تقي زاده

تقي زاده

Même à Aden, Riyad n'a plus aucune assisse: la spectaculaire attaque contre l'aéroport du port stratégique du sud du Yémen qui donne droit sur le détroit de Bab el-Mandeb et que contrôle militairement et sécuritairement le pantin des Emirats et chef du conseil sudiste le dénommé Ben Brik, vient de prouver que Riyad et Abou Dhabi, MBS-MBZ ne peuvent pas s'entendre. Sauf que l'impératif de l'axe US-Israël l'exige pour l'heure et que les deux hommes-lige golfiens sont mille fois rien pour oser s'opposer au diktat de l'Empire. Au fait l'attaque aurait visé à l'aéroport internationale d'Aden les ministres pro Riyad fraîchement tirés du chapeau de Ben Salmane et s'est prolongée encore le soir quand ces mêmes ministres au nombre desquels ne figure curieusement pas le ministre de la Défense se sont retrouvées en plein réunion au palais présidentiel. Mais à travers eux, la cible aura été l'entité sioniste. 

La commémoration des hauts commandants de la Résistance s’est tenue dans la ville d’Abou Kamal en Syrie avec la participation d’un nombre personnalités politiques.

Le premier anniversaire de la mort en martyr des deux hauts commandants de la Résistance, le général Qassem Soleimani et Abou Mahdi al-Mohandes a été célébré jeudi 31 décembre dans la ville syrienne d’Abou Kamal. Les habitants y ont participé en masse.

L'Imam Ali (a.s) lors de l'enterrement de Fatima az-Zahra (a s) :

Je te transmets mes salutations, ô Messager d'Allah, de ma part et de la part de ta fille qui est venu à toi et qui sait hâtée de te rejoindre.

Ô Messager d'Allah, ma patience à l'égard de ton élue s'est réduite, et ma force d'endurance s'est affaiblie, mais j'ai pour consolation le fait d'avoir endurer la grande épreuve et l'événement déchirant de ta séparation.

Je t'ai déposé dans ta tombe après que ton dernier souffle a été rendu entre mon cou et ma poitrine."nous sommes à Allah et nous retournons à Lui." [Coran 2;156]

Maintenant, la promesse est rendue et le don est repris. Quant à ma peine, elle ne connaît pas de limites. Et pour ce qui est de mes nuits, elles resteront blanches jusqu'à ce qu'Allah choisisse pour moi la demeure dans laquelle tu résides à présent.

Assurément, ta fille t'informera de la réunion de ta nation pour l'opprimer. Interroge-la en détails et prends toutes les nouvelles de cette situation. Cela s'est produit alors qu'il ne s'était pas encore écoulé beaucoup de temps et que ton souvenir n'avait pas disparu.

Mes salutations à vous deux. Des salutations d'un homme peiné, non pas d'une personne en colère ou ennuyée. En vérité, si je pars, ce n'est pas par lassitude, et si je reste, ce n'est pas par manque de foi en ce qu'Allah a promis aux endurants.

- Nahjul Balagha, discours n° 202.


