تقي زاده

تقي زاده

Plus de 200 parlementaires de 12 pays ont demandé à leur gouvernement d'interdire les ventes d'armes à Israël, en invoquant la "grave violation du droit international" commise par le régime d'occupation lors de sa guerre contre Gaza.

"Nous savons que des armes meurtrières et leurs pièces, fabriquées ou expédiées via nos pays, contribuent actuellement à l'assaut israélien contre la Palestine, qui a coûté la vie à plus de 30 000 personnes à Gaza et en Cisjordanie", ont-ils déclaré dans une lettre rédigée par Progressive International, un réseau de législateurs et d'activistes socialistes qui se consacrent à la justice internationale.

Les hommes politiques ont souligné qu'un embargo sur les armes est devenu "une exigence légale", en particulier après que la Cour internationale de justice a ordonné à Israël de veiller à ce que ses forces ne commettent plus de génocide.

Des images circulant sur les réseaux sociaux montrent d'anciens militaires américains brûlant leurs uniformes en hommage à l'aviateur américain récemment décédé après s'être immolé par le feu en signe de protestation contre le soutien total de son pays à la guerre génocidaire en cours du régime israélien contre la bande de Gaza.

Lors d'une veillée commémorative à la mémoire d'Aaron Bushnell dans l'Oregon mercredi soir, des vétérans américains se sont livrés à un acte d'hommage poignant en brûlant leurs uniformes militaires dans une poubelle en feu. Ce geste symbolique visait non seulement à honorer le défunt aviateur américain, mais aussi à exprimer un profond rejet de ce qu'ils perçoivent comme une complicité américaine dans le génocide en cours contre les Palestiniens à Gaza .

L'un d'entre eux est vu à plusieurs reprises attisant les flammes, tout en scandant le slogan "Souvenez-vous d'Aaron Bushnell, il n'est pas seul".

La diplomatie française dénonce vivement le récent crime des troupes israéliennes qui ont tiré sur une foule lors de la distribution de nourriture dans la ville de Gaza, hier jeudi.

Le Quai d'Orsay a vivement dénoncé les récents tirs israéliens sur une foule palestinienne affamée qui courait pour retirer de la nourriture d'un convoi d'aide à Gaza et a appelé à un cessez-le-feu immédiat dans la bande assiégée de Gaza.

L'ambassadeur palestinien auprès de l'ONU a appelé jeudi le Conseil de sécurité de l'ONU à condamner la mort de plus de 100 personnes à Gaza après que les forces israéliennes ont ouvert le feu sur des Palestiniens qui se précipitaient pour obtenir de l'aide alimentaire.

« Le Conseil de sécurité devrait dire que ça suffit », a réitéré jeudi Riyad Mansour aux journalistes avant une réunion à huis clos de l'ONU, qui s'est tenue à la demande de l'Algérie.

A la demande de l'Algérie, le Conseil de sécurité s'est réuni jeudi après-midi à huis-clos pour discuter des événements survenus plus tôt dans la journée dans le nord de Gaza. Des tirs israéliens sur une foule affamée pendant une distribution d'aide humanitaire ont fait plus de 112 morts et 760 blessés selon le ministère palestinien de la Santé à Gaza.

« Ce massacre scandaleux témoigne du fait que tant que le Conseil de sécurité est paralysé et que des vetos sont émis, cela coûte la vie au peuple palestinien », a dénoncé Mansour.

 

Ou en d'autres termes, est-il possible qu'un homme puisse vivre plusieurs siècles, comme ce grand Guide dont on attend qu'il change le monde, et qui est censé être âgé de plus de 1140 ans, c'est-à-dire 14 fois plus âgé qu'un homme ordinaire qui traverse toutes les phases normales de la vie, de l'enfance à la vieillesse?

Le mot possibilité peut signifier ici soit une possibilité pratique (appliquée), soit une possibilité scientifique, soit une possibilité logique ou rationnelle. Par possibilité pratique, j'entends: ce qui est réalisable pour des gens comme vous et moi ou pour tout homme ordinaire comme nous. Ainsi voyager à travers l'Océan, atteindre le fond de la mer, monter jusqu'à la lune... tout cela est devenu chose effectivement praticable, car il y a des gens qui le font réellement, d'une façon ou d'une autre.

Par possibilité scientifique, j'entends les choses que des gens, comme vous et moi, ne pourraient pas mettre en application par les moyens dont dispose l'humanité contemporaine, mais dont la possibilité de réalisation dans certaines conditions et par des moyens spéciaux - ne peut être écartée par la science et ses orientations changeantes.

Ainsi, rien dans la science n'autorise de récuser la possibilité pour l'homme de monter vers la planète Vénus. Au contraire, les indices scientifiques actuels militent en faveur d' une telle éventualité, bien qu'un exploit de ce genre ne soit pas à la portée de tout le monde. Car, en fait, la différence entre l'ascension vers la Lune et l'ascension vers Vénus n'est qu'une question de degré, et ne représente que l'aplanissement de quelques difficultés supplémentaires, dues au supplément de distance entre la première et la seconde planète. Donc atteindre à Vénus est possible scientifiquement, bien que ce ne le soit pas effectivement.

