تقي زاده

تقي زاده

Après neuf jours de tension et d’affrontements, le calme revient à Bouaké, à 335 kilomètres au nord d’Abidjan.

Selon RFI, après de longues heures de négociations, le gouvernement ivoirien et les mutins sont parvenus à un accord, vendredi 13 janvier.

Cependant, des tirs en l’air ont été entendus dans certaines villes ivoiriennes dont à Bouaké, Abidjan, Man et Korhogo.

À Abidjan, des tirs ont retenti notamment dans les camps militaires d’Akouedo à Cocody et aussi du côté du camp Galliéni, situé au Plateau.

Soldats mutins à Bouaké, le vendredi 13 janvier 2017. ©AFP

Toujours d’après Radio France Internationale, les négociations étaient fermées à la presse, mais de l’extérieur on percevait des signes de mécontentement des mutins qui avaient envahi les lieux.

Finalement un accord a été trouvé en fin de soirée. Le gouvernement procédera au paiement de leur prime dès lundi. Cinq millions de francs CFA leur seront versés dans un premier temps et un million chaque mois afin de pouvoir solder les 12 millions de francs CFA.

Cela faisait plusieurs jours que les populations de Bouaké étaient confrontées à la mutinerie des militaires. Ceux-ci paradaient dans la ville tirant des coups de feu en l’air.

La deuxième plus grande ville de Côte d’Ivoire tournait donc au ralenti ; écoles et commerces étaient très souvent fermés. Une situation que les habitants de Bouaké supportaient de plus en plus mal.

Selon un journaliste afro-américain, la décision du gouvernement américain d’alléger les sanctions économiques contre le Soudan est en effet une récompense à Khartoum pour son changement de cap et l’amélioration de ses relations avec l’Occident et l’Arabie saoudite.

Abayomi Azikiwe, journaliste afro-américain installé à Détroit aux États-Unis a déclaré, dans une interview à Press TV, que la politique étrangère du gouvernement soudanais s’orientait de plus en plus vers l’Arabie saoudite.

« Cela a été évident lorsque le Soudan a participé dans la guerre lancée par l’Arabie saoudite contre le Yémen. Il a même interrompu ses relations diplomatiques avec la RII », a-t-il dit.

Dans l’optique de ce journaliste américain, la levée de certaines sanctions économiques par Washington constitue une récompense pour le Soudan qui a tendance à se rapprocher de l’Occident.

Le président américain Barack Obama a annoncé, vendredi 13 janvier, la levée d’une partie des sanctions visant le gouvernement soudanais.

Obama qui passe ses derniers jours à la Maison Blanche a écrit une lettre au Congrès dans laquelle il a dit que les actions positives de Khartoum, tout au long de ces six derniers mois, l’avaient amené à lever une partie des sanctions économiques américaines contre le Soudan.

En septembre dernier, Israël avait appelé les États-Unis et les pays européens à essayer de renforcer leurs relations avec le Soudan.

Des déplacés au Darfour. ©AFP

Washington a sanctionné Khartoum en 1997 et l’accuse de soutien aux groupes terroristes et l’a mis sur la liste noire des pays protecteurs du terrorisme en 1993.

Les États-Unis accusent également le président soudanais Omar el-Béchir de crises de guerre au Darfour. 

La philosophie est-elle "dégénérescence"? Au Maroc, le ministère de l'Education tente d'éteindre une polémique qui a suivi la publication de nouveaux manuels scolaires d'éducation islamique.Mi-décembre, l'un de ces manuels du secondaire a suscité l'ire de nombreux professeurs de philosophie.

L'ouvrage en question cite un texte d'un clerc musulman du 13e siècle, Ibn Salah Achahzouri, qui y dépeint la philosophie comme "contraire à l'islam" et comme "l'essence de la dégénérescence".
Tempête et indignation chez les professeurs de la noble matière: l'Association marocaine des enseignants de philosophie (Amep) pointe du doigt le caractère "dangereux" du manuel et appelle même à son retrait. Plusieurs sit-in sont organisés.
Le ministère refuse toute idée de retrait de l'ouvrage, l'un de ses responsables déplore un "procès d'intention", pointant un extrait "sorti de son contexte".