وَ مِنْ كَلَامٍ لَهُ (علیه السلام) رُوِيَ عَنْهُ أَنَّهُ قَالَهُ عِنْدَ دَفْنِ سَيِّدَةِ النِّسَاءِ فَاطِمَةَ (علیها السلام) كَالْمُنَاجِي بِهِ رَسُولَ اللَّهِ (صلی الله علیه وآله) عِنْدَ قَبْرِهِ:
السَّلَامُ عَلَيْكَ يَا رَسُولَ اللَّهِ عَنِّي وَ عَنِ ابْنَتِكَ النَّازِلَةِ فِي جِوَارِكَ وَ السَّرِيعَةِ اللَّحَاقِ بِكَ. قَلَّ يَا رَسُولَ اللَّهِ عَنْ صَفِيَّتِكَ صَبْرِي وَ رَقَ عَنْهَا تَجَلُّدِي، إِلَّا أَنَّ فِي التَّأَسِّي لِي بِعَظِيمِ فُرْقَتِكَ وَ فَادِحِ مُصِيبَتِكَ مَوْضِعَ تَعَزٍّ، فَلَقَدْ وَسَّدْتُكَ فِي مَلْحُودَةِ قَبْرِكَ وَ فَاضَتْ بَيْنَ نَحْرِي وَ صَدْرِي نَفْسُكَ، فَ "إِنَّا لِلَّهِ وَ إِنَّا إِلَيْهِ راجِعُونَ". فَلَقَدِ اسْتُرْجِعَتِ الْوَدِيعَةُ وَ أُخِذَتِ الرَّهِينَةُ، أَمَّا حُزْنِي فَسَرْمَدٌ وَ أَمَّا لَيْلِي فَمُسَهَّدٌ، إِلَى أَنْ يَخْتَارَ اللَّهُ لِي دَارَكَ الَّتِي أَنْتَ بِهَا مُقِيمٌ. وَ سَتُنَبِّئُكَ ابْنَتُكَ بِتَضَافُرِ أُمَّتِكَ عَلَى هَضْمِهَا، فَأَحْفِهَا السُّؤَالَ وَ اسْتَخْبِرْهَا الْحَالَ، هَذَا وَ لَمْ يَطُلِ الْعَهْدُ وَ لَمْ يَخْلُ مِنْكَ الذِّكْرُ. وَ السَّلَامُ عَلَيْكُمَا سَلَامَ مُوَدِّعٍ، لَا قَالٍ وَ لَا سَئِمٍ، فَإِنْ أَنْصَرِفْ فَلَا عَنْ مَلَالَةٍ، وَ إِنْ أُقِمْ فَلَا عَنْ سُوءِ ظَنٍّ بِمَا وَعَدَ اللَّهُ الصَّابِرِينَ.

Spectaculaire reculade ! Pour la première fois depuis le début de la campagne dite "guerre dans la guerre sioniste" que l'ex-général réserviste israélien Yitzhak Brick dénonçait encore il y a deux jours dans un tout récent article comme étant "un piège tendu par l'Iran et ses alliés" à un "Israël frappé de cécité stratégique" et qui " y a jusqu'ici perdu force, argent, énergie tout comme capacité de restructuration de son front intérieur sans gagner quoi que ce soit en retour", - puisqu'au stade où en sont les choses, ni le Hezbollah ni les Hachd encore moins la Syrie, eux-mêmes fabricants d'armes, n'ont plus vraiment besoin d'armes acheminées, l'Armée de l'air sioniste s'est sentie bien en cage. Et comment?

Ladite question a été posée auprès des bureaux des sources d’imitation et en voici la réponse :

Le bureau de l’honorable Ayatollah Khamenei (que sa vie soit prolongée) :

La malformation du fœtus n’est pas une autorisation à l’avortement du fœtus même avant que l’âme y soit introduite.

Le bureau de l’honorable Ayatollah Sistani (que sa vie soit prolongée) :

L’avortement du fœtus n’est pas licite même avant que l’âme y soit introduite. Toutefois, si le diagnostic effectué montre que l’existence du fœtus risque d’entrainer la mort de la mère, dans ce cas, l’avortement est autorisé avant l’introduction de l’âme. Même après l’introduction de l’âme qui au lieu, en effet, trois mois et demi après la grossesse, l’avortement n’est permis aucunement. La responsabilité revient à la personne qui procède à l’avortement. Toutefois, les parents peuvent renoncer à son prix du sang.

Le bureau de l’honorable Ayatollah Makarem Chirazi (que sa vie soit prolongée) :

L’avortement est interdit. Cependant, si le fœtus se trouve aux premières étapes et qu’il n’a pas pris encore la forme d’un être complet, et que son maintien dans un tel état ou sa malformation après naissance entraine, selon des personnes averties et engagées, d’énormes souffrances et difficultés, pour les parents, père et mère, dans ce cas, il est permis de mettre un terme à la grossesse et par précaution, ils doivent payer le prix du sang.

Le Bureau de l’honorable Ayatollah Safi Golpaygani (que sa vie soit prolongée) :

Partant de la question susmentionnée, l’avortement n’est pas permis et l’auteur de l’avortement est tenu de payer le prix du sang et du point de non-autorisation, il n’y pas de différence entre la période d’avant et d’après l’introduction de l’âme. Et si vous considérez que les tests médicaux aboutissent à l’avortement, ces tests aussi ne sont pas permis.

