تقي زاده

تقي زاده

Le site d’information «Christian Examiner » a annoncé qu’un chirurgien chrétien, David Hangarford, et Safi Kaskas, commerçant musulman de New York, avaient publié une traduction originale du Coran qui propose en parallèle, les versets du Coran et de l’évangile.

Bien que des chrétiens risquent de s’opposer à cette traduction, les traducteurs estiment qu’elle peut diminuer les tensions entre les deux communautés.
David Hangarford a déclaré que quand il avait fait connaissance avec Safi Kaskas, il s’était rendu compte qu’ils avaient des objectifs communs et souhaitaient faire disparaitre les mauvais sentiments des Américains envers les musulmans. Ces deux chercheurs fidèles chacun à leur religion, ont réussi à extraire 3000 versets plus ou moins identiques, entre le Coran et l’évangile, et souhaitent ainsi améliorer les relations entre les chrétiens américains et les musulmans.

Le site web britannique Jane’s Defence s’est penché dans un article sur divers modèles de missiles "Zolfaqar", leurs caractéristiques techniques ainsi que la production d’autres missiles tels le nouveau missile baptisé « Khorramshahr ».

En allusion au dévoilement de nouveaux acquis des industries militaires iraniennes et du missile "Zolfaqar", Jane’s Defence a prétendu que l’Iran avait exposé au grand public divers modèles de ce missile.

« Le ministère iranien de la Défense a diffusé une vidéo sur un missile libellé « Zolfaqar », or ce missile différait à tous les points de vue avec la version exposée lors du défilé des forces armées iraniennes le 25 septembre dernier », a-t-il écrit.  

L’article fait allusion aux déclarations du ministre iranien de la Défense, Hossein Dehqan selon qui le missile "Zolfaqar" a une portée de 700 kilomètres.

 

« Ce nouveau missile "Zolfaqar" dévoilé pour la première fois, il y a cinq jours, est un nouveau modèle du missile Fateh-110 muni d’une ogive, composée de petites têtes », a-t-il ajouté.

Le site web britannique a ensuite évoqué la vidéo publiée par le ministère iranien de la Défense qui met en scène  "Zolfaqar" et sa capacité d'atteindre des objectifs situés à une basse altitude.

 

Le ministre iranien de la Défense a annoncé au Parlement la production de trois type de missiles optimisés « Sejjil », « Qadr » et « Khorramshahr » d'ici mars 2017.

« Sejjil » est un missile à moyenne portée à combustible solide dont la production a commence en 2009, après deux essais.

Lors d’une réunion à Manchester, le ministre britannique du Commerce international, Liam Fox, a considéré l’Iran comme un grand marché commercial.

Ce constat a été présenté en réponse à une question sur la perspective du commerce avec l’Iran dans la période post-sanctions, a-t-on appris de Tasnim.

« Certes, il y a encore des problèmes dans le commerce avec l'Iran, cependant il offre de bonnes opportunité », a ajouté Liam Fox en faisant allusion au problème qui persistent dans les interactions bancaires.

Après la mise en application de l’accord nucléaire, conclu entre l’Iran et les grandes puissances, certaines sanctions contre l’Iran ont été levées aplanissant ainsi le terrain aux relations commerciales plus larges. Cependant les obstacles bancaires persistent toujours.

Les menaces proférées par les États-Unis ont amené les compagnies européennes à être prudentes quant au rétablissement de leurs relations avec l’Iran. Elles craignent de rencontrer à l’avenir des difficultés dans le cadre des sanctions américaines contre l’Iran qui sont toujours maintenues.  

L'Iran respecte "à la lettre" les limites fixées par l'accord de Vienne de juillet 2015 sur ses stocks d'uranium et d'eau lourde, selon le directeur général de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA), cité samedi par Le Monde.

En échange d'une levée des sanctions internationales, Téhéran s'est engagé l'an dernier à maintenir son stock d'uranium enrichi à 3,67% en deçà de 300 kilos et son stock d'eau lourde, un produit non radioactif, sous le seuil de 130 tonnes.

"Cet accord est mis en œuvre depuis janvier sans problème particulier", déclare Yukiya Amano, directeur de l'Agence internationale de l'énergie nucléaire dans Le Monde. "Je peux certifier que Téhéran respecte ses engagements à la lettre", dit-il.

"Les Iraniens font ce qu'ils ont promis à la communauté internationale", conclut Yukiya Amano, confirmant la teneur d'un rapport confidentiel de l'AIEA révélé par Reuters début septembre.

L'accord de Vienne a été conclu entre Téhéran et le groupe 5+1, constitué des cinq membres permanents du Conseil de sécurité des Nations unies (Chine, Etats-Unis, France, Royaume-Uni, Russie) et de l'Allemagne.

