تقي زاده

تقي زاده

Parmi les autres priorités de l’Iran la source visée aux missiles des politiques de l’Iran et Téhéran au sujet de ce programme : « missiles d’Iran uniquement à des fins défensives et dissuasives. Cette fonctionnalité jusqu'à présent a joué une puissance papale dans la paix et de stabilité », il a dit.

De même, a fait valoir que « La République islamique d’Iran est déterminée à maintenir et développer leurs capacités de défense et de sécurité et de cette façon seulement prêter attention à des considérations de sécurité nationale et les intérêts de la nation iranienne », a souligné.

En revanche, il a visé à d’éventuelles sanctions américaines contre Corps des gardiens de la révolution islamique (CGRI) et a déclaré que l’Iran répondra avec réciprocité à toute action agressive contre les forces armées de l’Iran, y compris CGRI.
De même, a réclamé lutter contre les activités terroristes des groupes, y compris la bande takfiri EIIL (Daesh, en arabe) au Moyen-Orient sont parmi les principes du pays Perse. Toute cette situation, alors que les politiques de Washington et de ses supports de terroristes ont déstabilisé la région, ajoute.

« La principale politique de soutien de la République islamique d’Iran, la paix et la stabilité dans la région et les traitent de mesures visant à déstabiliser et à générer la division dans le but de créer des tensions et des conflits dans la région », a-t-il dit.

En plus, précise qu’au cours des dernières décennies du soutien des Etats-Unis pour le régime israélien et autres régimes oppressifs ont causé des guerres et la montée du fléau du terrorisme. « Les USA et leurs alliés sont les principaux auteurs du terrorisme international », qui a également touché la nation américaine.

En fait, a mis en garde, la poursuite de cette politique américaine sera une « erreur historique » qui aura des conséquences graves pour la région et la communauté internationale.

Compact nucléaire de l’Iran, officiellement appelée le Plan global d’action commune (JCPOA, par son sigle en anglais) et les armes de destruction massive sont parmi les sujets abordés par la source. Dans ce contexte, il a été souligné que Téhéran a toujours a été contre l’usage de ces armes et étaient à la recherche pour le désarmement nucléaire mondial.

Dans le même temps, a indiqué que si les États-Unis rompt le Pacte, l’Iran aura plusieurs options sur la table, y compris « mettre un terme à tous ses engagements », sont énoncés dans la Convention. Téhéran ne soucie pas les actions des Etats-Unis, pays tous les jours hors accords internationaux et « il est isoler » en menaçant de quitter l’accord nucléaire entre l’Iran et le Sextet (USA, Royaume-Uni, France, Russie et Chine, Allemagne plus) Ajoute-t-il.

Par le biais de point culminant, il a déclaré que Washington a toujours appliqué des politiques hostiles envers l’Iran, cependant, a continué, a République islamique continue son chemin en fonction des capacités nationales et de la direction du chef de la révolution islamique, l’Ayatollah Seyed Ali Khamenei.

La justice sud-africaine a rejeté la demande du président Zuma de ne pas être poursuivi pour corruption aggravée.

En effet, la Cour suprême d’appel de Bloemfontein vient de rejeter l’appel du président Jacob Zuma contre la décision prise en 2016 par un tribunal de première instance de relancer les poursuites pour corruption contre lui.

L’affaire remonte à 1999, l’époque où Zuma était vice-président. Les accusations portent sur un gros contrat d’armement signé en 1999 avec plusieurs sociétés, dont le géant français Thalès. Il est soupçonné d’avoir reçu en échange de la signature de ces contrats, un dessous de table d’un montant de 4,2 millions d’euros.

Or, peu avant les élections de 2009, le parquet général de l’Afrique du Sud a levé les charges pesant contre Zuma en annonçant que les accusations étaient fondées sur des motifs d’ordre politique.

Selon Sky News, depuis l’élection de Zuma, le plus grand parti d’opposition, l’Alliance démocratique, tente de relancer les poursuites judiciaires contre lui et c’est ainsi qu’en 2016, un tribunal de Pretoria a statué que l’abandon des charges pesant contre le président n’était raisonnable.

Suite au discours du président américain qui vient d’annoncer qu’il ne certifierait pas l’accord Iran-5 +1, les dirigeants du monde entier ont réagi en condamnant sévèrement Donald Trump.

