
تقي زاده
L'Iran sort son drone anti-radiation!
L’exercice hybride de la marine iranienne continuait ce lundi 8 novembre avec au menu l’utilisation, succès garanti, de divers types d’armements de fabrication nationale, plus efficace les uns que les autres, dans des combats maritimes.
Dans la foulée de la phase principale de l’exercice hybride Zolfaqar-1400 de l’armée de la RII, les unités sous-marines de la force navale de l’armée de la RII composées de sous-marins Tareq et Ghadir ont utilisé divers types de torpilles contre les menaces fictives de surface et sous-surface. C’est le porte-parole de l’exercice hybride Zolfaqar-1400, l’amiral Mohammad Moussavi, qui a annoncé la nouvelle :
« Au cours de cet exercice, le sous-marin Tareq a visé sa cible de surface en utilisant ses torpilles, tandis que le sous-marin de fabrication nationale Ghadir a lui aussi pu détruire sa cible sous-surface par le tir de torpilles dernier cri Valfajr de fabrication 100% iranienne. »
Rappelons en passant que la ligne de production des torpilles Valfajr a été inaugurée en octobre 2015. Cette torpille est dotée d’un puissant détonateur. Avec sa vitesse impressionnante et ses capacités anti-leurre, Valfajr est capable de frapper, détruire et faire sombrer des embarcations de grand tonnage en l’espace de quelques secondes. Les préparations de tir se font très rapidement s’agissant de la torpille Valfajr, ce qui assure une puissance tactique et une possibilité de réaction rapide aux unités de combat de surface et de sous-surface qui l’utilisent. Le premier tir d’essai de la torpille Valfajr depuis un sous-marin iranien visait une cible flottante en mer d’Oman pas loin d’un navire américain, dont les systèmes embarqués ont connu une perturbation de trois heures, non sans irriter des responsables militaires des États-Unis.
L’amiral Moussavi a également fait allusion au tir d’une mine sous-marine DM1 depuis le sous-marin Tareq au cours de cette étape des manœuvres, et d’ajouter que « les unités navales de l’armée ont réussi à perturber les radars ennemis [fictifs] sur les côtes en utilisant le drone de guerre électronique et anti-radiation Omid depuis la surface de la mer ».
Le porte-parole de l’exercice Zolfaqar-1400 a tenu à dire que grâce aux efforts constants des experts iraniens au sein du ministère de la Défense, des sociétés de la connaissance et des centres de recherches du pays, l’Iran ne s’appuie à l’heure actuelle que sur les potentialités endogènes. « La démonstration de force défensive dont fait preuve l’exercice hybride Zolfaqar-1400 en utilisant des équipements de fabrication nationale prouve clairement l’inefficacité du boycott sur les armements imposé au pays après la Révolution islamique », a-t-il ajouté. « Jamais les ennemis de la région n’ont pu ni voulu en assurer la sécurité », a indiqué l’amiral Moussavi, appelant à « la coopération et à la vigilance de tous les pays de la région pour y instaurer une sécurité durable, ainsi que pour la protéger contre la menace du terrorisme et du sionisme et leurs supports ».
L’exercice hybride Zolfaqar-1400, comprenait aussi le tir de missiles surface-surface contre les cibles en pleine mer.
« Un destroyer lance-missiles de l’armée a visé avec succès sa cible de surface à une distance de 300 km en utilisant le missile de croisière à longue portée iranienne Qadir », a affirmé à ce sujet le porte-parole des manœuvres.
« La puissance balistique de la marine est l'atout des forces armées de la RII dans les combats maritimes », a souligné l’amiral Mohammad Moussavi, ajoutant qu’à l’heure qu’il est, « les unités de missiles de la force navale de l’armée sont déployées le long des côtes du pays, dans un état de disponibilité maximale leur permettant de faire sombrer au plus profond de la mer toute embarcation ennemie qui se permette d’agresser les eaux de la RII ».
Le missile à longue portée Qadir est capable de frapper des cibles stables ou en mouvement aux profondeurs des eaux lointaines et à une distance supérieure à 300 km.
Qadir n’est pas le seul missile de fabrication nationale ayant réussi sa performance au cours des manœuvres hybrides Zolfaqar-1400 ; le missile de croisière Qader, tiré depuis les sites de lancement des missiles tactiques côte-mer de l’armée de la RII sur les côtes de Makran, a visé avec succès sa cible, une embarcation se trouvant à une distance de 200 km en pleine mer. La destruction de cibles de surface avec le missile de croisière Nasr tiré depuis un navire lance-missiles de la marine, a été une autre pratique prévue et effectuée au cours de l’exercice Zolfaqar-1400.