La Russie avertit que toute « agression directe » des États-Unis contre l’armée et le gouvernement syriens aboutirait à un «glissement tectonique» au Moyen-Orient.

"Si les États-Unis entament une campagne militaire contre le gouvernement syrien, le pays ne sera que plus «fracturé», a fait savoir samedi 1er octobre la porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, Maria Zakharova.

«En cas d’agression directe des États-Unis contre Damas et l’armée syrienne, il y aura des glissements affreux et tectoniques non seulement sur le territoire syrien mais dans toute la région», a déclaré Maria Zakharova, citée par Russia Today, alors qu’elle s’exprimait sur l’importance du dialogue et de la résolution pacifique du conflit.

«Un changement de régime aboutira à un vacuum politique, qui sera rempli immédiatement par des représentants de l’opposition dite «modérée» mais qui, à vrai dire, ne sont que des terroristes, loin d’être modérés, des terroristes de tous genres contre qui il sera impossible de lutter», a-t-elle poursuivi.

La situation qui semblait s’améliorer un peu à la mi-septembre avec l’instauration, le 12 septembre, d’une trêve négociée entre Moscou et Washington, s’est détériorée. Le 17 septembre, la coalition occidentale, dirigée par les États-Unis, a bombardée des positions stratégiques de l’armée gouvernementale syrienne près de la ville de Deir ez-Zor. Les terroristes ont lancé leur offensive juste après cette frappe.

Pour s’excuser, les Américains reconnaissent qu’ils se sont trompés et que ces frappes devaient «viser des positions de Daech».

Les frappes de la coalition occidentale dirigée ont tué 83 soldats syriens. La Russie a accusé le Pentagone d’avoir fourni de l’aide aux terroristes et exigé une enquête. Mais jusqu'à présent, aucune mesure n'a été prise dans ce sens.

Quelques jours auparavant, le site d’information Middle East Eye, citant une source proche des terroristes en Syrie, a rapporté que les États-Unis avaient l’intention d’empêcher la libération d’Alep par les forces gouvernementales.

"Si l'Occident ne respecte pas ses engagements, notre reprise ne serait pas à son état précédent, mais un état qui serait très différent de la façon dont il l'habitude d'être avant que le Plan d'action global conjoint (JCPOA, pour leur sigle en anglais) ", a déclaré le chef de l'Organisation de l'énergie atomique d'Iran (AEOI), Ali Akbar Salehi, qui a utilisé l'acronyme du plan d'action global conjoint, ou tout simplement d'étanchéité pacte nucléaire en Juillet ici à 2015 entre Téhéran et groupe 5 + 1.

Cet accord est entré en vigueur le 16 Janvier de cette année et a appelé à la levée de toutes les sanctions imposées à l'Iran nucléaire. En retour, l'Iran imposerait des limitations sur ses activités nucléaires. Bien que les surveillants ont confirmé que l'Iran a rempli ses obligations en vertu du pacte, Téhéran affirme que la contrepartie n'a pas encore fait pleinement.

"Apparemment, les États-Unis dit qu'il agit en conformité avec la JCPOA, mais dans les coulisses, effraie les banques en leur disant que la moindre erreur pourrait conduire à tel ou tel résultat", a déclaré Salehi dans une interview sur jeudi à la télévision nationale.

Le même jour, le jeudi, le secrétaire du Conseil suprême de sécurité nationale de l'Iran, Ali Shamkhani a déclaré que l'Iran sera forcé de prendre une décision grave si les Etats-Unis toujours revenir sur leur part de l'accord nucléaire.

Le mois dernier, l'Iran a présenté le G5 + 1 (Etats-Unis, Royaume-Uni, la France, la Russie et la Chine, plus l'Allemagne) une liste des cas de sabotage de Washington, tels que qui n'a pas été vendu aux avions Iran accord, la question des visas ou des difficultés d'émission sont créés à l'Iran dans le secteur bancaire et financier.

La République islamique d'Iran a averti que renverser toutes les restrictions sur son programme nucléaire avant une éventuelle violation de ses droits nucléaires. Chef de Soi de la Révolution islamique d'Iran, l'ayatollah Seyed Ali Khamenei, a averti que si Washington rompt l'accord, l'Iran "brûler".

L'adolescente birmane a le visage couvert de cicatrices, traces des coups de chaînes de vélo infligés par sa famille adoptive. Une semaine après le scandale des deux adolescentes réduites en esclavage, des affaires négligées jusqu'ici par les autorités émergent.
 
Than Than Ei avait cinq ans quand sa mère est morte et neuf quand son père alcoolique l'a fait adopter par une famille de Rangoun, la capitale économique birmane.

A aujourd'hui 16 ans, Than Than Ei a le visage, les jambes et le crâne zébré de cicatrices, des traces de coups de chaîne de vélo ou de ciseaux raconte-t-elle. Un calvaire qui a duré cinq ans.