L'incompréhension est d'autant plus grande chez les professeurs de philosophie que le manuel a été réédité fin octobre dans le cadre d'une vaste réforme de l'enseignement islamique voulue par le roi Mohammed VI.

Cette réforme, qui a abouti à la révision d'une trentaine d'ouvrages, vise à promouvoir "un islam tolérant".

L'éducation islamique est une matière à part dans le cursus scolaire marocain, de l'école primaire jusqu'au baccalauréat. Mais son enseignement donne lieu depuis des années à des passes d'armes récurrentes entre "modernistes" d'un côté, conservateurs et salafistes de l'autre.

- 'Scénario pédagogique' -
Dans un nouvel argumentaire rendu public mercredi, le ministère de l'Education est revenu sur la polémique, et souligne que la citation incriminée s'inscrit dans un "scénario pédagogique".

L'objectif est d'"amener les élèves à faire des comparaisons entre les contenus de cette position décrite comme violente et des positions différentes qui considèrent que la raison et la pensée sont des outils pour aboutir à la vérité", explique le ministère.

Au passage, il regrette les "préjugés" et critiques des professeurs de philosophie qui "occultent de manière totale les changements profonds" sur le curriculum de l'éducation islamique.

Le ministère affirme par ailleurs que le Maroc est l'un des rares pays à enseigner la philosophie "comme discipline obligatoire pour tous les élèves, pendant les trois années du cycle secondaire".

Les relations entre la philosophie et le pouvoir marocain ont longtemps été difficiles.

Dans les années 1970-1980, sous le règne du roi Hassan II, le pouvoir avait un moment interdit l'enseignement de la philosophie et combattu la sociologie, encourageant les courants islamistes pour contrer les idéologies de gauche, dont certains opposants au régime étaient alors imprégnés.

- 'Souffle wahhabite' -
Mais pour l'Amep --dont il est difficile de juger de l'exacte représentativité-- et son président, Abdelkrim Safir, inspecteur principal de philosophie, "c'est tout le souffle de l'idéologie wahhabite qu'on retrouve dans les manuels d'éducation islamique" dans le secondaire, en référence à une version rigoriste de l'islam sunnite, soutenue par l'Arabie saoudite.

"Les explications du ministère ne suffisent pas, le problème est bien plus grand qu'une citation", juge M. Safir. "Au lieu d'enseigner aux élèves la production philosophique moderne, on vient la dévaloriser".

"Avec la réforme, on s'attendait par exemple à ce que l'éducation islamique soit baptisée éducation religieuse. Mais il n'y a eu aucune évolution", selon le président de l'Amep.
 
L'ambassadeur d'Israël à l'ONU a exprimé vendredi sa crainte d'une nouvelle résolution du Conseil de sécurité en défaveur de son régime après la conférence de Paris sur le Proche-Orient.L'ambassadeur de Suède à l'ONU Olog Skoog, qui préside en janvier le Conseil, a cependant indiqué ne pas avoir eu connaissance d'un texte en préparation.

"Nous assistons à une tentative de promouvoir une initiative de dernière minute avant la prise de fonction de la nouvelle administration américaine", a affirmé dans un communiqué l'ambassadeur israélien Danny Danon.

"Les partisans des Palestiniens cherchent d'autres mesures anti-israéliennes au Conseil de sécurité", a-t-il ajouté.

Le Conseil de sécurité doit se réunir mardi pour discuter du conflit israélo-palestinien, pour la première fois depuis l'adoption d'une résolution condamnant les colonies israéliennes et qui avait provoqué la fureur d'Israël.
 

Accueillis par des centaines de milliers de personnes se sont rassemblées à l'Université de Téhéran et ses environs, au moment où le guide suprême iranien a prié pour l'âme de l'ayatollah Rafsanjani.