Le porte-parole des manœuvres, l’amiral Moussavi, est entré dans les détails au sujet d’une vaste gamme de missiles de croisière dont dispose la force navale de l’armée de la RII.
« Des ogives dotées d’une grande force d’explosion et une capacité de résilience face aux moyens de guerre électronique de l’ennemi constituent deux importantes caractéristiques des missiles de croisière à la disposition de la marine iranienne, missiles dont cet exercice hybride à démontré le pouvoir et l’efficacité de la meilleure des manières ».
L’amiral Moussavi a également ajouté que la marine iranienne n’allait absolument pas cesser de se renforcer en termes de missiles. « La force navale de l’armée est de nos jours capable de détruire des cibles ennemies à des distances lointaines, depuis les sites de lancement de missiles côte-mer et des plateformes de surface et de sous-surface, en utilisant différentes sortes de missiles de fabrication nationale. Ce parcours va se poursuivre continuellement en rajoutant chaque jour davantage aux capacités de nos systèmes de missiles ».
Arash "iranien" au Sahara occidental?
Alors que les médias mainstream et leurs décideurs se frottent les mains à l'idée d'avoir bientôt à assister à une "Guerre fratricide Maroc/Algérie", ce pour quoi l'axe US/Israël travaille d'arrache pied depuis 2019, tantôt en cherchant à embraser la rue algéro marocaine, tantôt via la normalisation avec l'entité ou encore cette question stratégique qui est le sort du Sahara et qu'Américains et Israël ont transformé en un champ de bataille pro Israël,
il se passe des choses bien cuisantes sur le terrain des combat : A peine une semaine après le meurtre de trois Algérien non loin de Tindouf dans un raid que le monde entier dit être marocain mais qui selon toute vraisemblance ne peut qu'être l’ouvre criminelle d'Israël et de ses drones vendus à Rabat, une autre information fait état du prochain déploiement des batteries de missiles antimissiles sionistes Dôme de fer au Maroc à l'effet de faire face à toute "attaque de l'Algérie", vu que cette dernière a promis ne pas laisser sans réponse le meurtre de ses ressortissants qui pourraient avoir été pas des civiles mais effectivement des militaires. Parallèlement on parle également du déploiement des unités balistiques algériennes sur les frontière avec le Maroc, et on sait que l'Algérie a des missiles tactiques de très bonne qualité au nombre desquels figurent Iskandar et Tochka.
Mais ce premier raid "israélien" déguisé contre l'Algérie qui n'en est à vrai dire que le second, le premier étant celui qui a provoqué de très meurtriers incendies en Kabylie, laisse paraître une idée bien fixe : l'entité sioniste littéralement mise au pas par la tactique balistique asymétrique de la Résistance palestinienne au mois de mai, laquelle a consisté à saturer ou à leurrer ses radars via des roquettes ou des drones avant de la submerger par des missiles tactiques, et surtout terrorisés à avoir à faire face à des raids à l'essaimage et impliquant des drones, cherche un terrain où se mettre à l'épreuve. Disons que l'attaque fondatrice d'Ansarallah du Yémen contre Aramco, en septembre 2019 c'est l'idéal que l'entité s'acharne à simuler et pour lequel le Sahara avec ses vastes étendues et l'Algérie avec ses installations pétro gazières offrent un terrain d'essai propice. N'oublions que ce contrat de huit ans qu’Israël a fait signer au Maroc juste après la suspension du flux du gaz algérien vers le royaume et qui lui permet d'avoir le pignon sur la rue du Sahara répond en partie à cette volonté de tâter le terrain pour ce genre de scénario.
Alors une riposte algérienne pourrait effectivement consister à prouver au Maghreb tout comme cela été prouvé au Moyen Orient que les radars made in Lockheed Martin et Elbit sont des taupes et il faut à cette fin des engins "tactiques". cette semaine et pour la seconde fois en l'espace de 10 jours les parties algérienne et iranienne se sont rencontrés cette fois à Alger dans le cadre de la commission économique mixte. On aimerait croire qu'il y a un net boostage des liens économiques en vue mais on a du mal à ne pas voir la trace des tensions qui domine le Maghreb. Outre des missiles tactiques genre Fateh-110 qui pourraient largement démanteler le Dôme de fer alias passoire, l'Algérie pourrait renforcer son arsenal de drones par les prototypes iraniens.
