ancien personnel nazi, leur sont toujours tout dévoués, tandis que le Pentagone y dispose de très importantes bases militaires avec fiction d’exterritorialité.
La France, au contraire, rêve d’indépendance militaire. C’est pourquoi Charles De Gaulle, qui avait été le leader de la France Libre durant la Seconde Guerre mondiale, la fit quitter le commandement intégré de l’Otan, en 1966. Mais Nicolas Sarkozy, qui avait été élevé adolescent par le fils du créateur états-unien du réseau Stay-behind de l’Otan (« Gladio »), la réintégra en 2009. Aujourd’hui, les opérations extérieures de l’armée française sont donc, en pratique, commandées in fine par des officiers états-uniens.
Durant des années, l’Allemagne et la France prirent le leadership de ce qui est devenu l’Union européenne. François Mitterrand et Helmut Kohl imaginèrent de transformer le marché commun en un État supranational —toujours vassal des États-Unis— capable de rivaliser avec l’URSS et la Chine : l’Union européenne. Cette structure, à la quelle les États-Unis exigèrent que les anciens membres du Pacte de Varsovie adhérent en même temps qu’ils rejoignaient l’Otan, devint une bureaucratie colossale. Malgré les apparences, le Conseil des chefs d’État et de gouvernement n’est pas un super-gouvernement, mais une chambre d’enregistrement des décisions de l’Otan. Celles-ci sont élaborées par l’Alliance atlantique —toujours dominée par les États-Unis et le Royaume-Uni—, puis transmises à la Commission européenne, soumises au Parlement et en définitive ratifiées par le Conseil.
Il faut bien comprendre que l’Otan à vocation à se mêler de tout : de la composition du chocolat (il y a une barre de chocolat dans la ration du soldat) à la construction des ponts (ils doivent être utilisables par des blindés), en passant par les vaccins anti-Covid (la santé des civils conditionne celle des militaires) ou les virements bancaires (il faut surveiller les transactions ennemies).
Les armées britannique et française étaient les deux seules qui pesaient dans l’Union européenne. Elles se sont donc rapprochées avec les Traités de Lancaster House, en 2010. Mais lorsqu’intervint le Brexit, l’armée française se retrouva encore seule, comme l’atteste la résiliation des contrats franco-australiens de construction de sous-marins au profit de Londres. La seule option qui restait à la France était de se rapprocher de l’armée italienne, pourtant deux fois plus petite que la française. C’est ce qui vient d’être décidé avec le Traité du Quirinal (2021). Cette opération a été facilitée par l’idéologie commune d’Emmanuel Macron (ancien banquier chez Rothschild) et Mario Draghi (ancien banquier chez Goldman Sachs) et leur leadership commun sur la réponse politique à l’épidémie de Covid. Au passage, on remarquera l’invraisemblable jargon politiquement correct dans lequel ce document est rédigé, très loin des traditions latines [3].
Il se trouve que dans le même temps, la chancelière Angela Merkel cède sa place à Olaf Scholtz. Celui-ci n’a que faire, ni des questions militaires, ni des déficits budgétaires français et italiens. L’accord de coalition de son gouvernement [4] aligne la politique étrangère allemande en tous points sur celle des Anglo-Saxons (USA + Royaume-Uni).
Jusqu’alors les gouvernements d’Angela Merkel luttaient contre l’antisémitisme. Le gouvernement Scholz va plus loin en s’engageant à soutenir « toutes les initiatives qui promeuvent la vie juive et promeuvent sa diversité ». Il ne s’agit plus de protéger une minorité, mais de la promouvoir.
Concernant Israël, que le Royaume-Uni et les États-Unis ont créés dans une logique impériale [5], le nouvel accord stipule également que « la sécurité d’Israël est un intérêt national » de l’Allemagne, et promet de bloquer « les tentatives antisémites de condamner Israël, y compris à l’ONU ». Il déclare que l’Allemagne continuera à soutenir la solution à deux États du conflit israélo-palestinien (c’est-à-dire qu’elle s’opposera au principe « un homme, une voix ») et se félicite de la normalisation des relations entre Israël et les pays arabes. Ce faisant, le gouvernement Scholz enterre la politique traditionnelle du SPD, dont le ministre des Affaires étrangères, Sigmar Gabriel (2013-18), qualifiait le régime israélien d’« apartheid ».