En revanche, atteindre le Soleil, en plein ciel, n'est pas possible scientifiquement, c'est-à-dire que la science n'a pas l'espoir d'y parvenir, puisqu'on ne peut concevoir scientifiquement ni expérimentale-ment la possibilité de fabriquer la cuirasse protectrice, capable de résister à la chaleur du Soleil qui représente une fournaise parvenue au plus haut degré que l'homme puisse imaginer.

Par possibilité logique ou philosophique, j'entends celle que la raison ne peut récuser, selon les lois qu'elle perçoit à priori. Ainsi on ne saurait diviser logiquement trois oranges en deux parties à la fois égales et sans fraction, car la raison perçoit préalablement à toute expérience que le nombre trois est impair et non pas pair, et qu'il ne peut être divisé en deux parties égales, une telle division nécessitant que le nombre soit pair; autrement ce nombre serait à la fois pair et impair, ce qui est contradictoire; or la contradiction est logiquement impossible.

En revanche, il n'est pas impossible, selon la logique, que l'homme puisse traverser le feu ou monter jusqu'au Soleil sans se faire brûler par la chaleur, car il n'y a pas de contradiction dans la supposition que la chaleur ne passe pas du corps le plus chaud vers le corps le moins chaud; alors que cette supposition est contraire à l'expérience, laquelle a démontré la transmissibilité de chaleur du corps le plus chaud vers le corps le moins chaud, jusqu'à ce que les deux corps deviennent d'une température égale.

De ce qui précède, on peut conclure que la sphère de la possibilité logique est plus large que celle de la possibilité scientifique et celle-ci est à son tour plus large que celle de la possibilité pratique.

En ce qui concerne la possibilité d'une longévité s'étendant sur plusieurs milliers d'années, elle est sans doute logiquement concevable, car du point de vue rationnel abstrait, elle n'est pas contradiction, étant donné que la vie, en tant que concept, ne comporte pas une mort rapide, et cela est indiscutable.

De même, il est indiscutable que cette longue vie n'est pas possible sur le plan pratique, ni ne saurait être identifiée à la possibilité de descendre au fond de la mer ou de monter sur la lune; car la science, au stade où elle se trouve actuellement, et par les moyens et les instruments dont elle dispose effectivement jusqu'à présent, ne peut prolonger la vie de l'homme de plusieurs centaines d'années. La preuve en est que les gens les plus attachés à la vie et les plus qualifiés pour se servir des possibilités de la science, ne peuvent jouir d' une vie plus longue que d' habitude.

Quant à la possibilité scientifique d'une telle longévité, rien dans la science ne permet de la refuser théoriquement. En fait il s'agit là d'un problème en rapport avec la qualité physiologique du phénomène de la sénilité et de la vieillesse chez l'homme: ce phénomène traduit-il une loi naturelle qui impose aux tissus et aux cellules de l'homme une sénescence progressive, et une régression de fonctionnement, une fois qu'ils arrivent au terme de leur développement maximal, qui mène à un arrêt total de toute activité, même si on les mettait à l'abri de toute influence extérieure? Ou bien cette sénescence et cette régression dans les tissus et les cellules du corps, découlent-elles d'une lutte qui oppose celui-ci à des facteurs extérieurs, tels que les microbes ou l'empoisonnement qui l'atteindraient à la suite d'une nutrition excessive, d'un travail excessif... ou de tout autre facteur?

On a là une question que la science se pose aujourd'hui et à laquelle elle se propose d'apporter des réponses sérieuses et nombreuses. Si nous nous en tenons au point de vue scientifique qui tend à interpréter vieillesse et sénilité comme le résultat d'une lutte ou d'un contact entre le corps et des facteurs extérieurs donnés, nous devons admettre qu'il est possible théoriquement que les tissus du corps puissent continuer à vivre, à survivre au phénomène de la vieillesse, et à le vaincre définitivement, si l'on parvenait à les mettre à l'abri de ces facteurs.

Et si nous prenons en considération un autre point de vue scientifique, celui qui a tendance à supposer que la vieillesse est une loi naturelle inhérente aux cellules et aux tissus vivants - c'est-à-dire que ceux-ci portent substantiellement le germe de leur périssement inévitable qui passe par la phase de la vieillesse et de la sénilité pour finir dans la mort - rien ne nous empêche d'exclure l'inflexibilité de cette loi. Si nous supposons que cette loi est cohérente, nous pensons du même coup qu'elle est sûrement flexible. Car aussi bien dans notre vie ordinaire qu'à travers les observations des savants dans les laboratoires scientifiques, on peut remarquer que la vieillesse, en tant que phénomène physiologique, est atemporel: elle peut survenir prématurément ou tardivement. Aussi n'est-il pas rare de voir un homme âgé possédant des membres souples et en état de jeunesse, comme les médecins l'affirment eux-mêmes. Les savants ont même pu profiter de la flexibilité de cette loi pour prolonger la vie de certains animaux des centaines de fois leur longévité ordinaire, en créant des conditions et des facteurs qui retardent l'effet de la loi de la vieillesse.