Le président iranien, HIWM Hassan Rohani ; Le président du Parlement, Ali Larijani ; et le président de la justice iranienne, l'ayatollah Sadeq Amoli Larijani ; entre autres hauts fonctionnaires et des personnalités iraniennes participant à la cérémonie.

La cérémonie est marquée par la participation de personnalités et de délégations étrangères, y compris une délégation représentant du Mouvement de la Résistance islamique au Liban (Hezbollah) et président du Conseil suprême islamique d'Irak, Seyed Ammar Hakim, entre autres.

Les centaines de milliers d'Iraniens pleurent la perte de ce grand poids politique de la République islamique d'Iran ont exprimé leur soutien pour le leader et l'unité du pays.

La mort de l'ayatollah Hashemi Rafsanjani est un irrécupérables pour la révolution islamique en Iran vide. Cette grande figure faisait partie de la première génération de combattants révolutionnaires dans le pays.

 

Le manuscrit du Coran attribué à l’Imam Ali (as), est le plus ancien Coran du trésor de l’Astan Qods-e Razavi qui devrait être bientôt publié par les éditions de cet organisme avec l’aide de Tayar Alati Ghulach, originaire de Turquie et spécialiste des manuscrits coraniques, réputé chez les musulmans et les non musulmans.
C’est la première fois que Tayar Alati Ghulach participe à un projet de la République islamique d’Iran.
Tayar Alati Ghulach a déclaré qu’il avait décidé de participer à ce projet parce que ce Coran était relativement complet et parce qu’il était attribué à l’Imam Ali (as). Les études précises qu’il a faites ont montré que depuis la révélation jusqu’à aujourd’hui, aucun signe ou lettre du Coran n’avait été changé.

La preuve scientifique de l’absence de falsification du Coran
Tayar Alati Ghulach est né en 1938 dans un village près de Kastamonu, et a mémorisé le Coran dans sa totalité à l’âge de 9 ans. Il a poursuivi ses études religieuses au Centre islamique d’Istanbul jusqu’en 1963. Jusqu’en 1971, Tayar Alati Ghulach a enseigné au Centre islamique de Kayseri et a obtenu un doctorat sur la science du commentaire à l’université de Bagdad.
Entre autre, il a exercé les fonctions de directeur du centre Diyanat entre 1978 et 1986, et de directeur de l’enseignement religieux. Il a aussi créé le centre des dons islamiques, le centre de recherches islamiques, l’encyclopédie islamique de Turquie, et enregistré une lecture intégrale du Coran. Il a participé à l’élaboration de livres spécialisés sur la lecture et les lecteurs coraniques, publiés en 1975 et 1995. Il a eu la responsabilité du centre de l’enseignement et de la culture en 1995, et du comité sportif du parlement de Turquie en 2002, et fait partie des fondateurs du parti pour la justice et le progrès.
Tayar Alati Ghulach fut influencé dans sa jeunesse par deux chercheurs, Mohammad Abdoul al-Azim al-Zarghani de l’université d’Al Azhar, et Mohammad Hamidullah, chercheur indien et traducteur du Coran en français.

La preuve scientifique de l’absence de falsification du Coran

 

À droite Tayar Alati Ghulach à l’époque de son poste de vice président de la Diyanat

Al-Zarghani dans un de ses  livres, parlait de l’existence d’un Coran attribué au second calife, à la mosquée Imam Hossein (as), en écriture coufique, ce qui poussa Tayar Alati Ghulach à faire un voyage au Caire en 1969, pour voir ce livre qui est actuellement conservé à la bibliothèque centrale des manuscrits islamiques.  
Ce voyage au Caire fut un échec mais lors d’un deuxième voyage, Tayar Alati Ghulach réussit à voir ce Coran et déclara que ce Coran en peaux de biches pesait au moins 80kg.
«Malheureusement, à partir de 1960, à cause de mes activités politiques, je n’ai pas eu beaucoup de temps pour ces recherches », disait-il.

