
تقي زاده
Marine iranienne a envoyé 52 flottes de navires de guerre pour ouvrir les eaux
« La marine de l'armée iranienne prévoit d'envoyer 52 flottes de navires de guerre dans les eaux ouvertes du nord et du sud afin d'assurer la sécurité du même », a déclaré jeudi le commandant de la Force navale de l'armée de l'Iran, L'amiral Habibolah Sayari.
Dans des déclarations faites en dehors des manœuvres de fermeture marine iranienne dans les eaux de la mer Caspienne, dans le nord du pays perse, Sayari a souligné la complète capacité défensive et dissuasive de la marine iranienne pour assurer la sécurité des eaux régionales et internationale.
Il a également noté que les forces iraniennes maintiennent le contrôle de la marine de toutes les eaux régionales grâce à leur capacité et de la formation.
L'amiral a déclaré la Marine de la République islamique d'Iran est attentif à tout mouvement de l'ennemi dans les eaux du golfe Persique et la mer d'Oman.
« Nous surveillons attentivement toute activité ou mouvement de l'ennemi dans les eaux régionales et ne lui permettait pas d'approcher nos eaux et si cela se produisait, nous agirions comme nous l'avons fait dans le passé », a-t-il dit.
Sayari pour assurer la sécurité dans des régions comme le golfe d'Aden et le détroit de Bab-el-Mandeb est une tâche très délicate, car ces zones passent généralement par les pétroliers et les navires marchands iraniens.
Ces dernières années, la République islamique d'Iran Marine a augmenté sa présence dans les eaux internationales pour protéger les routes maritimes et assurer la sécurité des navires commerciaux tels que les camions citernes.
Conformément aux efforts internationaux de lutte contre la piraterie, la marine iranienne a effectué des patrouilles dans le golfe d'Aden depuis Novembre 2008 pour protéger les conteneurs commerciaux et pétroliers propres ou loués à d'autres pays.
La marine iranienne a maintes fois contribué à neutraliser les attaques de pirates non seulement contre les navires nationaux, mais d'autres pays.
La partie vieille de la ville palestinienne Hébron sur sa liste du patrimoine mondial de l'Unesco
Le vote de vendredi est "un succès dans la bataille diplomatique menée par les Palestiniens sur tous les fronts face aux pressions israéliennes et américaines", s'est aussitôt félicité le ministère palestinien des Affaires étrangères dans un communiqué.
"Malgré une campagne israélienne frénétique qui a consisté à répandre des mensonges et à distordre les faits concernant les droits des Palestiniens, le monde a reconnu notre droit d'inscrire Hébron et la mosquée d'Ibrahim sous souveraineté palestinienne", a poursuivi le ministère.
"Une autre décision délirante de l'Unesco. Cette fois-ci, ils ont estimé que le tombeau des Patriarches à Hébron est un site palestinien, ce qui veut dire non juif, et que c'est un site en danger", a déclaré de son côté le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu dans une vidéo diffusée par ses services et mise en ligne sur sa page Facebook.
Le porte-parole du ministère israélien des Affaires étrangères Emmanuel Nahshon avait auparavant qualifié la décision de l'Unesco de "souillure morale".
Douze membres du Comité réuni à Cracovie, dans le sud de la Pologne, ont voté pour l'inscription, six se sont abstenus et trois ont voté contre. Etant donné l'abstention, la majorité requise était de dix voix.
L'ambassadeur d'Israël auprès de l'Unesco Carmel Shama-Hacohen, intervenant immédiatement après le vote, a lancé une violente diatribe contre son résultat, comme il l'avait fait déjà mardi dernier, lorsque le Comité avait maintenu la vieille ville de Jérusalem sur la liste des sites en danger.
Vendredi, son discours très émotionnel a été souvent interrompu par la sonnerie de son téléphone portable. M. Shama-Hacohen a utilisé cet incident pour critiquer encore une fois le vote. "Monsieur le président, c'est le plombier dans mon appartement à Paris. Il y a un gros problème au cabinet de toilette. Et c'est beaucoup plus important que la décision que vous venez d'adopter", a-t-il lancé, avant de partir.
