
تقي زاده
Aoun: Israël ne lancera plus une nouvelle agression contre le Liban !
Dans une interview donnée à Beyrouth à la chaîne RT le samedi, 9 décembre, le président libanais, Michel Aoun a rejeté la possibilité d'une attaque israélienne contre le Liban.
"Après la guerre de juillet 2006, Israël n'attaquera plus le Liban", a affirmé le président libanais.
Michel Aoun a fait référence à la guerre qui a éclaté en 2006 entre Israël et le mouvement de la Résistance libanaise (Hezbollah) et qui a fait de nombreuses morts côté israélien. D'après le président Aoun, Israël ne pourra pas pénétrer en terre libanaise.
Le mois dernier, il a été rapporté que les troupes israéliennes effectuaient des exercices dans le nord du Liban. Eu égard à la situation complexe qui se déroule actuellement au Moyen-Orient, beaucoup de personnes en ont conclu qu'un conflit entre le régime sioniste et le Hezbollah allait éclater prochainement.
En réponse à la question de savoir si la crise politique a été résolue dans ce pays, le président Aoun a déclaré: "Je suis sûr que oui, car il n’existe plus aucun différend entre les Libanais concernant la crise et je ne pense pas que ceux qui ont provoqué une telle crise viennent à répéter leurs actions."
La crise politique libanaise a été provoquée par l'annonce inattendue de la démission du Premier ministre libanais Saad Hariri lors d'une visite en Arabie saoudite. Il est utile de rappeler que Hariri a retiré sa démission après son retour au Liban et qu’il est depuis en poste.
Al Azhar a demandé une réunion d’urgence sur la question de Qods
« Cette décision est une violation des droits des Palestiniens et un manque d’attention aux sentiments de plus d’un milliard de musulmans et de millions de chrétiens dans le monde », a-t-il dit.
Zoom Afrique : 10 décembre 2017
L’ONU a voté à l’unanimité le déploiement de soldats de l’ONU dans le Sahel.
Suite à ce vote, l’UE a promis 50 millions d’euros, la France 8 millions (surtout en équipements), chacun des cinq pays fondateurs 10 millions, et l’Arabie saoudite 100 millions. Les États-Unis ont promis aux cinq pays membres de la force une aide de 60 millions de dollars.
Le soutien politique ne se serait-il pas transformé en un soutien financier ?
Londres et Téhéran insistent sur l'amélioration de leur relation
M. Johnson a rencontré dimanche matin le président iranien Hassan Rohani, selon un journaliste de l'AFP, peu après s'être entretenu avec le chef de l'Organisation de l'énergie atomique iranienne, Ali Akbar Salehi.
Avec M. Rohani, "les deux hommes ont parlé franchement des obstacles qui entravent la relation entre l'Iran et la Grande-Bretagne et sont convenus de la nécessité de faire des progrès dans tous ces domaines", ajoute le communiqué qualifiant d'"utile" la visite de M. Johnson.
"Les deux parties veulent poursuivre sur leur lancée pour résoudre les questions difficiles [...] et préserver l'accord sur le nucléaire".
Durant l'entretien, M. Rohani a estimé que les relations entre la Grande-Bretagne et l'Iran n'avaient "pas atteint le potentiel que l'on pouvait espérer" après la conclusion de l'accord sur le nucléaire, et qu'il fallait "davantage d'efforts" en vue d'une "coopération mutuelle" optimale, selon un communiqué du gouvernement iranien.
L'accord sur le nucléaire iranien conclu entre Téhéran et le Groupe des Six (Allemagne, Chine, États-Unis, France, Grande-Bretagne et Russie) en juillet 2015 a permis de sortir l'Iran de son isolement en levant les sanctions internationales liées au programme nucléaire iranien, en échange de garanties prouvant que la République islamique suit un programme nucléaire pascifique.
M. Johnson a quitté Téhéran en début d'après-midi pour les Émirats arabes unis.
Un journal algérien exhorte les Palestiniens à suivre l’axe de la Résistance
La directrice de publication du journal algérien El-Fadjr, Hadda Hazem, estime que le seul moyen pour les Palestiniens d’enrayer la convoitise du régime d’Israël et des États-Unis est de suivre l’axe de la Résistance et le Hezbollah libanais.