"Comme ils ne me donnaient pas à manger, je mangeais sans leur permission. Ils m'accusaient de voler de la nourriture et m'écrasaient les doigts avec des pinces", explique-t-elle à l'AFP, dans la modeste maison de son oncle à Dagon, banlieue de Rangoun.

Elle a finalement réussi à échapper à ses bourreaux après plusieurs vaines tentatives des voisins d'alerter les autorités locales sur ce cas de maltraitance dans cette famille influente du quartier.

Elle a été recueillie par son oncle, Myo Oo, qui a porté plainte contre la famille en question en juillet 2015 pour "tentative de meurtre".

Une personne a été arrêtée, mais l'affaire a ensuite été enterrée, jusqu'à la semaine dernière et la mise au jour d'un scandale similaire concernant deux adolescentes qui a fait la Une des journaux.

Une révélation qui par ricochet, a fait bouger l'affaire de Than Than Ei: trois autres membres de la famille tortionnaire ont soudain été arrêtés par la police.

"Si les autorités nous avaient aidés comme ça depuis le début, notre affaire n'aurait pas tant traîné en longueur", soupire son oncle, qui se bat depuis plus d'un an pour faire reconnaître les sévices infligés à sa nièce.

La semaine dernière, l'affaire de deux adolescentes maltraitées elles aussi pendant cinq ans par la famille d'un tailleur à Rangoun a soudain mis l'opinion publique et le gouvernement de la prix Nobel de la Paix Aung San Suu Kyi face au phénomène de l'emploi des enfants dans le pays.

Avec une célérité rare, le procès de la famille du tailleur s'est ouvert cette semaine, avec six membres de sa famille devant répondre de l'accusation de "trafic d'êtres humains".

Les photos des deux jeunes filles, portant des cicatrices au visage elles aussi, avaient entraîné une réponse inédite au plus haut niveau, le président Htin Kyaw ordonnant lui-même l'ouverture d'une enquête.

Engagées comme domestique à 11 et 12 ans, les deux adolescentes ont en effet été exploitées, battues, à peine nourries, non payées et autorisées à dormir seulement quelques heures par nuit. Et leurs parents n'ont obtenu tout au long des années aucune aide de la police.

- Arbre cachant la forêt -
Selon les organisations de défense des droits de l'Homme, cette affaire est l'arbre qui cache la forêt: "nous allons découvrir de plus en plus de cas", non traités par la justice jusqu'ici, redoute Phil Robertson, de l'ONG Human Rights Watch.

"La Birmanie est un des pires pays pour le trafic d'êtres humains", rappelle Matthew Smith, de Fortify Rights - à la 7e plus mauvaise place au monde, selon la société d'analyse Verisk Maplecroft.
La 1ère édition des compétitions internationales du Saint Coran de Croatie a pris fin alors que les représentants de la République Islamique d'Iran se sont consacré la 1ère et la 4ère places de ces compétitions, organisées en disciplines de lecture et de mémorisation.
Ces compétitions coraniques ont été organisées avec la participation des représentants de 54 pays à la mosquée du Centre Islamique de Zagreb et les cérémonies de clôture ont eu lieu samedi soir.
Hadi Mowahed, représentant de l'Iran à ces compétitions en discipline de lecture a présenté sa lecture samedi à midi et a réussi à se consacrer le premier rang de ces compétitions.
De même Reza Nejadtabrizi qui a participé à ces compétitions en discipline de la mémorisation, a obtenu, malgré son excellente performance, le 4e rang des compétitions.
Ahmad Abolghassemi, arbitre iranien faisait partie du jury de ces compétitions.
Ces compétitions ont été organisées en discipline de lecture et en discipline de la mémorisation de la totalité du Saint Coran, de 15 parties du Coran pour les jeunes et de 5 parties pour les adolescents.
Les filles avaient participé à ces compétitions en la mémorisation de 5 parties du Saint Coran.
Les compétitions coraniques de Croatie étaient organisées au niveau régional pour les représentants des pays balkaniques, mais cette année dans le cadre du centième anniversaire de la reconnaissance de l'islam en Croatie, elles ont été organisées pour la 1ère fois au niveau international.
vendredi, 30 septembre 2016 13:07

Irak: explosion terroriste à Bagdad

En Irak, une voiture piégée a explosé, vendredi 30 septembre, dans le district de Madaen.

Un terroriste a fait exploser, vendredi à midi, sa voiture piégée dans le district de Madaen, sud de Bagdad.

Sept civils ont été tués et blessés.

Mardi à midi, trois explosions ont secoué l’est et le sud de Bagdad, tuant une vingtaine de personnes et blessant une quarantaine d’autres.