تقي زاده

تقي زاده

"Nous pensons que nous sommes très proche, très proche. Et nous pourrions être très loin. Mais nous sommes très proches, si une décision politique peut prendre pour atteindre si, comme l'a dit le Président (USA) Obama", a souligné Zarif, dans un entretien exclusif avec le réseau américain "NBC".

Le chef de la diplomatie iranienne a déclaré que le plus grand obstacle aux pourparlers nucléaires visage est l'absence d'une décision politique de choisir entre la pression et de l’accord.

Je pense qu'il a continué, " le principal obstacle est la portée d'une décision politique, ce est à dire le choix entre la pression et de l’accord, il semble que dans l'Amérique il y a une grande pression de différents côtés, pour empêcher un accord avec l’Iran. "

À cet égard, a-t-il ajouté, cette décision de politique doit être faite par tous et pas seulement pour un pays; et en même temps, tout le monde devrait éviter d'imposer des pressions qui entravent la réalisation d'une décision politique à un accord final.

Après avoir été interrogé si " pointage au Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu " Zarif a dit « suis pointer du doigt quiconque voit la paix comme une menace existentielle. "

" Certaines personnes voient tout simplement leur espoir et leur avenir politique dans le conflit, de tension et de crise. Il fournit une telle situation, je ai un environnement très difficile de prendre des décisions politiques “, a-t-il dit.

Toutefois, selon Zarif, les parties ont déjà convenu sur certaines questions techniques, mais il y a encore résoudre d'autres de son genre en plus les politiciens." Nous avons fait de bons progrès, mais il reste encore un long chemin ", a-t-il dit.

Dans ce contexte, il a rappelé que jusqu'à ce qu'un accord sur toutes les questions ne soit pas atteint, il y aura un accord final : " Ce est un casse-tête. Toutes les pièces doivent être mises ensemble pour nous donner une image de ce qui est à venir. "

En ce qui concerne les dialogues intensifs qui maintiennent les parties, Zarif a déclaré que c’est le signe de la gravité des deux côtés et leur détermination à obtenir des résultats.

" Nous avons proposé d'augmenter le niveau des discussions techniques et donc apporté la tête de l'Organisation de l'énergie atomique d'Iran (OEAI), Ali Akbar Salehi, et les États-Unis a apporté son secrétaire à l'Énergie Ernest Moniz. Toutes deux ont physiciens dans le secteur nucléaire. Nous cherchons à parvenir à une compréhension technique (...) a été une étape très importante et utile “, a-t-il expliqué.

Les forces gouvernementales irakiennes tentaient mercredi d'encercler les rebelles de Daech dans les environs de Tikrit, en coupant notamment leurs lignes d'approvisionnement, au troisième jour d'une vaste offensive appelée à durer pour reprendre cette ville stratégique.
Appuyées par des miliciens chiites et sunnites, les forces armées étaient à plus d'une vingtaine de km de la ville de Tikrit, située à 160 km au nord de Bagdad.


Les "opérations se poursuivent conformément au plan préparé", a déclaré un officier à Samarra, la deuxième ville de la province de Salaheddine. "Nos forces avancent lentement et méthodiquement", en raison des tireurs embusqués et des bombes placées en bord des routes.

Les forces gouvernementales progressent depuis trois fronts: de la cité de Samarra au sud, du camp militaire de Speicher au nord et de la province de Diyala à l'est.

"L'objectif est d'empêcher Daech de commettre des attaques, de couper ses lignes d'approvisionnement, de l'empêcher d'être en liaison avec ses combattants (hors de la ville) et de l'encercler totalement avant de l'attaquer", a détaillé le général Abdel Amir Al-Zaidi, commandant des opérations dans le secteur de Diyala.

Les troupes veulent commencer par prendre deux localités toutes proches de Tikrit, Al-Alam au nord et Al-Dour au sud, a-t-il ajouté. Elles ont réussi "à détruire la première ligne de défense" de Daech, poussant les rebelles à se retirer à l'intérieur des localités.

Depuis le début de l'opération lundi, il n'"y pas eu de confrontation directe". Le porte-parole de la police Mohammed Ibrahim a expliqué que les rebelles avaient surtout recours aux attentats à la voiture piégée contre les forces en progression.

Située entre Bagdad et Mossoul, Tikrit, berceau de l'ex-président Saddam Hussein, est la deuxième ville la plus importante conquise par Daech en Irak, après celle de Mossoul, à 350 km au nord de Bagdad.

Pour les autorités, la prise de Tikrit représenterait "un tremplin sur le chemin de la libération de Mossoul", deuxième ville d'Irak.

Le président Bachar al-Assad a assuré mercredi qu'il bénéficiait du soutien des Syriens et que les institutions de l'Etat fonctionnaient toujours en dépit de près de quatre ans de guerre, dans un entretien à la chaîne portugaise RTP.
Il a affirmé que l'image que l'on donne de lui en Occident -que le "peuple est contre lui, que les pays de la région sont contre lui, que l'Occident est contre lui"- était biaisée. Il a souligné que s'il avait "résisté à quatre ans" de guerre, c'était "uniquement parce qu'il a le soutien du peuple".