Olaf Schotz est un avocat préoccupé de faire fonctionner l’industrie de son pays sur la base d’un compromis entre les ouvriers et le patronat. Il n’a jamais trop été présent sur les questions internationales. Il a désigné la juriste verte Annalena Baerbock comme ministre des Affaires étrangères. Elle n’est pas seulement une partisane des énergies décarbonées, mais un agent d’influence de l’Otan. Elle soutient haut et fort le principe de l’adhésion de l’Ukraine à l’Otan et à l’Union européenne. Elle est opposée à la Russie et donc refuse le gazoduc Nord Stream 2 et encourage le projet de terminaux gaziers pour importer du gaz des États-Unis par méthaniers malgré le prix exorbitant de ces installations. Enfin elle qualifie la Chine de « rival systémique » et soutient tous ses séparatismes, taïwanais, tibétains et ouïghours.
Il est prévisible que les politiques de Berlin et de Paris vont donc lentement s’éloigner jusqu’à faire ressurgir le conflit qui opposa les deux pays, causant trois guerres de 1870 à 1945. Contrairement à la publicité, ainsi que je l’ai rappelé plus haut, l’Union européenne n’a pas été créée pour assurer la paix en Europe occidentale, mais pour stabiliser les populations dans le camps anglo-saxon durant la Guerre froide. Le conflit franco-allemand n’a jamais été résolu. L’Union européenne, bien loin de faire la paix, a posé un édredon sur le problème plutôt que de le régler. Durant les guerres de Yougoslavie, les deux pays se sont durement affrontés militairement : l’Allemagne soutenait la Croatie, tandis que la France soutenait la Serbie. Berlin et Paris s’entendaient dans les frontières de l’Union, mais se faisaient la guerre à l’extérieur. Les spécialistes des opérations spéciales savent qu’il y a eu des morts des deux côtés.
Les politiques étrangères qui fonctionnent sont celles qui traduisent l’identité de leur nation. Aujourd’hui, le Royaume-Uni et l’Allemagne poursuivent leur route, fiers de ce qu’ils sont, pas la France qui traverse une crise d’identité. Emmanuel Macron assurait au début de son mandat qu’« il n’y a pas de culture française ». Il a changé de discours depuis, sous la pression de son peuple ; de discours, mais pas de pensée. La France a des moyens, mais ne sait plus qui elle est. Elle poursuit la chimère d’une Union européenne indépendante rivalisant avec les États-Unis alors que les 26 autres membres n’en veulent pas. L’Allemagne commet cependant une erreur en s’abritant sous le parapluie nucléaire états-unien alors que cette grande puissance est entrée en décomposition.
Il est évident que nous venons d’enter dans la phase de dissolution de l’Union européenne. C’est une chance pour chacun de retrouver sa pleine indépendance, tant cette structure est sclérosée. Mais c’est aussi, et surtout, un défi qui peut vite tourner au drame. Les États-Unis s’effondrent sur eux-mêmes et bientôt l’Union européenne n’aura plus de suzerain. Ceux qui la composent devront se positionner chacun face aux autres. Il est extrêmement urgent de commencer à nous comprendre non plus comme de simples partenaires commerciaux, mais comme des partenaires en toutes choses. Ne pas le faire conduira inévitablement à la catastrophe, à la guerre généralisée.
Chacun a pu constater que tous les membres de l’Union européenne —sauf les Anglais, mais ils sont partis— partagent des éléments culturels communs. Ces éléments sont aussi ceux de la Russie qui est plus proche de l’Union que ne l’est le Royaume-Uni. Il est désormais possible de reconstruire l’Europe comme un réseau d’États et non plus comme une bureaucratie centralisée, en s’ouvrant à ceux qui étaient artificiellement séparés par les Anglo-Saxons pour assurer leur domination sur le continent durant toute la Guerre froide. C’est ce dont parlait Charles De Gaulle lorsque, s’opposant à Winston Churchill, il déclarait vouloir l’« Europe de Brest à Vladivostok ».