Hadda Hazem écrit :
« La judaïsation de Qods n’est pas nouvelle. Cela fait des décennies que Qods est occupée par les Israéliens. Jusqu’à présent, les musulmans ne pouvaient se rendre à Qods qu’avec un tampon israélien sur leurs passeports. La décision de Trump prend une tout autre dimension. Elle veut signifier que l’entente israélo-palestinienne est impossible.
Le point positif de cette mesure est que le peuple palestinien s’est de nouveau insurgé contre l’occupation. Les autorités de Washington et de Tel-Aviv ont foulé au pied les accords du passé et bloquent ainsi la création d’un État indépendant palestinien. Contre tous les traités et les résolutions internationaux, ils continuent à construire des colonies sur les terres palestiniennes.
Il est grand temps que les Palestiniens trouvent un autre moyen de déterminer leur sort. Ils doivent se libérer du joug des pays arabes et rallier l’axe de la Résistance et le Hezbollah libanais : car la question de Qods, qui est la première qibla des musulmans, n’est plus abordée dans les sermons de la prière de vendredi à La Mecque, surtout depuis que Donald Trump est allé en Arabie saoudite pour imposer à ses dirigeants ses directives. Et Mohammed ben Salmane ne pense qu’à les mettre en application. »
Mercredi dernier, l’administration américaine a reconnu officiellement Qods comme capitale d’Israël et décrété ainsi le transfert de son ambassade de Tel-Aviv vers la ville sainte.
Pourtant, la ville de Qods, qui accueille en son sein la mosquée al-Aqsa, première qibla des musulmans, fait partie intégrante de la Palestine, rappelle l’agence de presse IRNA. Elle compte parmi les trois lieux saints de l’islam.
Se basant sur les résolutions onusiennes, Qods-Est demeure un territoire occupé depuis 1967 et fait partie intégrante du reste des territoires palestiniens.
Le 23 décembre 2016, le Conseil de sécurité a adopté une résolution réaffirmant que la création par Israël de colonies de peuplement dans les territoires palestiniens occupés depuis 1967, y compris Qods-Est, n’a aucun fondement en droit. Aucune modification aux frontières du 4 juin 1967, « y compris Jérusalem », ne sera reconnue, a indiqué le Conseil de sécurité, à l’exception de celles qui ont été convenues entre les parties par la voie des négociations.
Présence de daechistes de nationalité française en Afghanistan
Des Français et des Algériens, certains arrivant de Syrie, ont rejoint les rangs de Daech dans le nord de l’Afghanistan, où le groupe terroriste a établi de nouvelles bases.
Alors que Daech a établi de nouvelles bases dans le nord de l’Afghanistan, des témoins et des responsables afghans confirment la présence dans ses rangs de combattants français ou francophones.
« Selon nos informations, un certain nombre de ressortissants français et d’Algériens sont arrivés il y a 15 à 20 jours (mi-novembre) dans le district de Darzab (dans le sud-ouest de la province de Jowzjan) », affirme ainsi le gouverneur du district, Baaz Mohammad Dawar. Ce district est situé dans la province de Jowzjan, frontalière de l’Ouzbékistan, l’une des principales poches où s’est implanté Daech, apparu en 2015 dans l’est du pays.
Le groupe est accompagné de plusieurs femmes, selon le gouverneur, et se déplace avec un interprète venu du Tadjikistan. « Quatre de ces étrangers, dont deux femmes, parlent français et arabe », précise-t-il. « Sept à huit combattants algériens qui ne parlent qu’arabe sont avec eux, en plus de Tchétchènes, d’Ouzbeks et de Tadjiks. Parmi les Algériens de Darzab, certains ont déjà passé du temps en Syrie et en Irak. »
Des centaines de Français, parfois d’origine nord-africaine, ont rejoint les rangs de Daech au Moyen-Orient, induisant une possible confusion sur la nationalité des nouveaux venus. « On les appelle des Arabes, mais ils n’ont pas leur passeport sur eux », reconnaît le porte-parole du ministère de la Défense, le général Dawlat Waziri.