Il est donc établi par la science, que les effets de cette loi peuvent être scientifiquement retardés grâce à la création de conditions et de facteurs particuliers, bien que la science n'ait pu jusqu'à présent en faire l'application sur des êtres aussi complexes que l'homme. La différence entre la possibilité scientifique et l'application effective, traduit dans ce cas une différence de degré de difficulté entre l'application (de cette possibilité) sur l'homme et son application sur d'autres êtres vivants. Cela veut dire que sur le plan théorique, la science et ses orientations mobiles n'ont rien qui puisse permettre de récuser la possibilité de prolonger l'âge de l'homme, et ce aussi bien si nous interprétons la vieillesse comme étant le produit d'une lutte et de contacts entre les cellules humaines et des facteurs extérieurs, ou l'émanation d'une loi naturelle inhérente à la cellule elle-même, loi qui condamne celle-ci à s'acheminer vers l'anéantissement.

On peut donc conclure que la prolongation de la longévité humaine de plusieurs siècles est possible logiquement et scientifiquement, bien qu'elle ne le soit pas encore sur le plan de l'application, mais que l'orientation scientifique s'achemine vers la réalisation de cette dernière possibilité à long terme.

C'est à la lumière de ces données que nous abordons maintenant la question de l'âge d'al-Mahdî et l'étonnement et l'interrogation qu'elle soulève. Ayant démontré la possibilité scientifique et logique d'une telle longévité, ainsi que l'acheminement de la science vers la traduction progressive de cette possibilité théorique en une possibilité applicable et appliquée, il nous semble que l'étonnement n'a plus de raison d'être, sauf en ce qui concerne la difficulté d'admettre qu'al-Mahdî ait devancé la science en transformant la possibilité théorique en possibilité réelle, à travers sa propre personne et avant que la science n'atteigne le niveau requis pour pouvoir effectuer réellement cette transformation, car cela équivaudrait à dire que quelqu'un a devancé la science dans la découverte du cancer et de la méningite.

Si le problème réside dans la question de savoir comment l'Islam - qui a planifié cette longévité d'al-Mahdî - a pu devancer le mouvement scientifique en ce qui concerne cette transformation (de la possibilité théorique en possibilité réelle), la réponse est la suivante: l'Islam n'a pas devancé le mouvement scientifique seulement dans ce domaine, mais dans bien d'autres.

N'a-t-elle pas lancé des slogans, qui ont servi de plans d'action que la marche indépendante de l'humanité n'a pu concevoir que plusieurs siècles plus tard?

La Charî'ah (la législation islamique révélée), dans son ensemble, n'a-t-elle pas devancé de plusieurs siècles le mouvement de la science et du développement naturel de la pensée humaine?

N'avait-elle pas apporté des législations pleines de sagesse dont les secrets n'ont pu être saisis que depuis peu de temps? Le Message divin n'a-t-il pas dévoilé de secrets de l'Univers qui ne pouvaient effleurer l'esprit de personne, et que la science a fini par reconnaître? Si nous croyons à tous ces faits, pourquoi exclurions-nous que Dieu puisse devancer la science en ce qui concerne la longévité d'un homme, en l'occurrence al-Mahdî?

Il ne s'agit là que des manifestations de prescience que nous pouvons percevoir directement. On peut y ajouter d'autres cas que le Message divin nous informe. Ainsi celui-ci nous révèle que le Prophète fut transporté pendant une nuit, de la Mosquée Interdite1 à la Mosquée al-Aqçâ2!

Si nous voulons comprendre cet événement dans la cadre des lois naturelles, il traduit sûrement l'application de celles-ci plusieurs centaines d'années avant que la science n'ait pu y parvenir. Donc la même expérience divine qui a permis au Prophète de se déplacer si vite, bien avant que la science ne soit parvenue à un tel exploit, a permis également au dernier3 des Successeurs "Prédésignés" du Prophète, d'avoir une vie prolongée avant que la science ne mette en application cette possibilité.

Certes, cette longue vie que Dieu a accordée au Sauveur Attendu paraît extraordinaire jusqu'a aujourd'hui, par rapport à la réalité de la vie des gens et aux expériences des savants. Mais le rôle transformateur décisif auquel ce Sauveur est préparé n'est-il pas aussi extraordinaire en comparaison avec la vie familière et ordinaire, et les diverses évolutions historiques que l'humanité a vécues? N'est-il pas chargé justement de transformer le monde et de reconstruire sa structure de civilisation sur des principes du bon droit et de la justice? Pourquoi s'étonner du fait que la préparation de ce rôle extra-ordinaire soit accompagnée de certains phénomènes extraordinaires et inhabituels, tel que la longue vie du Sauveur Attendu? Si extraordinaire et inhabituel que puisse paraître ce phénomène (la longue vie d'al-Mahdî), il n'est guère plus étrange que le rôle extraordinaire lui-même, que le Sauveur doit jouer le Jour Promis.