L’honorable Ayatollah Mahdi Hadavi Tehrani (que sa vie soit prolongée) :

L’avortement pour cause d’existence de syndrome de down n’est pas permis. Et si l’éventualité d’avortent en cas des tests médicaux est, du point de vue rationnel, forte, il n’est pas permis d’effectuer ces tests. La responsabilité d’avortement revient, premièrement, aux parents qui en donnent l’autorisation et deuxièmement au médecin qui effectue des tests. En cas d’avortement, le prix du sang est à la charge de la personne qui s’est livrée à l’avortement. Toutefois, les parents peuvent renoncer au prix du sang et le fait que l’autorisation des parents pour l’avortement soit considérée comme le renoncement au prix du sang, n’est pas injustifié.

Pour plus d’information, consultez :

  1. Indexe : l’avortement du fœtus avant l’introduction de l’âme, question n° 3734 (site : 4544)
  2. Indexe : L’Islam et la question de l’avortement, question n° 4514 (site : 4961).
Voici un article d'opinion publié sur le site officiel du Guide de la Révolution Islamique sur le rôle du Général Soleimani dans la sauvegarde de la sécurité régionale et dans la lutte contre les complots des pays occidentaux.
Le 16 avril 2019, le Guide suprême de la Révolution islamique a déclaré, en référence à la voie et à la philosophie de l'illustre martyr, le général Soleimani, "Nous ne devrions pas considérer le martyr Haj Qassem Soleimani comme un individu. Nous devrions plutôt le considérer comme une école de pensée, un chemin et une école pour nous instruire". Dans l'édition suivante, l'auteur met en lumière cet aspect de la personnalité du général Soleimani.

La théorie de la "sécurité régionale" est l'un des points de vue les plus importants de Sardar Soleimani et les dimensions exécutives de cette théorie devraient être examinées par des experts iraniens et régionaux. Après la désintégration de l'Union soviétique, les pays occidentaux, sous la direction des États-Unis, ont placé le réaménagement de l'Asie occidentale au premier rang de leurs priorités afin d'assurer la sécurité du régime sioniste. Sur la base de ce complot, les pays de la région devraient normalement devenir peu sûrs, être minés et perdre leur unité. L'existence de litiges frontaliers entre les pays de la région, les rivalités confessionnelles entre les gouvernements et les nations chiites et sunnites, les préjugés tribaux tels que ceux du pankurdisme et du panarabisme, l'existence d'acteurs tels que les réactionnaires régionaux et l'émergence du terrorisme sont quelques-uns des points faibles et vulnérables qui pourraient aider à réaliser l'objectif des Occidentaux de provoquer l'insécurité dans la région.

Afin de saper la sécurité en Asie occidentale, le projet à multiples facettes visant à créer des groupes terroristes et takfiri, tels qu'Al-Qaida et Daech, a été réalisé dans le but de réorganiser la région et le projet a été poursuivi avec l'aide de l'Arabie saoudite et du régime sioniste. L'une des facettes de ce projet consistait à remodeler les frontières géographiques en désintégrant les pays islamiques. Pour ce faire, l'autorité nationale des nations devait être sapée et leur intégrité territoriale devait être affaiblie. Du point de vue des théoriciens occidentaux, la désintégration de l'Irak et de la Syrie et leur division en terres plus petites auraient servi les intérêts d'Israël et, par conséquent, ils devaient adopter certaines mesures à cet égard.

Sardar Soleimani a développé la théorie de la sécurité régionale en raison de sa compréhension de la politique occidentale et dans le but d'empêcher que leur complot ne se réalise. Sur la base de cette théorie, la sécurité des pays islamiques d'Asie occidentale influence et est liée les uns aux autres. En d'autres termes, l'insécurité en Syrie saperait la sécurité de l'Irak et l'insécurité en Irak mettrait en péril la sécurité iranienne.

Afin d'assurer la sécurité de l'Asie occidentale et de contrecarrer les complots occidentaux, Sardar Soleimani a développé le modèle de la Résistance et a modelé la lutte contre l'extrémisme et le terrorisme sur la base du développement de la stratégie de la Résistance. En fait, le Hajj Qassem a devancé les plans des Occidentaux : ils essayaient de créer la discorde dans le camp antisioniste, mais Sardar Soleimani a réuni ces pays sous l'axe de la Résistance. Le miracle de Hajj Qassem a été de placer sept nationalités - les Syriens, les Libanais, les Iraniens, les Pakistanais, les Afghans et les Irakiens - sous l'égide de la Résistance.