Sur place, un sage terrorisé, qui dit s’appeler Hajji, confie en se mettant à l’écart : « Je les ai vus de mes yeux. Ils sont grands, doivent avoir entre 25 et 30 ans. Ils portent des treillis militaires. » Il ajoute : « Ils ne laissent personne s’approcher. »
Les combattants de Daech ont installé leur camp à quelques centaines de mètres de son village, Bibi Mariam, et de celui de Chahar Dara. « On les voit s’entraîner. Certains disent qu’ils sont là avec leurs familles, mais je ne les ai pas vues. »
« Ils ne parlent à personne, ils circulent à moto, ils vont à la frontière et reviennent », poursuit-il. « Des bergers qui s’étaient approchés pour faire paître leurs bêtes ont disparu : on n’a même pas retrouvé leurs verres à thé. » Selon Hajji, ce camp est surtout formé d’étrangers, « 200 environ : un mélange d’Arabes, d’Européens, de Soudanais et de Pakistanais », qui ont commencé à arriver il y a six mois.
En outre, Daech a recruté une cinquantaine d’enfants du district « de force ou en exploitant la misère des familles », précise le porte-parole du gouverneur provincial, Mohammad Raza Ghafoori. « Certains ont tout juste 10 ans. »
Avec AFP
Israël n’est plus une puissance aérienne
Il a fallu trois ans à l’armée syrienne pour qu’elle puisse remettre en état ses unités de défense aérienne, premières cibles des terroristes takfiristes qui, aussitôt après le début de la guerre en 2011, s’en sont pris aux principaux sites situés dans le Sud syrien.
Orientés par les services secrets israéliens, les terroristes ont détruit ces unités avant de les dépecer et en remettre les pièces aux services de renseignement israéliens. L’un de ses sites, le plus important sans doute, situé près des frontières israéliennes, se trouvait quelque part entre Deraa et Quneitra, au sud de la Syrie. Les attaques terroristes contre le site de Tal al-Hara ainsi que contre la tour de surveillance de Saidnaya ou encore contre le centre de commandement aérien situé entre Jermana et al-Maliha ont largement miné la défense aérienne syrienne. Mais cette époque est déjà révolue et les récents ratés de l’aviation israélienne en apportent la preuve. L’analyste libanais Omar Maarabouni y revient dans un article repris par le site de la chaîne de télévision al-Mayadeen.
L’auteur évoque la libération de Saidnaya et de Marj al-Sultan par l’armée syrienne et ses alliés, libération qui a permis à la DCA syrienne de reprendre du poil de la bête, « de se chercher des sites de surveillance et des radars nouveaux », de remettre en état des batteries de défense endommagées. L’une des conséquences de cette remise en état aura été l’abattage par la DCA syrienne, il y a presque un an et demi, d’un avion de combat israélien au-dessus du Golan. Les Israéliens ont été pris de panique, mais ils n’en étaient pas à leur dernière surprise. Il y a deux mois, un F-35 israélien a été pris pour cible par un S-200 syrien optimisé, batterie de missiles de fabrication russe sur laquelle la Russie a d’ailleurs fondé sa défense antimissile.
Ces deux événements ont secoué l’état-major de l’armée israélienne : le crash du F-16 israélien au Golan, dans une zone frontalière entre la Syrie, la Jordanie et Israël a poussé ce dernier à changer de tactique sans toutefois aller jusqu’à innover : l’armée de l’air israélienne a déterré sa tactique des années 80 quand elle frappait les batteries de missiles Sam-6 de la Syrie depuis le ciel libanais.
Le crash du F-35 fut le second choc, contraignant Israël à changer une deuxième fois de tactique et à augmenter l’altitude de vol de ses avions de chasse qui, avant cet incident, survolaient le Liban à une très basse altitude pour distraire les radars syriens.
Israël a-t-il pour autant réussi à retrouver sa pleine capacité de frappe aérienne en Syrie, pays qui commence à voir le bout du tunnel ?
Rien n’est moins sûr. Par malheur pour Tel-Aviv, les deux dernières frappes aériennes israéliennes contre la banlieue de Damas (al-Kiswa et Jamariya) ont révélé une autre capacité retrouvée de la DCA syrienne : les batteries de missiles de la Syrie ont réussi à intercepter pas moins de six missiles de croisière sophistiqués d’Israël : Ariha-1 et LORA.