Les Etats-Unis ont également vigoureusement rejeté cette résolution la qualifiant d'"affront à l'histoire".
L'ambassadrice américaine auprès des Nations unies, Nikki Haley, a affirmé que cette initiative "discrédite encore plus une agence onusienne déjà hautement discutable" et a promis de réévaluer les relations avec l'Unesco.
Le représentant du Centre Simon Wiesenthal --seule organisation non gouvernementale juive accréditée auprès de l'Unesco-- a déploré la "politisation" du dossier.
Les relations entre l'Unesco et Israël sont très mauvaises depuis 2011, date de l'admission de la Palestine comme membre à part entière, un progrès vers sa reconnaissance internationale en tant qu'Etat. Les Etats-Unis et Israël avaient alors suspendu leur contribution financière à l'agence onusienne.
Egypte: 26 soldats tués ou blessés dans le Sinaï
Elle a affirmé avoir tué 40 des assaillants lors des affrontements avec des combattants extrémistes dans la région où sévit la branche égyptienne du groupe Daech.
Des ambulances ont été dépêchées sur les lieux des attaques au sud de la localité de Rafah, proche de la frontière avec la bande de Gaza, ont précisé des responsables de la sécurité.
Depuis que l'armée a destitué en 2013 le président Mohamed Morsi, issu des Frères musulmans, des groupes extrémistes ont multiplié les attentats visant les militaires et les policiers, tuant des centaines d'entre eux principalement dans la péninsule du Sinaï.
Des touristes et la communauté chrétienne copte ont également été la cible d'attaques meurtrières revendiquées par Daech dans le Sinaï et ailleurs en Egypte.
L'Iran veut renforcer sa défense liée aux missiles
M. Khameneï a également salué le récent tir de missile de l'IRGC contre les positions de Daech à Deir-ez-Zor en Syrie.
L'IRGC a annoncé le 18 juin que les missiles de ses forces aérospatiales avaient pris pour cibles les centres de commandement de Daech à Deir-ez-Zor, afin de punir les "terroristes takfiristes" pour la récente double attaque commise à Téhéran, la capitale iranienne. Ce double attentat avait coûté la vie à 17 Iraniens.
Les USA sous-estiment gravement les capacités de la marine iranienne
« 24 heures sur 24, 97 navires de guerre de la marine du Corps des gardiens de la Révolution islamique patrouillent dans les eaux du golfe Persique. Les Américains pensent que les capacités défensives des forces navales du CGRI se limitent à ce nombre restreint », a déclaré ce jeudi 6 juillet, l’amiral Ali Fadavi, commandant de la marine du Corps des gardiens de la Révolution islamique, devant un parterre de journalistes iraniens dans la sainte ville de Machhad.
« Nous n’avons pas passé une seule journée sans penser à accroître les capacités des forces navales du CGRI face à la perpétuelle menace des ennemis, surtout celle des États-Unis », a-t-il poursuivi.
Et de préciser :
« Certes, je ne vous apprendrais rien en vous disant que depuis mars 1973, l’ennemi auquel le CGRI a été confronté n’était rien de moins que les États-Unis. C’est pour cette raison que le CGRI a toujours été prêt à tout. Nous avons acquis une véritable force de dissuasion et les Américains cherchent désormais à nous égaler en la matière. »
Dans une autre partie de son discours, l’amiral Fadavi a vanté les capacités du CGRI à faire face à toute menace et a affirmé :
« La situation est sous notre contrôle. Nous exerçons comme il se doit notre pouvoir et notre souveraineté en mer et notre situation s’améliore de jour en jour, mais nous ne sommes pas autorisés à dévoiler publiquement le niveau de nos capacités de réaction. Les Américains les connaîtront quand il sera déjà trop tard. Ce que les Américains connaissent de nos capacités est bien moindre que ce qu’ils ignorent, car ils croient naïvement que les navires dont nous disposons en mer se limitent aux 97 bateaux qu’ils voient 24 sur 24 heures. »
RDC : 12 morts dans les combats dans l’est du pays
Douze personnes ont trouvé la mort dans des affrontements entre une milice et l’armée congolaise au Sud-Kivu, dans l’est de la République démocratique du Congo, selon un bilan provisoire annoncé par l’armée mercredi.