[1] « Histoire secrète de l’Union européenne », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 28 juin 2004.
[2] Art. 42 §7 : « Au cas où un État membre serait l’objet d’une agression armée sur son territoire, les autres États membres lui doivent aide et assistance par tous les moyens en leur pouvoir, conformément à l’article 51 de la charte des Nations unies. Cela n’affecte pas le caractère spécifique de la politique de sécurité et de défense de certains États membres.
Les engagements et la coopération dans ce domaine demeurent conformes aux engagements souscrits au sein de l’Organisation du traité de l’Atlantique Nord, qui reste, pour les États qui en sont membres, le fondement de leur défense collective et l’instance de sa mise en œuvre ».
[3] « Traité du Quirinal », Réseau Voltaire, 26 novembre 2021.
[4] Mehr Fortschritt wagen. Bündnis für Freiheit, Gerechtigkeit und Nachhaltigkeit, Sozialdemokratischen Partei Deutschlands (SPD), Bündnis 90 / Die Grünen und den Freien Demokraten (FDP), 2021.
[5] « Qui est l’ennemi ? », par Thierry Meyssan, Réseau Voltaire, 4 août 2014.
« Quittez les environs de l'Iran, sinon on vous en fera voir bien pire que l'Afghanistan »
Appelant les États-Unis à se retirer de la région du Moyen-Orient, le commandant en chef de la Force Qods du Corps des gardiens de la Révolution islamique a menacé les Américains d’une défaite plus humiliante que celle subie en Afghanistan.
Le général de brigade Esmaïl Qaani, commandant en chef de la Force Qods du CGRI, s’est adressé aux ennemis de la Révolution islamique en martelant : « Fini le temps où vous pouviez faire n’importe quoi sans que personne ne vous dise rien ! Aucune des actions de l’ennemi ne restera sans riposte. »
« Où en sont-ils [les Américains] après 20 années de guerre en Afghanistan ? », a-t-il lancé en soulignant que la défaite en Afghanistan est l’échec le plus important qu’aient jamais subi les États-Unis et qu'ils ont tenté de cacher avec une campagne médiatique.
« Les États-Unis provoquent des guerres à travers le monde pour faire des bénéfices en vendant des armes ; mais, en Irak et en Afghanistan, ils se sont engagés directement, alors qu’ils n’ont abouti à aucun résultat, ils ont recouru aux négociations qu’ils ont utilisées pour imposer un tel malheur au peuple afghan. »
« Nous disons aux Américains : vous avez encore le temps de vous retirer de notre région bien que dans l’humiliation, sinon vous vivrez une expulsion pire que celle vous avez subie en Afghanistan ; nos martyrs ont sacrifié leur vie dans le but ultime de mettre fin à votre existence », a-t-il mis en garde.
Pendant des années, les États-Unis ont parlé directement et indirectement de sanctions mais la nation iranienne, poursuivant le chemin des martyrs, est aujourd’hui capable de donner une réponse foudroyante à leur moindre bêtise.
Après avoir perdu un F-35 de plusieurs millions de dollars au large de Baniyas en Syrie, sa Majesté sort ses drones à Idlib!
Après avoir entraîné le Frère Erdogan dans le bourbier syrien, Londres est-il décidé désormais à le jouer visage démasqué? Il y a deux semaines un F-35 de Sa Majesté s'abîmait en Méditerranée orientale de la façon la plus scandaleuse qui soit. L'épave, les Britanniques viennent de le reconnaître aujourd'hui n'a pas été retrouvée, une tierce partie l'ayant subtilisé. Londres fera-t-il mieux avec ses drones? Le Royaume-Uni a officiellement revendiqué la responsabilité de la frappe de drones du 25 octobre sur le nord-est de la Syrie, qui a coûté la vie à un membre du groupe terroriste Daech, a-t-on appris du site web South Front. « L'équipage d'un [MQ-9] Reaper téléguidé, armé de missiles Hellfire, a suivi un terroriste dans le nord de la Syrie, près de la ville de Ras al-Aïn, et à un moment sûr, lorsque l'individu était seul dans un champ, a mené une grève avec succès », a déclaré le ministère britannique de la Défense dans un communiqué publié le 27 novembre.