Au QG de l’armée israélienne règne la confusion la plus totale : l’heure est au bilan, à la révision, et surtout à se demander : que faire ?
Force est de constater qu’Israël est en train de chercher une solution. Dans les années 70, Israël a fait la même chose : il multipliait les attaques limitées et sporadiques pour savoir comment détruire la flotte syrienne. Mais l’enjeu n’est pas le même. La flotte syrienne des années 70 n’a rien de la DCA que possède actuellement l’armée syrienne. L’aviation israélienne aura du mal à s’engager dans de vastes combats aériens vu la dispersion des unités de la DCA syriennes à travers toute la Syrie et surtout la nette amélioration de la qualité des systèmes d’interception. Les S-200 ou les Sam-5, avec une portée de 150 kilomètres près d’al-Zamir et de Homs, couvrent la quasi-totalité du ciel syrien. Mais il y a aussi les BUK-M2, d’une portée de 50 kilomètres, ou encore les PANTSIR-S1, qui disposent eux aussi d’une portée identique. Ce sont là des batteries capables d’intercepter les missiles de croisière israéliens. La Russie a-t-elle définitivement nui aux intérêts d’Israël ?
Macron désapprouve Trump, mais rappelle l'engagement de Paris à protéger Israël
À l’issue d’une rencontre à l’Élysée, ce dimanche 10 décembre, le président français Emmanuel Macron et le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu ont pris part à une conférence de presse conjointe.
Emmanuel Macron a déclaré que « la France demeure convaincue que la seule solution, conformément au droit international et à nos engagements de long terme, est de permettre l’établissement de deux États vivant côte à côte en paix et que cela peut émerger par la négociation. Nous soutiendrons en tous cas toute initiative qui serait prise en ces sens ».
« J’ai invité le Premier ministre à mener des gestes courageux envers les Palestiniens pour sortir de l’impasse actuelle. Il me semble que commencer par le gel de la colonisation et les mesures de confiance à l’égard de l’autorité palestinienne, ce sont des gestes que nous avons évoqués avec le Premier ministre Netanyahu qui sont d’importance », a précisé le président français.
Emmanuel Macron a réaffirmé que Paris prêtait une importance toute particulière à la sécurité d’Israël, appelant tous les pays du poids du Moyen-Orient à œuvrer pour le rétablissement de la sécurité et de la stabilité dans la région.
Le président français a déclaré avoir discuté avec Netanyahu de l’avenir politique de la Syrie et des négociations prévues à ce sujet.
Emmanuel Macron a ajouté que la France ne condamnait pas les récentes déclarations de Donald Trump et qu’elle les désapprouvait seulement. Il a réaffirmé que la décision de Donald Trump envenimerait la situation au Moyen-Orient.
Sans faire aucune allusion aux récentes attaques d’Israël contre la bande de Gaza, le président Macron a condamné « toutes les formes d’attaques » contre Israël ces « derniers jours ».
Il a ensuite déclaré avoir dit à Netanyahu que le discours de Trump contredisait les lois internationales.
Emmanuel Macron a rappelé sa « désapprobation des déclarations récentes du président des États-Unis, que la France juge contraires au droit international et dangereuses pour la paix ».
De son côté, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a repris ses allégations éculées contre la République islamique d’Iran, l’accusant de vouloir étendre son influence partout dans la région, afin de détourner l’attention de l’opinion publique de la question de Qods et de minimiser la reconnaissance très controversée de cette ville en tant que capitale d’Israël.
Russie : la coalition américaine a seulement réussi à détruire Raqqa
En trois ans d’existence, la coalition internationale dirigée par les États-Unis n’a obtenu qu’assez récemment son premier « résultat » dans la lutte contre Daech, ayant détruit par des bombardements massifs Raqqa et ses habitants civils, a annoncé le ministère russe de la Défense.
Sur fond d’accusations du ministre français des Affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian, annonçant que Moscou s’était approprié la victoire sur Daech en Syrie, le ministère russe de la Défense a présenté sa vision des choses sur les opérations, menées par la coalition internationale.