« Le bilan partiel des combats entre les Maï-Maï Yakotumba et les FARDC (Forces armées de la RDC, NDLR) est de douze morts : deux militaires FARDC, neuf Maï-Maï et un civil tué par une balle perdue », a déclaré à l’AFP le capitaine Dieudonné Kasereka, porte-parole adjoint de l’armée au Sud-Kivu. « Nos éléments progressent vers le dernier verrou, la localité de Misisi », a-t-il confirmé.
« L’ennemi s’est retiré sur les collines qui surplombent cette localité » riche en minerais, a ajouté l’officier. « Quatre Maï-Maï ont été capturés et 5 armes lourdes récupérées ».
En deux jours de combats à l’arme lourde et légère, les FARDC avaient reconnu avoir perdu vendredi le contrôle de quatre localités du territoire de Fizi, occupées par des miliciens Maï-Maï Yakotumba.
Les Maï-Maï sont des « groupes d’autodéfense » constitués sur une base essentiellement ethnique.
Avec AFP
21 éléments de Daech arrêtés à Machhad
21 éléments du groupe terroriste Daech sont tombés dans les filets des services de renseignements iraniens à Machhad, dans le nord-ouest de l’Iran.
Selon le quotidien régional Khorassan, le procureur adjoint de la ville de Machhad a déclaré le mercredi 5 juillet que suite aux attaques terroristes de Téhéran le 7 juin dernier, qui se sont soldées par la mort de plusieurs innocents, les services de renseignement, communément connus sous le nom des « Soldats inconnus de l’imam Zaman », ont entamé d’importantes opérations de recherche dans la province du Khorassan.
« Les opérations de filature, à caractère préventif, sont entrées dans une nouvelle phase il y a un mois. Plusieurs individus suspects ont été placés sous haute surveillance par les services de renseignements. Les enquêtes ont montré qu’ils avaient suivi des entraînements auprès de Daech à l’étranger et réussi à entrer en Iran en se procurant de fausses cartes d’identité », a annoncé Hassan Heydari.
« Le bureau central du ministère des Renseignements et de la Sécurité nationale traquait 24 heures sur 24 les suspects avant leur arrestation. Au terme de vastes opérations coordonnées, 21 éléments de Daech, pris de court, sont tombés dans les filets de nos services. Selon le président de la juridiction de la Révolution islamique de Machhad, dès le début des enquêtes, les données ont été mises à la disposition des agents des services de renseignement de Machhad », a-t-il précisé.
Évoquant l’extorsion d’aveux dès le premier interrogatoire, M. Heydari a indiqué que les terroristes envisageaient de commettre de nouveaux attentats suicides. Plusieurs des éléments capturés étaient en contact avec un terroriste en Irak qui a récemment trouvé la mort dans une opération suicide.
Le procureur adjoint de la ville de Machhad a précisé la nationalité des terroristes : « Certains sont des Iraniens et d’autres des Afghans qui sont entrés dans le pays avec de faux papiers. »
« La nation doit savoir que le système judiciaire agit scrupuleusement face aux terroristes de Daech et à tous les groupes affiliés, qu’ils soient implantés à l’intérieur ou à l’extérieur du pays. Les agents de nos services gardent constamment les yeux ouverts et sont en état de vigilance 24 heures sur 24 pour garantir la sécurité nationale », a-t-il ajouté.