Là elle va voir que cette arnaque appelée Bayraktar qu'Ankara traine la paternité mais qui n'est enfin de compte qu'un UAV dont chaque pièce est construite par un pays de l'OTAN ne serait arriver au cheville des drones iraniens. Ces deux derniers jours l'armée iranienne est sur le point de mener un exercice général axé sur les drones et son porte-parole le général de brigade Taghavi Niya a bien précisé que le message en va non pas seulement aux ennemis mais encore aux amis : d'ailleurs on ignore si l'attaché militaire algérien a assisté à l'exercice. Mais l'un des épisodes les plus impressionnants de l’exercice en ce lundi 8 novembre a été effectivement le ciblage ultra réussi du drone Arash, drone kamikaze à la plus longue portée du monde.
Le drone « Arash » avec une portée de 1400 km dispose d’une capacité avérée anti-radar et peut écraser ainsi les défenses aériennes. Il est aussi considéré comme le drone suicide ayant la plus grande portée à l’échelle mondiale. C’est un appareil à turboréacteur et au combustible solide doté visiblement de dispositif de réception d’ondes radars et capable sur cette base de créer d’espace de vide à radar, ce qui fait de THAAD, de Patriot, de C-RAM ses proies faciles. Avec la roquette Fajir 1 il pourrait faire un tabac pour viser exactement les dortoires des officiers et des ilotes sionistes qui retranchés derrières l'armée marocaine continue à comploter contre l'Algérie. Cela évitera tout conflit fratricide et servira de leçon à l'occupation sioniste. A Erbil en Irak, la Résistance irakienne a ainsi procédé pour chasser le Mossad ...
Le drone suicide ou « munition flânerie » ou « drone kamikaze » est une catégorie de système d'arme dans laquelle le drone vole autour de la cible pendant un certain temps et après l'avoir localisé avec précision, attaque. Les munitions de vagabondage permettent des temps de réaction plus rapides contre des cibles dissimulées ou cachées qui émergent pendant de courtes périodes sans placer des plates-formes de grande valeur à proximité de la zone cible, et permettent également un ciblage plus sélectif car la mission d'attaque réelle peut être interrompue. Pour les armées disposant de ce type d'armement, la « portabilité » est l'un des principaux défis de son utilisation contre l'ennemi. Les récents exercices ont prouvé que l'armée iranienne a désormais surmonté ce défi et peut lancer le drone suicide Arash à partir de conteneurs portables que même des voitures normales peuvent transporter. Cela augmente la mobilité et la puissance de déplacement des drones suicides pendant le camouflage. Le drone Arash de la classe des munitions flâneuses a d'abord été fabriqué pour détruire et paralyser les systèmes radar ennemis et peut désormais cibler des infrastructures vitales sensibles....
Zolfaghar 1400 : ce qu'Israël devra savoir...
En quoi est différent cet exercice général que l'armée iranienne vient de lancer à peine 48 heures après avoir médiatisé la méga déculotté de la Ve flotte US à Bahreïn à détourner le pétrole iranien, à quoi cela pourrait renvoyer?
Le porte-parole de l'armée le confirme : il est "dronocentrique" et s'axe sur la guerre électronique, de meilleurs opération de renseignement et sur un meilleur emploie des missiles iraniens. Il est surtout un maillons dans une chaîne d'exercice que les forces armées iraniennes ont commencé en décembre 2020 quand le défunt régime Trump envoyait ses B 52 intimider les Iraniens comme le fait aujourd'hui Biden avec ses B1 B.
C'est dire que le concept de "réseau", d"enchaînement" militaire est bien ancré dans la doctrine militaire iranienne qui à travers Zolfaghar 1400 compte mettre à l'épreuve un ensemble de donnés tirés à partir de plus de deux ans de face-à-face avec les Yankee aussi bien en mer que dans le ciel. Surtout que le Centre de commandement de la DCA iranienne soit le cœur de la DCA multicouche iranienne y prend part. Evidemment ce qui importe, ainsi que le précise le porte-parole de l'armée c'est de renforcer les "réseaux d'offense et de defense intégrés " et ce dans le cadre de C2, commande et contrôle.