Il a façonné l'axe de la Résistance en profitant de l'identité et de la culture indigène de chaque pays, et non en leur imposant la culture et la version iranienne. Le Hezbollah avec l'identité libanaise, Hashd al-Sha'bi avec l'identité irakienne et les forces Zaynabiyun, Fatemiun et Haydariun avec leurs propres identités nationales et locales respectives ont été créées et ont ensuite connu une croissance. C'est pourquoi, aujourd'hui, aucun élément ne peut éliminer ces forces et leur pouvoir d'influence va s'accroître au quotidien.

Avec sa théorie de la sécurité régionale, Sardar Soleimani a rendu chaque pays sensible à la nécessité d'assurer sa propre sécurité nationale et celle des pays voisins. L'axe de la Résistance a déjoué le complot occidental visant à changer la géographie régionale et à assurer la sécurité d'Israël. Figure marquante de la résistance et symbole de la lutte contre le terrorisme, il est resté aux côtés des Palestiniens sunnites pendant la guerre de 51 jours et, pendant la guerre de 33 jours, il a vaincu le régime sioniste aux côtés des forces chiites du Hezbollah. Alors que la Syrie était au cœur d'une crise, il s'est personnellement précipité pour aider Bachar Assad et alors que Bagdad était au bord de la chute, il est passé par les forces du Daech et est arrivé à Bagdad et a dirigé l'opération anti-terroriste jusqu'à ce qu'il obtienne les résultats souhaités.

Avec l'aide des forces de résistance altruistes et dévouées, Sardar Soleimani a défendu l'autorité nationale et l'intégrité territoriale des pays de la région et a ravivé l'espoir dans le cœur des nations de la région en resserrant son emprise sur le régime sioniste et ses partisans occidentaux et arabes, se faisant ainsi qualifier de "héros de la Oummah islamique" par le Guide suprême de la révolution islamique. Aujourd'hui encore, l'unité et la solidarité des pays antisionistes d'Asie occidentale et le passage de l'axe de la résistance aux forces alliées de la résistance contribueront à assurer la sécurité et à accroître le pouvoir des pays de la région.

À l'occasion de l'anniversaire du lâche assassinat de Sardar Soleimani et d'Abu Mahdi al-Muhandis et de leur martyre, chacun devrait penser à la formation d'une puissante alliance régionale contre les États-Unis et le régime sioniste et à l'établissement d'une sécurité collective pour les pays d'Asie occidentale. Le but ultime de Sardar Soleimani était d'expulser les forces américaines de la région et ce but sera atteint tôt ou tard. "Les dures représailles", comme le soulignent les déclarations du Guide suprême, signifient le retrait des forces américaines de la région et la libération de Quds. Ce n'est pas un objectif irréaliste et en l'atteignant, le chemin vers la création de la nouvelle civilisation islamique deviendra plus facile.
Le ministre iranien des Affaires étrangères Mohammad Javad Zarif a évoqué les agissements suspects des Etats-Unis dans le Golfe Persique, en déclarant que Washington serait responsable des conséquences de tout aventurisme dans la région.
Le diplomate iranien a tenu ces propos lors d'un entretien téléphonique avec son homologue qatari, Mohammed bin Abdulrahman bin Jassim Al Thani, mardi soir.

Ses remarques ont été faites après que la marine américaine ait annoncé lundi dernier l'arrivée d'un sous-marin à propulsion nucléaire dans le Golfe Persique, dans un contexte de tensions croissantes entre Téhéran et Washington à la veille du premier anniversaire de l'assassinat du commandant suprême de la lutte anti-terroriste en Iran, le lieutenant général Qassem Soleimani, sur ordre direct du président américain sortant Donald Trump.

L'administration iranienne a également mis en garde contre tout aventurisme américain visant à militariser le Golfe Persique, affirmant que de telles actions ne seraient dans l'intérêt d'aucun pays, que ce soit dans la région ou ailleurs dans le monde.

"Nous considérons que la militarisation de la région du Golfe Persique n'est dans l'intérêt d'aucun pays de la région et du monde", a déclaré Ali Rabiei, le porte-parole de l'administration, à son hebdomadaire de presse mardi.

Le secrétaire du Conseil suprême de sécurité nationale iranien a également averti que la mobilité accrue de l'armée américaine dans la région du Golfe Persique pourrait conduire à des "malentendus préjudiciables".