Si nous admettons la possibilité de ce rôle grandiose, unique en son genre dans l'histoire de l'humanité, pourquoi n'admettrions-nous pas une longévité qui n'a pas de semblable dans notre vie ordinaire?

Je ne sais pas si c'est par pure coïncidence que les deux seuls hommes chargés de vider l'humanité de son contenu corrompu et de la reconstruire soient dotés d'une longévité sans commune mesure avec la nature? Le premier, c'est Noé qui a joué son rôle dans le passé de l'humanité et dont le Coran dit qu'il a vécu "mille moins cinquante ans" parmi son peuple, et qu'il a pu, grâce au déluge, reconstruire le monde. Le second, c'est al-Mahdî, qui a vécu jusqu'à présent plus de mille ans parmi son peuple, et qui devra jouer son rôle de Reconstructeur du monde, dans l'avenir de l'humanité, et le Jour Promis.

Pourquoi accepter Noé qui a vécu environ mille ans et refuser al-Mahdî?

Au nom Allah Le Miséricordieux Le plus Miséricordieux.

L’idée du Sauveur de la Fin des Temps provient-elle d’une religion particulière ou est-elle intrinsèque à la nature humaine ?

Presque toutes les religions ont promis la venue d’un Sauveur.

C'est  espérance de toute l'Humanité en un avenir heureux et en la parousie d'un Sauveur qui fera régner la justice partout dans le monde, et qui est partagée par presque toutes les religions.

En plus de l'Islam, le Christianisme, le Judaïsme et même les religions comme  hindoues,  le Bouddhisme et d'autres,  ont annoncé un tel avenir. En réalité cette promesse divine encourage les hommes et il est une réponse au besoin de l'Humanité en un avenir heureux.

Les religions divines n'ont pas voulu donner de vaines espérances aux peuples, elles ont révélé une réalité. Il existe une Vérité dans l'Histoire de l'Humanité, qui veut que le conflit entre le bien et le mal, se termine au profit de la vérité et que commence ainsi une vie authentique où la rivalité ne signifie pas une bataille, mais une course à la bonté. C'est une vérité commune à toutes les religions.

 

L'idée de Mahdi a une destination favorable, douce et agréable. La principale caractéristique de cette destination est la justice. La justice a toujours été une revendication générale de l'humanité depuis le premier jour jusqu'à aujourd'hui, et le restera jusqu'à la fin. Ces gens qui essaient de croire à la diversité, au changement et à l'évolution dans leurs principes et leur philosophie, ne peuvent pas nier le fait que l'humanité a eu certaines demandes dès le premier jour, dont la plus importante est la justice. L'homme aspire à la justice. Il n'a jamais renoncé à cette demande et finalement, cette demande sera satisfaite.

 

Les religions divines expriment des points de vue et des visions générales sur le monde, les êtres humains, l'origine de la création et la fin de la vie de l'humanité, en d'autres termes, sur l'origine des êtres humains et la résurrection, et une des parties de cette vision du monde est la destination ultime de l'humanité dans ce monde. Une vision du monde est un grand système qui constitue la base de toutes les pensées, des obligations et des règles des religions. La question de l'Au-delà et de l'autre monde est une question différente qui concerne le sort de l'homme dans l'Au-delà. Une des questions concerne la destination de l'humanité.

 

Ainsi l'idée" d'al-Mahdî - l'avènement d'un "Messie Annonciateur" de la fin des temps fait l'objet de la croyance unanime de toutes les écoles juridiques islamiques et même antérieure à la naissance de l'Islam,

 

« le calife rédempteur islamique [le Mahdi] incarne les aspirations de ses adeptes vers la restauration de la pureté de la foi, qui apportera une direction véridique et non corrompue à toute l'humanité, créant un ordre social juste et un monde libéré de l'oppression, où la Loi islamique renouvelée sera universelle ».

 

Lorsque la religion appuie ce sentiment psychologique général de l'avènement d'un jour où la terre sera couverte de justice et d'équité après qu'elle aura été pleine d'injustice et d' iniquité, elle lui confère une valeur objective et l'érige en une croyance ferme en l'avenir de l'humanité, croyance qui n'est pas seulement une source de consolation, mais également une source de force et d'impulsion intarissable, parce qu'elle est une lueur de lumière qui résiste au désespoir flambant dans le cœur de l'homme, malgré les ténèbres des drames et le gigantisme de l'injustice, car le jour promis montrera que la justice pourra affronter un monde imprégné d' injustice et d'iniquité et en ébranler les piliers afin de le reconstruire sur une nouvelle base, et que l'injustice, si tyrannique, si puissante et si étendue soit-elle, ne représente qu'une anomalie condamnée à disparaître.

Les religions divines n'ont pas voulu donner de vaines espérances aux peuples, elles ont révélé une réalité. Il existe une Vérité dans l'Histoire de l'Humanité, qui veut que le conflit entre le bien et le mal, se termine au profit de la vérité et que commence ainsi une vie authentique où la rivalité ne signifie pas une bataille, mais une course à la bonté. C'est une vérité commune à toutes les religions.