Evidemment le premier message va à l'adresse des Américains et de leurs alliés à qui il s'agit de faire comprendre que les forces armées iraniennes ne font pas du surplace mais avancent continuellement et que le fait de croire pouvoir les prendre au dépourvu est un chimère. Quelques belles pièces dévoilées lors des deux premiers jours de l'exercice en apporte la preuve : le drone anti radiation Loitering muntion "Omid" ou la torpille Valfaji "anti leurre, super puissant et tirée à partir des sous marins Ghadir et Taregh aujourd'hui même. L'exercice a été lancé dimanche matin et incorpore des soldats, des navires, des véhicules blindés, des aéronefs avec et sans pilote et des systèmes de missiles et de radars à la fois offensives et défensives, ce que veut dire que les différentes armées synchronisent , se mutualisent.
Et ce n'est pas à la portée de n'importe qui quand tout se déroule dans une zone couvrant un million de kilomètres carrés (386 000 milles carrés) à l'est du détroit d'Hormuz, de la mer d'Oman et des parties nord de l'océan Indien. Sur terre, l'exercice se déroulera dans la zone générale des provinces du sud-est du Sistan-et-Baloutchistan, de Hormozgan, et des côtes du Makran, avec des unités commandos dont une petite démonstration de force a eu lieu il a peu et sous les yeux ahuris de l'USS Sullivan et Murphy quand ils se sont emparés du pétrolier vietnamien pirate. A vrai dire, Zolfaghar 1400 est outre une manœuvre de préparation inouïe, une promotion de doctrine de guerre asymlétrique qui tourne autour de la composante terrestre et où l'arsenal militaire ne vient qu'en second lieu. Le face-à-face Ve flotte/CGRI en mer d'Oman a merveilleusement illustré cette différence entre une marine ultra équipée et peureuse et une marine équipée juste de ce dont elle besoin mais brave et ayant la foi d'acier. D'ailleurs "l'incident " du pétrolier vietnamien a eu l'effet d'un choc non seulement pour l'Amérique elle même mais encore pour ses alliés et on pense à Israël et aux régimes golfiens.
Dans un tout récent article, DEBKAfile, sit eproche du renseignement de l'armée sioniste le reconnait en termes très clairs .
Tout part d'un communiqué où l'US Navy refusent de reconnaître avoir perdu la bataille lors d'un exercice conjoint aux marins britanniques : " Dans une rare dispute entre deux principaux alliés de l'OTAN, l'US Navy a publié une déclaration niant s'être rendu à ses homologues britanniques lors d'un récent exercice d'entraînement en Californie. Le démenti du samedi 6 novembre fait suite aux affirmations dans les médias britanniques selon lesquelles les commandos des Royal Marines britanniques avaient «dominé» les Marines américains lors de l'exercice Green Dagger dans la zone d'entraînement de Twentynine Palms dans le désert de Mojave et les avaient forcés à se rendre, après la plupart de leurs l'unité a été « anéantie ». Il a en outre été affirmé que les troupes américaines avaient demandé une « réinitialisation » à mi-chemin de l'exercice après avoir subi de nombreuses pertes."
Et DEBKA de poursuivre presque incrédule : " Les forces britanniques ont déclaré qu'elles avaient non seulement vaincu les Américains, en ciblant avec succès leur quartier général, en utilisant de l'artillerie à longue portée pour détruire des véhicules américains et d'autres cibles, et en lançant un raid commando à longue portée, mais elles ont considérablement étendu le territoire qu'elles contrôlaient depuis moins de 20% à plus de 65% de la zone d'exercice. Cette affirmation a été rapportée pour la première fois par le correspondant de la défense du London Telegraph, Dominic Nicholls... les Britanniques auraient réussi visiblement un certain degrés de synchronisation entre les unités terrestres marines et aériennes par rapport aux Américains qui agissent toujours en ordre dispersé... "
Et c'est là que vient le fatidique aveu : "C'est aussi une leçon pour les Forces de défense israéliennes. Sous la direction du chef d'état-major, le lieutenant-général Aviv Kohavi, l'armée israélienne a investi des milliards de dollars dans le développement des derniers équipements de haute technologie pour l'intégration avec les forces spéciales, peut-être au détriment des améliorations des forces terrestres, y compris l'infanterie. La synchronisation c'est ce qui nous manque au contraire du camp d'en face. La devise de Tsahal, « Nous n'abandonnons pas tant que nous n'avons pas gagné » a été remplacée par « {Si vous échouez], échouez vite, échouez mieux. » Un ancien inspecteur de l'armée, le général de division (res.) Yitzhak Brik, a déclaré récemment : « Équiper les unités de terrain avec les derniers équipements de haute technologie coûtant des méga-milliards » nécessite une armée disciplinée et professionnelle. Cela nécessite également une culture vouée au bon fonctionnement du leadership pour les aspects organisationnels et administratifs, un bon contrôle et un bon suivi, et la capacité de tirer les leçons des erreurs et de les corriger.