"La mobilité accrue de l'armée américaine dans la région est un signe de défi et de crainte en raison des méfaits du passé. De telles actions augmenteraient l'entropie de l'insécurité et conduiraient à des malentendus nuisibles", a déclaré Ali Shamkhani lundi.
Quatre navires de la marine du Bangladesh transportant au moins 1 800 réfugiés rohingyas ont quitté mardi le port de Chattogram pour l'île de Bhashan Char dans le golfe du Bengale, au milieu des inquiétudes que suscitent les nombreux réfugiés persécutés qui ont été contraints de se réinstaller sur cette île sujette aux inondations.
 
 
Les réfugiés rohingyas, qui ont été hébergés dans des camps à Cox's Bazar depuis qu'ils ont fui la répression militaire de 2017 au Myanmar, ont été conduits à Chattogram en bus lundi.

Le Commodore de la marine Abdullah Al Mamun Chowdhury a déclaré qu'au moins 1 804 Rohingyas étaient transportés par bateau à Bhasan Char. "Nous sommes prêts à recevoir les nouveaux arrivants", a-t-il déclaré par téléphone depuis l'île.

Les Rohingyas ont transporté des sacs d'affaires, des jouets et des poulets et se sont assis sur des bancs en bois pendant les trois heures de voyage entre Chattogram et Bhashan Char.

Le gouvernement a insisté sur le fait que les réfugiés persécutés veulent commencer une nouvelle vie à Bhashan Char, où 1 600 autres sont arrivés au début du mois. La nation sud-asiatique veut finalement relocaliser 100 000 Rohingyas sur cette île isolée afin de décongestionner les camps de réfugiés qui abritent environ un million de Rohingyas.

Des blocs de logements ont été mis en place pour les nouveaux arrivants sur l'île que le ministre des affaires étrangères AK Abdul Momen a qualifié de "belle station". Lundi, il avait estimé à un peu moins de 1 000 le nombre de réfugiés transférés à Bhashan Char.

Mais les militants des droits de l'homme ont exprimé de nouveaux doutes sur ces transferts, affirmant que certains Rohingyas avaient trouvé leurs baraques dans les camps cadenassés et qu'ils n'avaient donc pas d'autre choix que de partir.

Tanvir Chowdhury, d'Al Jazeera, a déclaré que les journalistes internationaux n'étaient pas autorisés à se rendre sur l'île.

"Le commandant de la marine en charge a déclaré qu'il y aurait un prochain lot de réfugiés mais nous ne savons pas exactement quand", a-t-il déclaré, s'exprimant depuis Chittagong (Chattogram), dans la baie du Bengale, au sud du pays.

Il a fallu à peine une heure pour déplacer environ 1 800 réfugiés rohingyas à bord de plusieurs navires de la marine pour se diriger vers Bhasan Char, qui se trouve à 42 km de Chittagong (Chattogram), a-t-il dit.
mercredi, 30 décembre 2020 10:44

Drones-missiles synchronisent leurs attaques

Différents groupes de la Résistance palestinienne dont le Jihad islamique de la Palestine et le Hamas ont entamé le 28 décembre un exercice militaire conjoint depuis Gaza, ont annoncé les Brigades al-Qods, branche militaire du Jihad islamique. L’exercice est baptisé « Pilier fort » (Al-Rukn al-Chadid en arabe) et se termine le 29 décembre dans l’après-midi.

Une déclaration a été publiée depuis un centre de commandement conjoint selon laquelle toute agression israélienne ferait l’objet d’une réponse « conjointe ».

« Ceux qui dirigent l’occupation doivent se rendre compte que la simple pensée d’un aventurisme contre notre peuple sera confrontée à notre unité et à notre toute-puissance et que de nombreuses surprises les attendent », a déclaré le porte-parole du Jihad islamique, Abou Hamzah, dans un discours marquant le début de l’exercice.

« La coopération entre l’Iran et la Russie en matière de défense s’inscrit dans le cadre des lois internationales », a déclaré le ministre russe des Affaires étrangères. 
Lors d’un entretien exclusif avec la chaîne d’information Sputnik, le chef de la diplomatie russe, Sergueï Lavrov, a déclaré que « la Russie respecte pleinement les lois internationales et privilégie la sécurité et la stabilité de la région quant à ses coopérations militaires avec l’Iran – qui a, de son côté, le droit de se soucier de ses intérêts défensifs. »