 

Si l'idée d' "al-Mahdî" est plus vieille que l'avènement de l'Islam et dépasse les limites de celui-ci, ses aspects détaillés que le message islamique a définis sont en revanche les plus aptes à satisfaire l'ensemble des aspirations liées à cette idée depuis l'aube de l'histoire, et les plus exaltants pour les sentiments des victimes d'injustice et des damnés de la terre tout au long de l' histoire. Car l'Islam a transformé l'idée du mystère en une réalité et l'a ramenée de l'avenir au présent.

 

Alors qu'elle n'était qu'une aspiration à un sauveur que ce bas-monde engendrera dans un avenir lointain et inconnu, l'Islam l'a transformée en une croyance à l'existence effective du sauveur qui aspire, comme tout le monde, au jour promis où toutes les conditions objectives seront réunies pour lui permettre de jouer son rôle déterminant.

 

Le Mahdi promis, sauveur de l'humanité, viendra.

 Dans les différentes religions qui gouvernent le monde telles que l'Hindouisme, le Bouddhisme, le Judaïsme, le Christianisme, le Zoroastrisme et l'Islam, existent des références à un personnage qui viendra comme le sauveur de l'humanité.

Presque toutes les religions ont promis la venue d’un Sauveur.

En plus de l'Islam, le Christianisme, le Judaïsme et même les religions hindoues, comme le Bouddhisme ou les religions du monde, les plus inconnues, ont annoncé un tel avenir. En réalité cette promesse divine encourage les hommes et est une réponse au besoin de l'Humanité en un avenir heureux.

Les promesses de la Bible et de l'Evangile sont conformes à l'idée islamique sur le Sauveur.

 

Judaïsme 

Le peuple juif hébreu, attend le Messie, le Machia'h .Selon la plupart des croyances relatives à ce sujet, la fin des jours se caractérise par la venue du  Mashiah(Messie), se déroule en plusieurs étapes, et s'achève sur le triomphe de Dieu et celui de son peuple, les enfants d'Israël.

Durant les Temps messianiques, qui marquent la fin de ce monde, règne un Roi issu de la lignée de  prophète David, qui sauve Israël de l'exil, et le conduit dans les voies de la Torah, que reconnaissent aussi les nations, ce qui conduit à la paix universelle.

Selon le Judaïsme le Machia'h conduira alors le monde entier à l'état de perfection, et amènera tous les hommes à servir Elohim d'un seul cœur. Judaïsme croît à la notion d'attendre chaque jour.

Le judaïsme réformé rejette l'idée d'un Messie qui dirigerait le monde, car  il croit ,aussi juste soit-il, il n'y aurait plus de véritable liberté de choix. 

Le prophète David dans son livre Zabur,  le prophète Daniel et le prophète Hayaguge annonce la venue du sauveur à la fin du temps.

 

Le Christianisme 

Le Nouveau Testament  indique qu’avec le second avènement du Christ, la fin commencera. Jésus a enseigné à ses disciples lors de son Ascension, qu’il reviendrait et qu’il jugerait les vivants et les morts, tel que l’affirment les chrétiens dans leur profession de foi.

Dans les évangiles  il existe 80 fois le mot de '' Fils de l'homme '' donc 30 fois ça correspond à Jésus as, mais 50 fois , d'une deuxième personne.

Jésus lui-même a annoncé la venue de quelqu'un qui viendra après lui pour achever et accomplir les choses.

Dans un texte de l’évangile de Matthieu  chapitre 24, Jésus as parle de son retour dans la gloire, à la fin du monde, il parle de FILS DE L'HOMME. (24:27,30,35,36-- 25:31,32)

24:27, En effet, comme l’éclair part de l’orient et brille jusqu’à l’occident, ainsi sera la venue du Fils de l’homme.

24:30,  Alors paraîtra dans le ciel le signe du Fils de l’homme ; alors toutes les tribus de la terre se frapperont la poitrine et verront le Fils de l’homme venir sur les nuées du ciel, avec puissance et grande gloire.

Chapitre25

31 « Quand le Fils de l’homme viendra dans sa gloire, et tous les anges avec lui, alors il siégera sur son trône de gloire.

32 Toutes les nations seront rassemblées devant lui ; il séparera les hommes les uns des autres, comme le berger sépare les brebis des boucs.

le Nouveau Testament mentionne la venue après lui du "Paraclet" [terme du grec ancien signifiant : Consolateur, intercesseur, défenseur, avocat, assistant].