Brick conclut : « Aucune de ces qualités n'est actuellement présente dans les forces de combat terrestres de Tsahal. Au lieu de cela, nous rencontrons le désaveu et le mépris, l'arrondi enraciné des coins, le blanchiment, les conspirations du silence et la peur d'exprimer des opinions contraires à celles du commandant. En raison de ces échecs, l'introduction d'une technologie coûteuse de haute qualité n'a été que partiellement réussie et n'a donc pas produit les résultats souhaités. Cette conclusion d'un critique respecté est immédiatement pertinente. Alors que l'armée israélienne est en pleine préparation d'une éventuelle guerre émanant du Liban, voire de la Syrie ou de l'Iran ou de Gaza ou de tout ceci ensemble plus l'Iran. Les Iraniens eux font tout en un seul et unique exercice et puis les exercices s'enchaînent se mutualisant. Est-ce notre cas? Mille fois Non ".
HADITHS DU JOUR
*-un homme qui a grandi sur l'adoration d'Allah,*
*-un homme qui fait la charité avec son main droite et ne permet pas à la gauche de le savoir,*
*- un homme qui se rappelle Allah lorsqu'il est seul et verse des larmes de crainte d'Allah,*
*-un homme qui dit à son frère croyant lorsqu'il le rencontre : Je t'aime dans la cause d'Allah.*
*-un homme qui quitte la mosquée avec l'intention d'y revenir*
*-un homme qui est séduit par une belle femme mais il refuse et dit: {En effet, je crains Allah le seigneur de tous les royaumes.}"*
*Awali* *alliaāli .v1-P89*
*Bihar* *AlAnwar.v.66-P.377.*
Pourquoi Israël n'a pas réagi à la spectaculaire opération anti-pirate de mer US du CGRI en mer d'Oman?
Le vendredi 31 octobre, Israël qui venait d'envoyer un de ses F-15 escorter un B1 américain dont la mission consistait à survoler, au-dessus du détroit d'Hormuz, en se faisant plus visible qu'il ne fallait aux radars ultra performants iraniens, histoire d'intimider l'Iran, une tentative assez risible à laquelle les Iraniens n'ont pas tardé à répondre quelques heures plus tard, en annonçant avoir déjà fabriqué 25 kg d'uranium enrichi à 60%, n'avait, alors, aucune idée de ce méga coup qui se préparait en mer d'Oman. Aussi, depuis ce mercredi 3 novembre, date à la quelle la force navale du CGRI a diffusé pour la première fois et à la grande surprise des Yankee les images ahurissantes de sa chasse aux pirates de mer US qui tentaient, navires USS Sullivan et Murphy et Sentinel à l'appui, d'empêcher les forces iraniennes de saisir le pétrole iranien et de le ramener au bercail, c'est motus bouche-cousue à Tel-Aviv!
l'Algérie demandera-t-elle à l'Iran des missiles tactiques Qiam?
L'axe US/Israël/France qui "colonise" le Maroc a amorcé un jeu fort dangereux: tuer des civils algériens en plein Sahara occidental à coup de drone au risque de provoquer une foudroyante riposte de l'Algérie. Quelle sera la nature de cette riposte? L'Algérie déploie des lanceurs de missiles à la frontière avec le Maroc, après avoir accusé le Royaume d'avoir visé deux camions en route vers la Mauritanie, tuant 3 Algériens, a-t-on appris du quotidien en ligne Raï al-Youm, citant des médias espagnols. Des médias espagnols ont rapporté que l'armée algérienne avait déployé un groupe de lanceurs de missiles près de la frontière avec le Maroc, après que l'Algérie a accusé le Royaume d'avoir visé deux camions en route vers la Mauritanie, causant la mort de trois Algériens. Jeudi 4 novembre, le journal espagnol La Razon a publié des images montrant le déploiement par l'Algérie de plates-formes de missiles près de la frontière avec le Maroc, sans préciser où elle les a obtenues. Il n'a pas encore été possible de vérifier l’exactitude de ce qu’a rapporté le journal espagnol chez les sources algériennes, qu'elles soient officielles ou médiatiques. Le journal précise que des images satellites montrent le déploiement par l'armée algérienne de sept lanceurs mobiles de missiles dont la portée n'a pas été déterminée.