« En trois ans d’existence, la coalition n’a obtenu que récemment son premier “résultat” dans la lutte contre Daech en Syrie, ayant détruit par des bombardements massifs Raqqa et ses habitants civils », a fustigé le ministère, selon Sputnik.
« S’il existe un rôle positif de la “coalition internationale” dans la défaite de Daech en Syrie, il réside dans le fait qu’elle n’a pas eu le temps de détruire avec ses tapis de bombes comme […] à Raqqa, les autres villes syriennes », a également relaté le ministère.
Moscou a à maintes reprises condamné les frappes aériennes des avions de la coalition américaine en Syrie, car elles ne sont autorisées ni par l’ONU, ni par le gouvernement syrien. La coalition n’a fait qu’entraver l’avancée de l’armée syrienne en bombardant ses positions, ajoute le ministère.
Par le passé, ce dernier avait aussi accusé la coalition américaine d’entraver les opérations de l’aviation russe contre les bases de Daech dans l’est de la Syrie.
« Le Pentagone doit se rendre compte que la Syrie est un pays membre de l’ONU et que les États-Unis ne peuvent pas s’arroger une partie du ciel syrien », dit le ministère russe de la Défense qui rappelle que la coopération entre le Centre russe pour la réconciliation et les administrations de plusieurs régions syriennes continue pour faciliter le retour des réfugiés. En 24 heures, 57 réfugiés ont retrouvé leur foyer, dont 29 à Alep et 28 à Homs. Les médecins militaires russes ont également fourni des soins à 27 d’entre eux.
Par ailleurs, grâce à la coopération entre le Centre russe pour la réconciliation des parties en conflit en Syrie et le Comité de réconciliation nationale d’Alep, le village de Burj al-Azawi, dans la banlieue d’Alep, a rejoint les zones de désescalade.
Les aides humanitaires russes se poursuivent toujours en Syrie. Le Centre russe de réconciliation a accepté d’apporter de l’aide dans la zone de désescalade de la Ghouta orientale. En collaboration avec les autorités de Deir ez-Zor, il a aussi élaboré une liste des installations endommagées dans les bombardements.
Les Brigades Izz al-Din al-Qassam mettent en garde Israël
Les Brigades Izz al-Din al-Qassam, branche militaire du Mouvement de la résistance islamique de la Palestine (Hamas), ont menacé le régime d’Israël de représailles après ses récentes attaques contre la bande de Gaza.
Dans un communiqué, les Brigades Izz al-Din al-Qassam ont averti qu’Israël paierait cher pour avoir violé le droit de la guerre et que dans les jours à venir, l’ennemi se rendra compte qu’il a commis une grave erreur dans ses estimations sur la capacité de résilience de la Résistance, a rapporté l’agence de presse Anadolu.

« Les dirigeants du régime d’Israël ainsi que les décideurs doivent se rendent compte du niveau de leur stupidité face à la Résistance et regretter d’avoir cru que la Résistance resterait silencieuse. Le sang versé par les martyrs et les combattants du peuple ne sera pas foulé au pied et l’ennemi paiera cher son agression, sa fourberie et ses crimes contre le peuple », est-il dit dans ce communiqué.
D’autre part, le porte-parole de l’armée israélienne, Avichay Adraee, a déclaré le samedi 9 novembre qu’en représailles au missile lancé depuis Gaza sur Israël, l’armée avait décidé de mener des attaques contre le Hamas.
Hier, deux membres des Brigades Izz al-Din al-Qassam sont tombés en martyrs lors des frappes aériennes lancées par les avions de combat de l’armée israélienne.
Depuis la décision du président américain, Donald Trump, de reconnaître la ville de Qods comme capitale d’Israël, 4 Palestiniens sont tombés en martyrs tandis qu’une centaine d’autres ont été blessés.
Pa ailleurs, l’armée d’Israël a menée des attaques vendredi soir et samedi matin contre la bande de Gaza, blessant 15 Palestiniens.
Pour rappel, depuis la décision américaine de transférer l’ambassade des Etats-Unis de Tel Aviv à Qods, la Palestine est le théâtre d’intenses affrontements.