Dans des communiqués, les dirigeants français, allemand et britannique ont insisté sur l’engagement de leurs pays respectifs à continuer à adhérer au Plan global d'action conjoint (PGAC, accord signé en 2015 sur le nucléaire iranien). 

La chef de la diplomatie de l’Union européenne, Federica Mogherini, a annoncé à cet égard que le Plan global d’action conjoint est un accord multilatéral et qu’un État à lui seul n’est pas en mesure de le modifier ou de le révoquer.

Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a quant à lui dit que son souhait est « le maintien de l’accord nucléaire iranien. »

Le vice-ministre russe des Affaires étrangères a appelé toutes les parties à l’accord à y rester fidèles, en affirmant que les déclarations anti-iraniennes de Donald Trump sont « très problématiques ».

Quant à l’ex-directeur général de l’Agence internationale de l’énergie atomique, Mohamed el-Baradei, il a déclaré que Trump semble ne pas avoir pris connaissance des multiples rapports émis par l’AIEA, dont il ressort que Téhéran a été parfaitement fidèle aux engagements qu’il a pris dans le cadre de l’accord sur le nucléaire.

Dans son discours tant attendu, le président américain Donald Trump a expliqué la nouvelle stratégie de son pays envers l’Iran.

Il a refusé de « certifier » l’accord sur le nucléaire iranien. Une loi votée par le Congrès oblige le président américain à « certifier » tous les 90 jours le respect par l’Iran du Plan global d’action conjoint (PGAC).  

La décision de Donald Trump place le Congrès américain en première ligne. Les parlementaires US ont en effet soixante jours pour décider de réimposer ou non à l’Iran les sanctions levées depuis 2015. 

Cela intervient alors que l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) a confirmé, à maintes reprises, que l’Iran avait respecté tous ses engagements envers l’accord nucléaire. 

Le président américain a aussi accusé l’Iran d’avoir commis des violations multiples de l’accord nucléaire. « Quel est le sens d’un accord qui ne fait que retarder la capacité nucléaire pour une courte période ? Cela est inacceptable pour le président des États-Unis », a lancé Trump.

Trump a également annoncé des sanctions supplémentaires contre le Corps des gardiens de la Révolution islamique (CGRI).

Il a autorisé le Département du Trésor à sanctionner davantage l’ensemble du CGRI pour ce qu’il a qualifié de « soutien au terrorisme ».

Le ministère iranien des Affaires étrangères a déclaré vendredi dans un communiqué que les forces armées iraniennes, y compris le CGRI, sont le symbole du pouvoir et les défenseurs de la sécurité nationale et sont soutenues par le gouvernement et le peuple iraniens.

Le communiqué, qui a été publié quelques heures avant le discours de Trump, souligne que la politique de principe de l’Iran est de soutenir la paix et la stabilité régionales et de faire face à toutes les actions déstabilisatrices  et divisionnistes visant à engendrer des tensions et des crises dans la région.

D’après le communiqué ministériel, le soutien des États-Unis à Israël et à d’autres régimes répressifs de la région au cours des dernières décennies a provoqué des guerres et des conflits et créé de toutes pièces le phénomène inquiétant du terrorisme.

À l’approche du discours du président américain Donald Trump lors duquel il devrait annoncer la nouvelle stratégie de Washington envers l’Iran, le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères a souligné que la politique de principe de la RII consistait à soutenir la paix et la stabilité à l’échelle régionale et à combattre les actions déstabilisatrices et séditieuses dont le but est d’engendrer des tensions et des crises au Moyen-Orient.

« La lutte contre Daech et d’autres groupes terroristes dans la région est la priorité de Téhéran. Et ce, alors que le soutien des États-Unis aux groupes terroristes et aux régimes répressifs est à l’origine de l’instabilité de la région. Ils n’ont pas le droit d’accuser les autres pour ainsi se dérober à leur propre responsabilité. Il faut qu’ils répondent de leurs politiques erronées », a souligné Bahram Qassemi, ce vendredi 13 octobre.

Bahram Qassemi, porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères. (Archives)

Dans l’optique du porte-parole de la diplomatie iranienne, le soutien américain au régime israélien et d’autres régimes despotes et répressifs de la région, qui est à l’origine de l’apparition du terrorisme, est une erreur historique, lourde de conséquences aussi bien pour la région que pour le monde.

Dans une autre partie de ses propos, M. Qassemi a estimé que les capacités balistiques iraniennes sont de nature purement et simplement défensive et dissuasive.