Déclenché le 15 mars 2011, le conflit syrien s'est transformé en une guerre entre forces gouvernementales et rebelles. Il s'est complexifié avec la montée en puissance d'extrémistes.

"Nous avons toujours des institutions qui fonctionnent, nous avons toujours des subventions, nous continuons à payer les salaires (...) même dans certaines régions sous le contrôle des terroristes". "La Syrie n'est pas finie et nous ne sommes pas un Etat failli". Il a précisé qu'il soutenait une solution "politique" au conflit mais qu'une grande partie de l'opposition était liée à des pays tiers y compris du Golfe Persique, et qu'il préférait parler à "des gens représentant les Syriens en Syrie".

Au moins 20 membres des forces gouvernementales syriennes et 14 rebelles ont été tués dans une attaque menée mercredi contre un QG des services de renseignement de l'armée de l'air dans la ville d'Alep (nord), a rapporté une ONG pro-rebelles.
Selon l'ONG, les rebelles ont déclenché une puissante charge explosive souterraine contre un bâtiment abritant des bureaux du service de renseignement de l'armée de l'air. Puis des combats ont éclaté avec les forces syriennes.

Les affrontements se poursuivaient dans la soirée et les deux camps ont envoyé des renforts, d'après la même source.

Les insurgés ne sont pas parvenus à conquérir le bâtiment, a précisé l'ONG basée à Londres.

 

Un diplomate iranien enlevé au Yémen en 2013 a été libéré et rapatrié jeudi à Téhéran, ont annoncé les médias iraniens.
Sa libération est intervenue trois jours après celle d'un diplomate saoudien, qui avait été kidnappé par le réseau Al-Qaïda au Yémen en mars 2012.

Le diplomate iranien Nour-Ahmad Nikbakht avait été enlevé le 21 juillet 2013 alors qu'il quittait son domicile à Sanaa, par des membres du réseau Al-Qaïda, selon des sources tribales yéménites.

La télévision d'Etat a montré des images en direct du diplomate à son arrivée jeudi à l'aéroport Mehrabad de Téhéran.

J'ai été kidnappé par des inconnus armés alors que je quittais mon domicile pour aller au travail, a déclaré M. Nikbakht à la télévision d'Etat. J'ai été retenu en otage et beaucoup d'efforts ont été déployés les services secrets iraniens au sein du ministère du Renseignement, au ministère des Affaires étrangères et dans d'autres instances.

Il a été détenu par des militants d'Al-Qaïda dans une région éloignée entre les provinces de Chabwa (sud) et Baïda (centre), selon des sources tribales et de sécurité yéménites.

En janvier 2014, un autre diplomate iranien, Ali Asghar Assadi, avait été tué par balles par des inconnus dans une attaque menée dans un quartier abritant plusieurs ambassades à Sanaa.

Il s'agissait du premier assassinat d'un diplomate iranien au Yémen.

M. Zarif, cité par l'agence de presse iranienne Isna, a invité "les pays occidentaux, en particulier les Etats-Unis (à) choisir entre un accord nucléaire et la poursuite des sanctions".
"Si l'Occident veut vraiment un accord sur le programme nucléaire de l'Iran, il n'y a pas besoin de continuer les sanctions", a-t-il estimé tout en se montrant optimiste car, selon lui, "malgré l'existence de différences, il n'y a pas beaucoup de chemin jusqu'à un accord final".

Auparavant il a fait état à télévision iranienne de "progrès" sur l'usine d'enrichissement de Fordo, deuxième plus grand site d'enrichissement d'uranium de l'Iran et "sur la recherche et le développement" dans le domaine nucléaire.

- Réponse à Netanyahu -

"Nous n'allons pas être distraits par des facteurs externes et politiques, nous allons continuer à être guidés par nos experts, nos scientifiques, nos intérêts nationaux et ceux de nos partenaires et alliés", a également indiqué M. Zarif dans une sorte de réponse aux critiques exprimées mardi à Washington par le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu.

Pour le président iranien, Hassan Rouhani, cité par l’agence Irna, le régime israélien "qui est lui-même le plus criminel et (...) terroriste prétend parler de paix et de dangers futurs alors qu'il est lui-même la source du principal danger pour la région".

La menace du groupe Daech (EI) a compliqué la donne au Moyen-Orient, l'Iran jouant un rôle de plus en plus important dans la lutte contre ces extrémistes.

Le général Martin Dempsey, plus haut gradé américain, a reconnu mardi que l'aide de l'Iran à l'offensive irakienne en cours pour reprendre Tikrit pourrait être "positive".

Mohyeddin Afifi, secrétaire général du conseil des recherches islamiques d’Al Azhar a affirmé que les religions divines étaient contre l’extrémisme et la violence sous toutes les formes.