Jean XIV, 16 « et je prierai le Père et il vous donnera un autre Paraclet qui soit pour toujours avec vous. »

Jean XIV, 26 « Mais le Paraclet, l’Esprit Saint, que le Père enverra en mon nom, vous enseignera tout et vous fera souvenir de tout ce que je vous ai dit. »

Jean XV, 26 « Quand viendra le Paraclet, que je vous enverrai du Père, l’Esprit de vérité qui sort du Père, il témoignera de moi. »

Jean XVI, 7 « Pourtant je vous dis la vérité : mieux vaut pour vous que je m'en aille, car si je ne m'en vais pas, le Paraclet ne viendra pas à vous, mais si je m'en vais, je vous l'enverrai. »

Jean XVI, 13 « Quand l'Esprit de vérité viendra, il vous conduira à toute la vérité ; car il ne parlera pas de lui-même, mais il dira tout ce qu'il entend et vous annoncera l'avenir. »

 

Hindouiste 

Kaki ou kalkin  est le saveur attendu.  Il est le dernier avatar du dieu Vishnou, dans l'hindouisme. C'est un avatar « à venir » à la fin du temps de Kali Yuga inclus dans le Mahayuga général. D'après les textes religieux conservés dans les Puranas, Kalkî sera un homme à tête de cheval ou montera un cheval blanc et portera une épée flamboyante, pour combattre les danava (démons) tout en protégeant les brahmanes.

 

Bouddhisme 

Selon le Bouddhisme , le Nouveau Bouddha, s' appel le "Maitreya" [appelé aussi "Mirokou" dans la branche japonaise enseignée par l'école Shingon].

À la fin du temps,  un nouveau bouddha, appelé Maitreya, apparaîtra pour « remettre en route la roue du dharma », et le bouddhisme ressuscité indiquera de nouveau le chemin vers le nirvana.

   Bouddhisme dit: « Écoutez attentivement d'un seul cœur. Un homme dont l'âme est rayonnante, un homme dont l'esprit est complètement unifié, un homme qui l'emporte sur tous par la vertu - cet homme apparaîtra vraiment dans ce monde. Quand il prêchera les lois précieuses, tous les hommes seront totalement satisfaits, semblables à des assoiffés buvant les douces gouttes de pluie qui tombent du ciel. Et tout le monde sans exception atteindra la voie de la délivrance. » (Sutra du grand accomplissement de Maitreya).

Le Messie du SHINTOÏSME Japonais est attendu lui aussi.

 

Zoroastrisme

Pour les zoroastriens, à la fin des temps ou jour de la résurrection, le dernier messie ou Sauveur, le Soshyâns, viendra diriger l'humanité. Zamyad Yasht 19.11-12

Les mazdéens, attendent la venue de ce "Saoshyant"  ; pour eux, il est "le sauveur" ; ils attendent aussi le jugement dernier. Le monde sera purifié par le métal fondu et, après la victoire du bien sur le mal, un univers nouveau sera édifié. Il est prévu chez eux que "Le Saoshyant" soit là au douzième millenium zoroastrien [vers l'an 2000].

Selon le zoroastrisme, Soashyant est le dernier sauveur du monde. Le zoroastrisme annonce aussi qu’à la fin du monde se déroulera une guerre destructrice entre le Bien et le Mal, les forces du Mal agissant sous la direction d’Ahriman, mais que finalement, le règne du Bien adviendra grâce à la venue du Messie. Après cette transfiguration se déroulera le Jugement d’Ahourâ Mazdâ.

 

(Autres

Le PEUPLE HOPI [indiens établis en Arizona] attend, la venue de "Pahana", le frère blanc de vérité qui viendra de l'est. Il viendra semer la sagesse dans nos cœurs. Pahana doit venir pour apporter l'harmonie et la paix tant espérées entre les nations et maintenir l'équilibre précaire de la planète. 

Le Messie des NOMADES DE L'ASIE CENTRALE est appelé "le Burkhan blanc" ; il arrivera quand les peuples des steppes auront abandonné leurs Dieux Anciens, il viendra leur offrir, ainsi qu'à l'humanité entière, une renaissance spirituelle.)

 

Islam

En islam le sauveur attendu,  promis par Allah, est al-Mahdi, celui qui est guidé par Allah (swt).

L'idée" d'al-Mahdî - l'avènement d'un "Messie Annonciateur" de la fin des temps - fait l'objet de la croyance unanime de toutes les écoles juridiques islamiques,  dont plus d'une cinquantaine de hadiths confirment la venue. Il est attendu par l’ensemble des musulmans.

Il a le même nom que le messager de Dieu Muhammad (sawas).

Le Saint Prophète (saws) dit:*
*"Al Mahdi est celui qui remplira la terre de justice et d'équité quand elle débordera d'injustice et de tyrannie. Et par Celui qui m'a envoyé comme avertisseur et annonciateur de bonnes nouvelles, même s'il ne devait rester qu'un seul jour de la vie de ce monde,* *Allah le Tout-Puissant l'allongerait jusqu'à* *l'avènement de mon petit fils Mahdi, puis il fera redescendre Ruhullah 'Isa ibn Maryam (as), Jésus, qui priera derrière al Mahdi (ajf).*
*Alors la Terre sera illuminée par son éclat. Et son pouvoir s'étendra de l'est à l'ouest.."*

Selon les hadîths, le Mahdi est du descendance du Prophète (saws)،

قال الرسول الله

المهدی من عترتی من ولد فاطمه  

Le hadith du Prophète, sur lequel tous les musulmans tombent d’accord : << Le Mahdi est de ma progéniture>> se réfère à la même vérité.