Remerciant les services de renseignements de Machhad pour leur travail acharné, il a affirmé : « Les soldats sont continuellement sur la ligne de front pour assurer la sécurité. Ils arrivent à étouffer dans l’œuf le moindre élément suspect venant des groupuscules terroristes, des opposants au gouvernement ou de Daech. »
« La capture des terroristes à Machhad témoigne de la puissance et de l’efficacité des forces de la Révolution islamique. Leur dévotion enlève à Daech toute occasion d’agir et de nuire à la sécurité du peuple », a conclu M. Heydari.
Fusillade à Barcelone : deux policiers blessés
À Barcelone, un assaillant a attaqué la police avec un fusil AK-47. Le dernier bilan fait état de deux policiers blessés.
Au moins deux policiers, âgés de 50 et 62 ans, ont été blessés lorsqu’un inconnu a ouvert le feu dans la ville espagnole de Barcelone.
L’assaillant a tenté de prendre la fuite, mais a finalement été appréhendé par la police.
Selon les sources locales, cette attaque n’est pas de nature terroriste.
L’un des policiers a été blessé au cou et est dans un état critique. L’autre a été blessé au pied.
Aucune information plus précise n’a encore été révélée.
Vote contre l’adhésion de la Turquie à l’UE et réaction de la Turquie
Ce jeudi 6 juillet, les députés européens ont voté pour la suspension des discussions concernant l’adhésion de la Turquie à l’Union européenne.
Lors de ce vote, 638 des 751 députés du Parlement européen ont participé au vote et la proposition de suspension du processus d’adhésion de la Turquie a été en fin de compte adoptée avec 477 votes pour et 64 contre.
Néanmoins, ce verdict du Parlement européen n’a aucune valeur contraignante ; c’est du moins ce que prétend le quotidien Daily Sabah. Cela est d’autant plus important lorsque l’on sait que la décision ne fait pas l’unanimité parmi les membres du bloc, certains mettant en avant la nécessité de poursuivre ces discussions.
Du côté turc, le Premier ministre, Binali Yildirim, qui n’a pas fait grand cas de cette décision, a réitéré la volonté d’Ankara d’intégrer l’UE.
Devant un groupe de journalistes, Yildirim a tenu ces propos :
« La décision du parlement européen n’a pas une grande importance et à nos yeux son verdict est nul et non avenu. »
Bouteflika demande à l’ex-colonisateur français de reconnaître ses erreurs
Le président algérien, Abdelaziz Bouteflika, a annoncé aujourd’hui, mercredi 5 juillet 2017 que l’Algérie et son peuple attendaient toujours une reconnaissance officielle par la France des souffrances subies par les Algériens dans le passé du fait des colonisateurs français.
En effet, à l’occasion du 55e anniversaire de la fête nationale de l’indépendance et de la jeunesse, Bouteflika a déclaré dans un message à la nation : « De tels rappels ne sont porteurs d’aucune haine, même si notre peuple exige toujours une reconnaissance de ses souffrances de la part du colonisateur d’hier, la France, avec laquelle l’Algérie a engagé la construction d’un partenariat d’exception qui se doit d’être mutuellement bénéfique, un partenariat qui gagnera en sérénité et en élan dans une reconnaissance des vérités de l’Histoire. »
Dans ce message publié via l’agence officielle algérienne, Bouteflika a indiqué : « La préservation de la mémoire nationale est aussi destinée à nos générations montantes, car elles pourront toujours y puiser pour ressourcer leur patriotisme face aux défis et aux épreuves et y trouveront un motif de fierté nationale pérenne. »
Le chef d’État algérien a également souligné : « À travers l’évocation de notre passé dramatique à la suite de l’invasion française, nous exerçons notre devoir de mémoire envers nos ancêtres, dont des millions sont tombés en résistants, des centaines de milliers d’autres ont été emprisonnés ou déportés, alors que des millions d’Algériens ont été dépossédés de leurs terres et de leurs biens. Nous exerçons aussi notre devoir de mémoire envers notre peuple qui a sacrifié un million et demi de ses enfants pour le recouvrement de son indépendance et de sa souveraineté nationale. »
Avec TSA Algérie