Selon le site d’information elfagr, s’exprimant lors de la conférence « Pour Egypte », à l’église du quartier Al Zamarak, au Caire, Mohyeddin Afifi, secrétaire général du conseil des recherches islamiques d’Al Azhar a souligné : « Les enseignements des religions divines rejettent les différentes formes de violence et d’extrémisme. »
Au cours de cette conférence organisée par le comité pour le dialogue interreligieux en Egypte avec la participation des personnalités chrétiennes égyptiennes, il a appelé à la coexistence pacifique, loin de toutes les formes de violence et d’extrémisme, soulignée explicitement par les religions divines.
Le secrétaire général du conseil pour les recherches islamiques d’Al Azhar, a mis l’accent sur la nécessité de réactiver les liens entre l’islam et le christianisme, ajoutant : « Les points communs entre nous sont beaucoup plus que les points qui nous séparent. »
Mohyeddin Afifi a ajouté : « Les nombreux points communs entre l’islam et le christianisme exigent que nous nous unissions pour soutenir notre pays face aux idées extrémistes et au terrorisme noir. »

Seyed Ghassem Na’man Ahmad Al Halou, directeur du centre culturel coranique de Najaf, professeur de commentaire et responsable du centre de sciences coraniques de Najaf, dans un entretien avec l’Agence iranienne de presse coranique (IQNA), a déclaré que les jeunes étaient capables de mémoriser le Coran en peu de temps, sans recourir aux nouvelles technologies.

Seyed Ghassem Na’man Ahmad Al Halou a expliqué : « Les nouvelles technologies sont efficaces et nécessaires mais cela représente parfois une perte de temps pour les jeunes. Il faut organiser le temps des jeunes pour éviter les adductions et la négligence des vraies capacités et des véritables talents.»
« Nous devons, a-t-il dit, accorder une plus grande attention à la compréhension du Coran et à son application dans la société. Les activités de groupe et les réunions avec des spécialistes, sont plus efficaces que les activités individuelles.»
Le directeur du centre culturel coranique de Najaf a souligné : « Notre centre est chargé d’harmoniser les activités et les méthodes d’enseignement coranique dans la région de Najaf, et de la formation des arbitres des compétitions.»
« Je pense aussi qu’il est nécessaire que ces centres organisent des réunions d’information sur le danger des takfiristes, et présentent les enseignements altruistes de l’islam face aux takfiristes qui cherchent à expliquer leur comportement violent par les versets coraniques. Nous devons pour cela, nous appuyer sur les versets clairs du Coran et non sur les versets sujets à interprétation comme le font ces groupes terroristes», a-t-il dit.

le commandant en chef des forces navales des Pasdaran, le général Fadavi a qualifié de source de problèmes la présence des forces américaines dans la région du golfe Persique ! " le fait que les Américains soient présents dans la région a multiplié les risques liés au trafic maritime et ce en dépit de leurs prétentions de renforcement du facteur sécuritaire dans la région. les Etats Unis ne se trouvent pas dans l'état de menacer la sécurité du golfe Persique . en effet ils font tout pour éviter une confrontation avec l'Iran car le contexte ne s'y prête pas .le Corps des Gardiens de la Révolution islamique surveillent nuit et jour la région et seuls quelques centaines de mètres nous séparent des Américains à chaque fois qu'ils veulent traverser le détroit d'Hormuz. et oui tout ingérence militaire US déclenchera automatiquement la fermeture du détroit d'Hormuz . ceci dit nous nous voyens dans l'obligation morale et religieuse pour garantir le transit sûr et sécurisé du pétrole via le détroit d'Hormuz " le général est revenu sur "l'arme stratégique testée par les Pasdarans " au cours de leur récente manoeuvre et a souligné : "il s'agit effectivement d'une arme stratégique dont la puissance ne peut être évaluée par les Etats Unis

mercredi, 04 mars 2015 09:47

Tikrit: Daech lance un SOS!!!

l'un des commandants des forces volontaires qui participent aux opérations de la libération de Tikrit vient de l'annoncer : les terroristes de Daech sont encerclés et ne cessent de lancer des appels à l'aide via leurs taki waki , leurs appareils de télécommunication. " l'heure zéeo n'est pas enconre arrivée . la première étape de la libération de Tikrit a été lancé lundi. cette première étape visait à couper toutes les voies d'approvisionnement des terroristes à Tikrit. les forces populaires ont mené leurs opérations sur l'axe Sour Shenas et cette étape se poursuivra jusqu'à la libération totale des voies d'approvisionnement des terroristes à Tikrit. mais pourquoi Tikrit devra -t-elle être libérée? la ville stratégique de Tikrit est important pour trois raisons: la libération de cette ville permet aux forces irakiennes de contrôler la oute menant à Mossoul. cette libération permet aussi une large offensive contre la province stratégique de Ninive.