Son nom n'est pas cité directement dans le Coran, mais plusieurs versets du coran parlent de ce sujet. Comme:

Sourate al-Qaçaç, 28: 5

Sourate al-Anbiyâ', 21: 105.

Sourate al-Tawbah, 9: 33

Sourate al-Zukhruf, 43: 61

Le Mahdi est, pour une grande partie des musulmans, une figure eschatologique qui viendra à la fin des temps pour restaurer la religion d'Islam  et la justice, après que l’iniquité se fut répandue dans le monde entier.

Dans tous les  écoles islamique sunnites et chiites , le sauveur s'Apple 

al-Mahdi, 

 al-Muntazar(attendu)

Al-Fatemi (du descendant du Dame Fatima-Zahra)

 

Dans l'école d'Ahlulbayte, le chiite:

Il est le fils du onzième imam d'Ahlulbayte, Imam Hassan Askari. Son nom est le même que celui du prophète d’Allah sawas.

Le Mahdi promis est habituellement désigné par ses titres:

*Imam al Asr (l'Imam « du temps ») 

*Sahib al Zamân (seigneur du temps)

*Al Qâ’im (il se soulèvera pour le règne de la vérité),  Qâ'im est un titre de l'Imam du temps que les chiites utilisent suivant le huitième Imam d'Ahlulbayte (Imam ar-Ridâ) et se lèvent en l'entendant et mettent la main sur la tête (signe de respect).

*Al Mountazir ( toute l’humanité l’attend avec impatience pour venir éradiquer l’injustice,

*Al Houjja (la preuve divine pour la création),

*Khalaf Sâlih (le successeur convenable pour les privilégiés de Dieu),

*Al Mansoûr (l’assistant des opprimés auprès de Dieu) 

*Sâhiboul Amr (l’autorité chargée de réception des décrets divins surtout la Nuit de décrets),

*Waliyoul Asr ( Commandant en place). *Muntaqim, *Maw'ûd, *Khâtam al-Awsiyâ,  *Ghâ'ib (Occulté) et Ma'mûl. 

* Baqiatoul Lah, بقیه الله (dernière manifestation divine sur terre), dans les exégèses du Coran, cela signifie ce que Dieu garde pour l'humanité. Il fut également interprété comme une bénédiction et une abondance. La raison pour laquelle il fut interprété en référence aux Imams d'Ahlulbayte (as) est qu'ils sont la bénédiction de Dieu sur les humains:

Différents points de vue des commentateurs

Les commentateurs du Coran ont donné différentes interprétations sur Baqîyyat Allah mentionné dans le verset 86 da la sourate Hûd (ce qui reste auprès d’Allah est un bien pour vous si vous êtes en croyance) qui mentionné parmi les consultations du prophète Shu'ayb (a) à son peuple. Certains d'entre eux considèrent Baqîyyat Allah dans ce verset comme signifiant le profit légitime résultant de la transaction qui reste pour l'homme. Certains d'autres l'ont associé à la pleine mesure et à l'équilibre mentionnés au verset 85 de la sourate Hûd et ont dit que "Baqîyyat Allah" se réfère à ce qui reste ou que Dieu garde pour vous après avoir mesuré et c'est mieux que la fraude et la diminution de la mesure.

Baqîyya signifiant l'abondance et la bénédiction:

Certains des commentateurs du Coran interprétaient le mot Baqîyya, l'abondance et la bénédiction ; az-Zamakhsharî, sous le verset 116 de la sourate Hûd qui contient "Ulû baqîyyatin" interpréta Baqîyya comme une abondance et une bénédiction. Selon al-’Allâma al-Majlisî, les exégètes du Coran interprétèrent également "Baqîyyat Allah" comme la bénédiction ou la récompense qui reste pour l'au-delà.

Rudi Paret, l'orientaliste et traducteur du Coran en allemand dit que"fadl" signifie à l'origine "baqîyya" et le surplus et que dans l'évolution sémantique, il prit le sens abondance et bénédiction. Le sens de «baqîyya» s'est développé en bénédiction, abondance, supériorité et choisi.

Le terme «baqîyya» fut également utilisé dans le verset 248 de la sourate al-Baqara signifiant l'abondance et la bénédiction. Ils disent que la raison pour laquelle interpréter «baqîyya» se référant aux Imams (a) est qu'ils sont l'abondance et la bénédiction de Dieu sur les humains.

 

Imam Mahdi (a.s), 12ème successeur chronologique du Prophète (ç) vint au monde un vendredi matin de la mi-sha’bân de l’an 255 H (868 après J.C) à Samarra en Irak. Son père, le onzième imam d’Ahlulbayte étaient imam Askarî (a.s) et sa mère, Narjes, selon les sources historiques, était la fille de Youshoû, fils de l’empereur romain et descendant de Shoumoû successeur du prophète Jésus (a.s).