A Vienne, les USA sont déjà cuits ....
Au quatrième jour des pourparlers à Vienne, le camp américain parait déjà mis échec et mat: catégorique, le négociateur en chef Bagheri Kani a mis sur la table deux documents séparé, l'un concernant les exigences iraniennes pour une levée des sanctions, l'autre lié aux engagements que l'Iran serait prêt à reprendre si évidemment les sanctions étaient démantelées. A Middle East Eye, Bagheri a répété il y a quelques heures que : "L'Iran ne renoncera à aucun prix à son enrichissement d’uranium et que la balle est désormais dans le camp des Américains"; "l'Iran est très sérieux dans ses pourparlers" d'où la composition de sa délégation uniquement fait de hauts économistes et ambassadeur"; " l'Iran rejette catégoriquement un accord à minima " moins VS moins" et ne concédera pas non plus à un "PGAC plus ( incluant missile et politique régionale iranienne)", "l'Iran se moque des pressions américaines qui n'ont plus aucun effet" alors même que Washington se fatigue à multiplier des mises en gardes.
Un accord balistique prolongé de 10 ans
Le ministère chinois des Affaires étrangères a annoncé la prolongation de l’accord russo-chinois sur les missiles. Son porte-parole a souligné que Moscou était plus qu'un allié pour Pékin.
Wang Wenbin, le porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, a annoncé ce jeudi la prolongation de dix ans de l'accord sur les missiles entre Pékin et Moscou. Il a déclaré lors d'une conférence de presse que le protocole de prolongation de l'accord entre la Russie et la Chine sur les missiles avait été mise en œuvre ce mercredi 1er décembre.
Le diplomate chinois a indiqué que cette décision illustre le niveau élevé du partenariat stratégique global entre la Chine et la Russie et leur détermination commune à maintenir la stabilité stratégique mondiale.
« L’accord contribue de manière significative à la protection du système international de contrôle des armements et à la paix et la sécurité mondiale », a-t-il ajouté.
Police des frontières pour Qods, Akka, Lod...
Nouvelle opération anti Israël à Qods ce mercredi suivi ce jeudi d'un acte de bravoure à Qods ou un Palestinien a pris pour cible de son arme blanche des colons. Puis ce jeudi cette autre attaque anti sioniste en pleine Cisjordanie où deux véhicules israéliens ont été incendiés. Bref Israël a peur de tout, de Gaza, de la Cisjordanie et de la Palestine historique! D'où cette idée parfaitement folle de créer une police des frontières à l'intérieur d'Israël. Avec une nouvelle désignation, l'Unité de police spéciale recevra 10 millions de shekels supplémentaires car elle est officiellement chargée de mener des opérations dites "antiterroristes" majeures.
Le Premier ministre israélien, Naftali Bennett a déclaré mercredi la création de l'unité spéciale de la police israélienne, a défaut d'une armée dont les forces élites trainent divers, Golani, Nahal, Mitkal..., mais qui sont incapables de faire face à la Résistance . Cette nouvelle force s'accompagne à la fois de responsabilités et de financements supplémentaires.
L'axe Israël/Turquie sap-t-il les liens commerciaux Iran/Russie...
Dans un élan étrange, le gouvernement russe a interdit l'importation des fruits et légumes en provenance de l'Iran. Selon les hommes d'affaires iraniens, cette mesure est le résultat d'une décision des concurrents de l'Iran sur le marché russe, le régime sioniste entre autres. Mais que se cache-t-il derrière l’interdiction de l’importation des produits agricoles iraniens vers la Russie ?
Ces dernières années, l'Iran détenait une petite part du marché alimentaire russe; en raison des sanctions européennes contre la Russie et les frictions existantes dans ses relations avec la Turquie, l'espace s'était pourtant ouvert pour les exportateurs iraniens.