« La RII est sérieuse quant à la préservation et au développement de ses capacités en matière de défense et de sécurité et dans ce sens, elle ne prend en compte que la sécurité nationale et les intérêts du peuple », a-t-il ajouté.

Il a affirmé que toute action à l’encontre des forces armées iraniennes, dont le Corps des gardiens de la Révolution islamique (CGRI), se heurterait à une réponse ferme et appropriée de la RII.  

« La violation du texte et de l’esprit de l’accord nucléaire par les États-Unis est une chose claire. Depuis l’entrée en vigueur du PGAC, le ministère iranien des Affaires étrangères a envoyé neuf lettres à la responsable de la politique étrangère de l’UE. L’Iran a de nombreuses options devant lui, et si nécessaire, il mettra un terme à tous ses engagements envers cet accord », a précisé M. Qassemi.

Plus loin dans ses propos, il a déclaré qu’aux yeux de la communauté internationale, l’Iran est un acteur logique et sage qui œuvre pour la paix dans le monde et qui ne fait aucun cas des politiques des acteurs qui s’isolent chaque jour davantage, en se retirant d’un traité ou d’une organisation internationale.

« Paralyser l’Iran », voici le nouvel objectif que suit officieusement Washington, depuis un certain temps...

L’hebdomadaire américain Newsweek a publié, le 11 octobre, un article au sujet de l’échec qu’a subi Washington, en Syrie, face à l’Iran et la Russie.

Dans un article intitulé, « Comment les États-Unis ont perdu la guerre en Syrie, face à la Russie et à l’Iran ? », Tom O’Connor a reconnu l’échec de l’initiative de Barack Obama d’armer les rebelles syriens.

« L’ancien président des États-Unis Barack Obama comptait gagner en Syrie en approvisionnant les rebelles en armes. Mais ce projet ayant échoué, l’actuelle administration ne lésine sur rien pour miner l’influence crescendo de l’Iran dans le dossier syrien. Lorsque les États-Unis et leurs alliés ont lancé, en août 2017, une offensive pour repousser Daech de la province de Deir ez-Zor, le champ de bataille connaissait une situation différente par rapport à celle du début des conflits en Syrie, en 2011. À cette époque-là, Barack Obama a commencé à soutenir les terroristes qui tentaient de renverser Bachar al-Assad, et en 2012, il a commencé à leur fournir des armes. Face à ce soutien, l’Iran, la Russie et la Résistance ont apporté un soutien encore plus fort au président syrien, réussissant à stabiliser sa position au pouvoir. Cette intervention, en Syrie, a poussé les États-Unis à passer en revue leur position quant au dossier syrien. Maintenant, il paraît que les Américains suivent un nouvel objectif, mais d’une manière officieuse, qui est le blocage de l’influence grandissante de Téhéran en Syrie. Les Américains prétendent que l’Iran cherche à exercer une présence à long terme en Syrie afin d’étendre son influence jusqu’à Beyrouth. Pour certains experts, Washington pourrait instrumentaliser les tribus de l’est de la Syrie pour récupérer sa part du gâteau. Cependant, les expériences passées montrent qu’il serait probablement trop tard pour la Maison Blanche de se redonner un rôle majeur en Syrie. Étant donné que la bataille de Deir ez-Zor constitue un défi plus grand que jamais pour les Américains et leurs alliés kurdes, il ne faut pas oublier que les Américains ont déjà perdu leur point d’appui dans l’est de la Syrie ».

La Syrie ne connaîtra pas une stabilité totale et absolue tant que des puissances internationales continuent de protéger les terroristes, et d'entravé le bon déroulement des activités de l’axe de la Résistance qui consistent à préserver la sécurité dans la région.

Le Hamas a estimé que les quatre conditions posées par Israël pour la réconciliation entre l’Autorité autonome palestinienne et le Hamas sont « une ingérence flagrante » dans les affaires intérieures palestiniennes.

Après la signature de l’accord de réconciliation au Caire par les groupes palestiniens pour former un gouvernement d’unité palestinien, le bureau du Premier ministre israélien Benyamin Netanyahu a émis un communiqué dans lequel il a posé quatre conditions.

Pour le mouvement palestinien Hamas, ce geste de Tel-Aviv constitue une ingérence flagrante dans les affaires internes de la Palestine.