 

Si l'idée d' "al-Mahdî" est plus vieille que l'avènement de l'Islam, ses aspects détaillés que le message islamique a définis sont en revanche les plus aptes à satisfaire l'ensemble des aspirations liées à cette idée depuis l'aube de l'histoire, et les plus exaltants pour les sentiments des victimes de l'injustice,  Car l'Islam a transformé l'idée du mystère en une réalité et l'a ramenée de l'avenir au présent.

Alors qu'elle n'était qu'une aspiration à un sauveur que ce bas-monde engendrera dans un avenir lointain et inconnu, l'Islam l'a transformée en une croyance à l'existence effective du sauveur qui aspire, comme tout le monde, au jour promis où toutes les conditions objectives seront réunies pour lui permettre de jouer son rôle déterminant.

Les promesses de la Bible et de l'Evangile sont conformes à l'idée islamique sur le Sauveur.

 

Seigneur!

Nous Te prions avec ferveur de nous assurer un état digne

Par lequel Tu honores l’Islam et les Musulmans,

Tu humilies l’hypocrisie et les hypocrites.

Un état où nous serions

De ceux qui appellent à T’obéir

De ceux qui se dirigent sur Ta voie.

 Un état Par lequel Tu nous donnes l’honneur

Dans ce Monde-ci

Et dans l’Autre Monde.

O Allah, fais que nous voyions le visage noble et le front sublime (de l’Imam) ! Fais que nous soyions de ses partisans et de ses soldats ! O Allah ! Que Tes Bénédictions soient sur le chargé de Ton Ordre, le Juste, l’Attendu. Entoure-le à sa sortie de Tes Anges les plus proches et assiste-le de l’Esprit-Saint, O Allah ! » 

 

Une organisation de défense des droits de l’homme basée à Genève affirme que le régime israélien a transformé un couloir prétendument sûr par lequel les habitants de Gaza peuvent se rendre vers le sud en un piège pour tuer les Palestiniens déplacés.

Dans un rapport publié ce dimanche 25 février, Euro-Med Human Rights Monitor a déclaré avoir documenté le meurtre de civils palestiniens par les forces israéliennes au point de contrôle de Wadi Gaza [vallée de Gaza] après qu'ils ont été forcés de fuir la ville de Gaza vers la région d'al-Mawasi, au sud de l’enclave.

« Les forces israéliennes ont également ciblé des civils qui attendaient des camions d'aide près du point de contrôle », a ajouté l'organisme de défense des droits de l'homme.

Le temps du prétendu protectorat américain en mer Rouge est révolu, affirme le ministre yéménite de la Défense. Le ministre de la Défense du gouvernement de salut national du Yémen a réaffirmé que les forces armées yéménites n’empêcheraient la navigation d’aucun navire dans la mer Rouge, à l’exception des navires israéliens ou des navires qui se dirigent vers les ports de la Palestine occupée.

Mohammad Nasser al-Atifi a fait cette remarque lors d’un discours prononcé ce dimanche 25 février en indiquant que la voie maritime internationale de la mer Rouge était sûre et qu’aucun dommage ne serait causé par l’armée yéménite aux navires qui y naviguaient.

Et lui de poursuivre : « Nous sommes les gardiens de la navigation libre dans la mer Rouge, le golfe d’Aden, la mer d’Arabie et le détroit de Bab al-Mandeb. »

Le Hezbollah libanais a annoncé, dimanche 25 février, que deux de ses combattants, Ahmed Mohammad al-Afi, âgé de 43 ans, et Hussein Ali al-Deirani, âgé de 49 ans, étaient tombés en martyr, lors du combat dans le sud du Liban avec les soldats israéliens.

Dans le cadre de ses opérations de représailles en soutien au peuple palestinien, le Hezbollah libanais a affirmé dans un communiqué avoir frappé avec ses missiles des bases militaires du régime israélien à la frontière entre le Liban et la Palestine occupée.

 

Un chef du mouvement de résistance palestinien Hamas a déclaré que l’optimisme quant à l’issue de l’accord d’échange de prisonniers n’est pas très réaliste.

Selon l’agence de presse IRNA citant la chaîne Al-Jazeera, cette personne dont le nom n’a pas été évoqué a ajouté : « Pour mettre fin aux souffrances du peuple et arrêter la guerre, nous avons fait preuve de la coopération avec une attitude positive avec l’aide des médiateurs. »

« Le Premier ministre du régime sioniste, Benjamin Netanyahu, refuse d’accepter nos demandes les plus importantes concernant la cessation de la guerre, le retrait complet de la bande de Gaza et le retour des réfugiés au nord de la bande de Gaza », a ajouté ce chef du Hamas.

Cet éminent commandant du mouvement Hamas a fait allusion à la menace de famine de masse à laquelle sont exposés les Gazaouis à cause du régime sioniste, pour dire qu’il s’agit là d’un cas de génocide qui menace le processus de négociations.

Samedi soir, le cabinet de guerre israélien a approuvé l’envoi d’une délégation pour achever les négociations avec le Hamas concernant l’échange de prisonniers par l’intermédiaire du Qatar.