Suite à l'investiture du président Ebrahim Raïssi en août dernier et aux changements entrepris dans la politique étrangère de l’Iran envers l’Occident, en seulement quelques mois, la contribution de l'Iran sur le marché russe a fortement augmenté et les exportations agricoles iraniennes ont bondi de manière significative. Les produits iraniens sont entrées en concurrence avec les produits turcs et israéliens, qui avaient pourtant longtemps dominé le marché russe.
Une décision aussi soudaine ne peut que porter un coup dur aux relations commerciales irano-russes et mettre en péril leur partenariat stratégique.
Il va sans dire que l'ambassade d'Iran à Moscou est censée suivre l’affaire pour apaiser les inquiétudes des producteurs iraniens, d'autant plus que le 13e gouvernement de la RII dirigé par Ebrahim Raïssi a à maintes reprises annoncé sa propension à commercer avec les pays voisins.
Toujours est-il que des centaines d’horticulteurs iraniens ne sont plus en mesure d'honorer leurs contrats avec les firmes russes et ils ont été endommagés.
Pour conserver Maarib, l’axe US/Israël prêt à renoncer à Aden
Selon les révélations faites par Mohammed Waraq, membre du Parlement du gouvernement démissionnaire du Yémen, l'opération menée par la coalition saoudienne sur la côte ouest du Yémen était planifiée par les États-Unis et la Grande-Bretagne dans le but de créer une nouvelle province cette zone.
Dans un article publié sur sa page Facebook, Mohammed Waraq détaille le plan mis en œuvre sur la côte ouest du Yémen pour créer une nouvelle province permettant de dominer une zone en forme d’arc, située entre al-Makha et Taëz en passant par Bab el-Mandeb.
Selon le représentant du gouvernement démissionnaire yéménite, l'opération appelée al-Saham al-Fadhi et lancée le 15 juin 2018 par les services de renseignement britanniques contre al-Hudaydah (ouest du Yémen) avait pour objectif de consolider le déploiement des forces côtières sur une bande longue et étroite le long de la côte d'al-Tahami jusqu’à al-Khukha à Hudaydah.
Soulignant l’implication des États-Unis dans l’opération, Waraq a affirmé que la décision a pour objectif d’assurer les intérêts américano-britanniques sur les îles et la côte ouest du Yémen.
L’opération n’est pas une réaction aux récents retraits de certains éléments mais s’inscrit dans le cadre des tentatives de gagner du temps pour les préparatifs de l’accomplissement du projet principal c’est-à-dire : l’annonce sur la création de la province censée être remise à Afash.
Pourquoi les USA fixent-ils une date butoir pour le tracé de la frontière maritime Liban-Israël?
Au Liban, il y a un détail qui semble avoir échappé aux analystes et observateurs, à savoir cet ultimatum lancé par les Yankee aux Libanais au-delà de quoi, les négociations gazières indirectes Israël/Liban pourraient échouer. En effet, l'annonce d'une date butoir par l'Amérique pour le tracé de la frontière maritime séparant le Liban des territoires occupés de la Palestine viserait surtout à suggérer l’affaiblissement du gouvernement consensuel de Mikati, un peu à l'image de l'affaire Kadhafi et ce évidemment dans l"intérêt des partis pro-US au seuil des législatives libanaises sur quoi l’ambassade US a trop compté pour éliminer le Hezbollah. Il y a quelques semaines, le nouveau médiateur américain dans le processus de négociation indirecte pour le tracé des frontières maritimes entre le Liban et Israël, l'Israélo-américain Amos Hochstein, a annoncé que les deux parties auraient jusqu'en mars 2022 pour parvenir à un accord dans ce domaine.
Le médiateur a également menacé que son entremise dans le processus des pourparlers serait interrompue si les parties négociatrices ne s'entendaient pas pour démarquer les frontières maritimes. Mais quels sont les objectifs que cherche Washington à travers cet ultimatum et cette date échéance? Les Américains sont-ils en train de chercher à gagner des points pour le courant politique pro-américain à l'approche des élections législatives libanaises ou s'efforcent-ils surtout à baliser le terrain via l'échec des négociations, pour l’opération de forage sur le champ gazier de Karish par Israël? À vrai dire les deux.