Lire aussi: Maghreb Press du 3 novembre 2021
Le journal ajoute que le récent incident, dans lequel trois Algériens ont perdu la vie, a provoqué un état de « tension maximale entre les deux pays », se demandant si une guerre imminente éclatera aux portes de l'Espagne. La Razon réaffirme que le Maroc est également prêt à riposter en cas d’une offensive algérienne. La présidence algérienne a annoncé mercredi que l'incident ne resterait pas impuni.
Deux officiers supérieurs disparaissent hors d'Israël
Le régime sioniste paiera cher le martyre d’un prisonnier palestinien, a mis en garde le Jihad islamique, et ce, alors que deux officiers israéliens ont été détenus en dehors des territoires occupés.
Khaled al-Batsh, membre du bureau politique du Mouvement du Jihad islamique a mis en garde le régime sioniste sur les conséquences du martyre de chacun des prisonniers en grève de la faim dans les prisons du régime israélien, a rapporté Palestine al-Yawm ce samedi 6 novembre.
Le haut dirigeant du Jihad islamique s’adressait à un rassemblement de Palestiniens devant le bureau de la Croix-Rouge à Gaza en guise de solidarité avec les prisonniers palestiniens.
Il a appelé les médiateurs à prendre des mesures immédiates pour secourir les prisonniers en grève de la faim et à faire arrêter les actions illégales contre les détenus dans les prisons sionistes.
La grève de la faim de six prisonniers palestiniens dans les prisons israéliennes se poursuit, a affirmé Palestine Al-Yawm précisant que l’un d’entre eux, nommé « Kaid al-Fasfus » est en grève depuis 115 jours consécutifs.
L’Iran annonce des manœuvres militaires aériennes, terrestres et navales...
Le contre-amiral Habibollah Sayari, commandant de la base militaire Zolfaqar de l’armée de la République islamique d’Iran a déclaré que « les principales étapes et la phase opérationnelle de l’exercice conjoint Zolfaqar 1400 de l’armée de la République islamique d’Iran débuteront demain 7 novembre avec la participation des quatre forces armées. »
« La phase principale et la phase opérationnelle de cet exercice conjoint, avec la participation des unités des forces terrestres, de la défense aérienne, navale, de l’armée de l’air et de la base de défense aérienne se dérouleront dans une zone de plus d’un million de kilomètres carrés au sud-est du pays, de l’est de Jask au port de Gwadar aux confins des provinces d’Hormozgan et du Sistan et du Baloutchistan sur terre et, de l’est du détroit d’Hormuz à l’orbite de 10 degrés au nord de l’océan Indien en mer et d’une partie de la mer Rouge », a déclaré le contre-amiral Sayari.
Karabakh : les routes appartiennent aux pays qui les empruntent (Russie)
Depuis que le président azéri a enfourché à l'instigation de ses amis israéliens et de son confident le Sultan Erdogan le cheval anti Iran injectant une bonne dose de sionistes et de terroristes takfiristes non loin des frontières iraniennes et puis et surtout en exigeant des taxes aux chauffeurs routiers iraniens chaque fois que ces derniers veulent traverser un petit tronçon de quelques kilomètres dans le Haut-Karabakh pour se rendre en Arménie, quitte à courir une crise ouverte potentiellement capable de devenir une escalade militaire Azerbaïdjan-Iran.
Le Premier ministre Nikol Pashinyan a reçu le vice-premier ministre russe, Alexei Overchuk, informe le bureau de presse du Premier ministre.
Le Premier ministre a salué la visite du vice-premier ministre russe Alexei Overchuk en Arménie, notant qu'il s'agit d'une bonne occasion de discuter de l'agenda actuel. Jusqu'ici la Russie avait refusé de se positionner en faveur ou en défaveur de l'Iran ce qui semble avoir changé.
la réponse iranienne au B1 US?