Le porte-parole du Hamas, Abdel Latif al-Qanua, a dénoncé les ingérences israéliennes avant d’ajouter : « Désormais, nous combattrons avec plus de volonté le régime occupant. Notre unité nationale a affaibli et mis dans l’embarras le régime d’occupation. »

Après deux jours de discussions au Caire, les deux partis palestiniens, le Fatah et le Hamas, sont parvenus à un accord de réconciliation, le jeudi 12 octobre.

En guise de première réaction à l’accord de réconciliation signé entre le Hamas et le Fatah, le cabinet israélien a osé poser ses propres conditions, à savoir le respect des accords internationaux et des conditions du Quartette pour le Proche-Orient, la reconnaissance d’Israël et la démilitarisation du Hamas.

L’agence de presse Dogan a annoncé qu’un grand nombre de missiles avaient été tirés en direction d’Idlib en Syrie depuis des bases situées dans la localité de Reyhanli dans la province turque de Hatay.

D’autres médias turcs ont rapporté aussi l’information, en indiquant que des bruits d’expulsions successives avaient été entendus en périphérie d’Idlib.

Il y a quelques jours, en marge de la mise en place des zones de désescalade à Idlib, une centaine de commandos et 20 véhicules blindés sont entrés depuis le sol turc dans cette province syrienne.

Le président turc, Recep Tayyip Erdogan lors d’une réunion du parti turc AKP, le vendredi 13 octobre 2017. ©AA

Le président turc Recep Tayyip Erdogan a déclaré aujourd’hui, vendredi 13 octobre 2017, lors d’une réunion du parti turc AKP, que nul ne peut critiquer Ankara pour le lancement de ses opérations militaires à Idlib.

Erdogan a tenté de justifier ces opérations militaires lancées de concert avec l’ASL, en disant que la frontière terrestre turco-syrienne est longue de 911 km et en prétendant qu’il protège ainsi le peuple syrien des terroristes et de Damas.

Selon l’agence turque Anadolu, Erdogan a également de nouveau critiqué Washington pour le soutien qu’il apporte aux miliciens kurdes : « Certains de nos alliés qui se battent contre les terroristes prennent en ce moment même des mesures contre nous. »

Le patron de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) a déclaré aujourd'hui depuis Rome où se déroule une conférence sur les armes nucléaires que l'Iran n'a jusqu'à ce jour pas de faux pas dans l'exécution de l'accord ayant posé des restrictions au programme nucléaire de l'Iran en 2015.

Yukiya Amano a affirmé que l’Iran avait respecté ses engagements relatifs au nucléaire. Il est utile de rappeler qu'en septembre, l'AIEA avait annoncé pour la 8e fois consécutive la fidélité de l'Iran à l'accord 5+1 et au Plan global d'action commun.

La cheffe de la diplomatie européenne, Federica Mogherini a elle aussi publié aujourd'hui lundi un communiqué pour affirmer que "l'accord nucléaire appartient au monde entier et non seulement à un ou deux pays".  Elle a insisté également sur la nécessité de préserver cet accord, et ce en dépit des menaces de remise en cause complète du texte et de l'engagement par le président américain.  

Donald Trump promet quant à lui de transmettre le 15 octobre, au Congrès américain, un rapport dans lequel il prétend faire la preuve du non-respect par l'Iran de ses engagements.

Le plan de la Maison Blanche prévoyant une intégration du CGRI sur la liste de groupes terroristes a provoqué l’inquiétude de Paris.

Lors du point de presse hebdomadaire de ce lundi 9 octobre, de la porte-parole du ministère français des Affaires étrangères, les journalistes ont interrogé Agnès Romatet-Espagne sur cette éventuelle décision du gouvernement américain. C’est en ces termes que la porte-parole du Quai d’Orsay leur a répondu :

« Dans un contexte régional instable, la France est vigilante quant à toutes les actions susceptibles d’accentuer les crises actuelles. Les États de la région ont à cet égard un rôle particulier à jouer et doivent faire preuve de retenue et de sens des responsabilités. »

Des médias américains avaient auparavant annoncé que l’équipe de sécurité nationale des États-Unis avait préparé un plan à remettre au président US, Donald Trump; un plan qui incite à la révision de la politique américaine. Les conseillers à la sécurité nationale américaine demanderaient à Trump de ne pas certifier le respect par l’Iran de l’accord nucléaire et de déclarer le Corps des gardiens de la Révolution islamique (CGRI) comme étant un groupe terroriste.