La preuve scientifique de l’absence de falsification du Coran

Le Mus'haf attribué à Uthman et maintenu à la mosquée Imam Hussein (as) au Caire
En 2000, les recherches sur le Coran attribué à l’Imam Ali (as) datant du premier et deuxième siècle de l’hégire, dont certaines pages sont conservées dans différents musées dans le monde, ont été confiées à Tayar Alati Ghulach. Le Coran attribué à Uthman conservé à la mosquée Imam Hossein (as) du Caire, et d’autres manuscrits ont été soigneusement scannés et imprimés à ses soins. Tayar Alati Ghulach a aussi fait des recherches sur sept manuscrits coraniques dont trois attribués au second calife conservé au Palais de Topkapi à Istanbul, au musée des vestiges turcs et islamiques, et à la mosquée Imam Hossein (as), publiés en 2007 et 2009, sur un Coran attribué à l’Imam Ali (as) conservé au musée de Sanaa et publié en 2011, sur le Coran du musée des arts islamiques du Caire, publié en 2014, sur le Coran de la bibliothèque nationale de France publié en 2015, et sur le Coran de L’université de Tübingen publié en 2016.

La preuve scientifique de l’absence de falsification du Coran
L’objectif de Tayar Alati Ghulach dans toutes ces études, était de prouver scientifiquement l’absence de toute falsification dans le Coran.
lundi, 09 janvier 2017 23:29

ALLAH POUR LA SCTION DE TAWHID

« Dieu est le Créateur de toute chose.
Il est le gardien de tout ce qui existe.
Les clés des cieux de la terre Lui appartiennent ». (Coran 39,62-63).

« Nulle créature ne rampe sur terre,
sans que ce qui lui est nécessaire ne dépende de Dieu.
Il connaît sa demeure et son refuge ». (Coran 11,6).

Si le Créateur est éternel et perpétuel, Ses attributs doivent être, eux aussi, éternels et perpétuels. Il ne doit perdre aucun de Ses attributs, ni en acquérir d'autres. C'est ainsi que Ses attributs sont absolus. Peut-il exister plus d'un Créateur avec de tels attributs? Peut-il y avoir, par exemple, deux Créateurs d'une puissance absolue? Il suffit d'un moment de réflexion pour se rendre compte que cela n'est guère possible.

Le Coran résume cet argument dans les versets suivants:
« Dieu n'a auprès de Lui aucun fils,
et n'a aucune divinité à Ses côtés:
sinon, Chaque divinité aurait pris avec elle ce qu'elle avait créé,
et certaines d'entre elles se seraient élevées au-dessus des autres ». (Coran 23,91).
« Et pour quelle raison il y aurait sur la terre et dans les cieux autre chose que Lui?
S'il en était ainsi, la terre et les cieux iraient sûrement à leur perte ». (Coran 21,22).

lundi, 09 janvier 2017 23:25

ALLAH LE CREATEUR

Allah, Créateur de l'Univers, l’Éternel

La notion qui veut que Dieu se repose le septième jour, que Dieu ait combattu un de Ses soldats, que Dieu ait une attitude de conspiration et d'envie à l'égard de l'humanité, ou que Dieu se soit incarné dans un être humain, quel qu'il soit, ne peut être accepté d'un point de vue islamique.

Le Créateur doit avoir une nature différente de celle des choses qu'Il a créées, car s’il était de même nature que celles-ci, Il serait d'essence temporelle, et donc Lui-même créé par quelqu'un d'autre. Il s'ensuit qu'il n'a point d'égal. Si le Créateur n'est pas d'essence temporelle, il faut alors qu'il soit éternel. Mais s'Il est éternel, Il n'a pu être engendré par aucun principe, et si rien n'a présidé à sa venue, rien en dehors de Lui n'est à l'origine de Son existence, ce qui signifie qu'il est son propre principe. Et si la continuité de Son existence ne dépend de rien en dehors de Lui, cette existence ne peut avoir aucune limite. Le Créateur est ainsi éternel et perpétuel: "Il est le commencement et la fin".