Le contre-amiral Habibollah Sayari, commandant de la base militaire Zolfaqar de l’armée de la République islamique d’Iran a déclaré que « les principales étapes et la phase opérationnelle de l’exercice conjoint Zolfaqar 1400 de l’armée de la République islamique d’Iran débuteront demain 7 novembre avec la participation des quatre forces armées. »
Les étapes préliminaires et d’entraînement de l’exercice Zolfaqar 1400 de l’armée de la République islamique d’Iran ont été effectuées au cours des jours précédents.
« La phase principale et la phase opérationnelle de cet exercice conjoint, avec la participation des unités des forces terrestres, de la défense aérienne, navale, de l’armée de l’air et de la base de défense aérienne se dérouleront dans une zone de plus d’un million de kilomètres carrés au sud-est du pays, de l’est de Jask au port de Gwadar aux confins des provinces d’Hormozgan et du Sistan et du Baloutchistan sur terre et, de l’est du détroit d’Hormuz à l’orbite de 10 degrés au nord de l’océan Indien en mer et d’une partie de la mer Rouge », a déclaré le contre-amiral Sayari.
Il a ajouté que « cet exercice a commencé ses étapes préliminaires la semaine dernière et entrera dans ses étapes principales à partir de demain, et son objectif est d’augmenter la capacité de combat de l’armée de la République islamique d’Iran ».
« Une vaste zone opérationnelle, une haute maîtrise de renseignement, l’utilisation d’équipements et de munitions de renseignement indigènes, la présence d’unités de drones, l’utilisation de capacités de guerre électronique et le système de contrôle de l’armée de la République islamique d’Iran sont les caractéristiques de cet exercice », a précisé le contre-amiral Sayari.
Le vendredi 31 octobre, peu après le cuisant revers de la 5e Flotte à détourner en pleine mer d’Oman le pétrole iranien, l’US Air Force a procédé à un bombage de torse aérien en envoyant un B1 survoler le golfe Persique et les côtes iraniennes façon de se défouler après une pareille déculottée. Mais le B1 est-il capable de briser la DCA iranienne ?
L’exercice conjoint spécialisé de défense aérienne intitulé « Les défenseurs de l’espace aérien, dévoués à Velayat » est organisé depuis plusieurs années conjointement entre l’armée et le Corps des gardiens de la Révolution islamique (CGRI).
La phase opérationnelle de la dixième édition de l’exercice de l’armée de l’air, baptisé « Les défenseurs de l’espace aérien, dévoués à Velayat 1400 », s’est déroulée dans les zones désertiques du centre de l’Iran avec la participation du réseau de défense aérienne du pays ainsi que de divers radars de reconnaissance, de systèmes de défense aérienne antimissiles à courte et moyenne portées couvrant toutes les altitudes.
Au cours de l’exercice, de nouveaux systèmes de défense aérienne à courte portée de fabrication nationale (antimissiles et anti-drones) de l’armée et du CGRI ont été dévoilés et testés en plein succès, y compris Joshan, Majid, Dezful et Zubin.
Le système de défense aérienne Joshan dévoilé pour la première fois lors de l’exercice fonctionne à partir de l’interaction de missiles Sayyad-3 avec un radar passif.
Les radars actifs et passifs sont parmi les radars les plus connus au monde. Un radar passif n’émet aucun signal et fonctionne à partir de la réception des réflexions des signaux par l’objet à détecter. Ce type de radar utilise une source de rayonnement non coopérative.
L’utilisation de radars passifs présente de nombreux avantages. Le plus important de ces avantages est la capacité spéciale de détecter des cibles avec une faible section efficace radar et des cibles volantes à haute altitude et à basse vitesse. Ce système peut être déployé dans différentes régions du pays. Aucune onde n’est émise par le radar passif de système de défense aérienne de Joshan, il est donc peu probable qu’elle soit détectée par les systèmes d’espionnage ennemis ; et l’ennemi ne peut pas l’attaquer.
En cas de l’approche des cibles hostiles, le radar passif transmet leurs données au système de défense aérienne de Joshan équipé de missiles Sayyad 3 d’une portée de 120 km, et les missiles sont tirés immédiatement.
Lors du récent exercice, en plus des radars de détection précoce d’al-Fajr 2, Kavosh, Meraj, Fatah et Bashir, le radar Qods est également a été mis en service pour la première fois dans le réseau intégré de défense aérienne du pays.