Il se suffit à Lui-même, il subsiste par Lui-même ou bien, pour employer le terme coranique, Il est "Al-Qayyum". Le Créateur ne crée par uniquement dans le sens de faire que les choses soient, mais Il les protège également et les enlève à la vie temporelle, et il est la cause ultime de tout ce qui leur advient.

lundi, 09 janvier 2017 23:22

La notion de Dieu dans l'Islam


Allah, Le Dieu Unique

On sait que, dans chaque langue, il existe un ou plusieurs termes utilisés pour se référer à Dieu et, dans certains cas, à d'autres divinités. Ce n'est pas le cas pour Allah. En effet, Allah est le nom arabe spécifique du Seul Dieu. Ce mot n'a ni pluriel, ni genre. Ceci montre son caractère unique, notamment lorsqu'on le compare avec le mot "dieu", qui peut s'exprimer au pluriel -des dieux-, ou au féminin - déesses-. Il convient de noter qu'Allah est le nom qui désigne dieu en araméen, qui était la langue de jésus, et qui est une langue sémitique, comme la langue l'arabe.

Le seul vrai Dieu est un reflet de la notion que l'islam associe à Dieu. Pour un Musulman, Allah est le Tout-Puissant, Créateur et Soutien de l'univers, Il ne ressemble à rien et rien ne peut lui ressembler. Le Prophète Muhammad fut questionné par ses contemporains à propos d'Allah; la réponse lui fut dictée par Dieu Lui-même sous la forme d'une courte sourate que l'on trouve dans le  Coran et qui est considérée comme l'essence-même de l'unité monothéiste. Cette sourate dit:
Au nom de Dieu, le Clément, le Miséricordieux
Dis: « Lui, Dieu est Un !
Dieu !... l'Impénétrable !
Il n'engendre pas; Il n'est pas engendré;
nul n'est égal à Lui ! »

lundi, 09 janvier 2017 23:20

Allah, le Clément, le Miséricordieux

Certains non-musulmans prétendent que le Dieu de l'islam est différent de celui des chrétiens et des juifs et qu'Il est sévère et cruel, exigeant d'être pleinement obéi. Ils prétendent qu'Il n'est pas tendre ni bienveillant. Mais rien n'est plus faux que cette affirmation.
En effet, l'Islam nous enseigne qu'il n'existe qu'un seul Dieu pour tous les hommes et quelles que soient les langues qu'ils parlent. Comment donc les chrétiens et les juifs pourraient avoir un Dieu différent ?
Ensuite, il faut savoir que chacune des 114 sourates du Coran, à une exception près, commencent par le verset suivant: "Au nom de Dieu, le Clément, le Miséricordieux". Dans un des hadiths, le Prophète Muhammad nous a enseigné:

"Dieu est plus tendre et plus bienveillant qu'une mère envers son fils bien-aimé",

Cependant, Dieu est également Juste. C'est pourquoi les méchants et les pécheurs devront avoir leur part de châtiment, et les vertueux se verront accorder Ses dons et Sa grâce. En fait, la Clémence comme attribut divin se manifeste pleinement dans l'attribut de la Justice. Ceux qui souffrent tout au long de leur vie pour l'amour de Dieu et ceux qui oppriment et exploitent les autres ne doivent pas recevoir le même traitement de la part de leur Seigneur.

S'attendre à un traitement semblable reviendrait à nier la responsabilité de l'homme dans la vie future et, de ce fait, nier toute incitation à mener une vie morale et vertueuse en ce monde. Les versets coraniques ci-dessous sont clairs et sans ambiguïté à cet égard:
« Il y a auprès de leur Seigneur les jardins de Délice pour ceux qui le craignent.
Traiterons-nous ceux qui sont soumis à Dieu de la même manière que les criminels?
Qu'avez-vous? Que décidez-vous? » (68,34-36).