تقي زاده

تقي زاده

Lors d’une rencontre avec le ministre iranien des Affaires étrangères, l’émir du Qatar, a remercié l’Iran pour ses actions et efforts visant à soutenir la Palestine et à trouver une solution politique pour mettre fin à la guerre contre Gaza, passant en revue les acquis obtenus à l’issue des efforts diplomatiques du Qatar pour parvenir à un cessez-le-feu dans la bande de Gaza.

En visite à Doha, troisième destination de sa tournée régionale, Hossein Amir-Abdollahian, chef de la diplomatie iranienne, s’est entretenu avec l’émir du Qatar, le cheikh Tamim Al-Thani, mardi 13 février, a rapporté Fars News.

Ayant transmis les salutations du président Raïssi à l’émir du Qatar, Amir-Abdollahian a fait une description des coopérations et relations amicales entre les deux pays dans divers domaines : « La pleine mise en œuvre des accords conclus lors de la réunion entre les dirigeants des deux pays, prépare le terrain pour un renforcement ultérieur des relations amicales et fraternelles l’Iran et le Qatar. »

Le ministre iranien des Affaires étrangères a exprimé sa gratitude envers le rôle bienveillant et médiateur du Qatar dans des affaires spécifiques liées à l’Iran, et a qualifié la coopération entre les deux pays de constructive pour l’établissement de la paix et la stabilité au niveau régional et international.

Évoquant les évolutions tragiques à Gaza, il a énuméré les efforts diplomatiques de la République islamique d’Iran pour mettre fin à la guerre contre Gaza et au génocide des Palestiniens par Israël. Saluant les démarches diplomatiques de Doha à ce même égard, il a souligné la nécessité d’accélérer les efforts fournis par l’Iran et le Qatar pour lever le siège de Gaza, y envoyer immédiatement une aide humanitaire et empêcher le déplacement des Palestiniens.

Le chef de la diplomatie iranienne a également insisté sur l’importance de la mise en place d’un plan palestinien de reconstruction et de gouvernance pour « l’après-guerre » dans la bande de Gaza et en Cisjordanie.

Les opérations du port d’Anvers, l’un des plus grands ports à conteneurs d’Europe, ont été sérieusement affectées ce mardi 13 février par des centaines d’agriculteurs sur tracteurs qui ont bloqué les routes autour du port pour exiger de meilleurs salaires et de meilleures conditions de travail, ont déclaré des responsables.

La manifestation fait suite à un grand nombre d’actions similaires menées par des agriculteurs en colère en France, en Belgique, aux Pays-Bas et ailleurs, alors que les agriculteurs exigent également des règles environnementales plus souples et une meilleure protection contre les importations bon marché.

Alors que la communauté internationale alerte Tel-Aviv contre les retombées d’une invasion terrestre à Rafah, dernier refuge des déplacés palestiniens, l’artillerie de l’armée israélienne a pilonné, mardi tôt matin, le point de passage reliant cette ville à l’Égypte voisine. 

Selon la chaîne d’information libanaise Al-Mayadeen, un obus a touché le mur du passage et l’autre a blessé plusieurs personnes, dont des enfants qui jouaient à proximité. 
Un grand nombre de Gazaouis ont dressé leurs tentes près du passage, dans l’intention de rester moins exposés aux raids israéliens.
Précédemment, le passage de Rafah avait fait l’objet d’attaques depuis le déclenchement de la guerre à Gaza, mais ce qui rend ces frappes plus inquiétantes, c’est que l’armée israélienne a récemment annoncé son intention de mener des raids massifs contre cette ville frontalière, tandis que l’Égypte consolide ses fortifications à la frontière avec l’enclave palestinienne. 
L’Égypte se dit inquiète du fait que l’offensive israélienne pourrait pousser des centaines de milliers de Gazaouis à tenter de fuir vers le désert du Sinaï.
À cet égard, le ministère égyptien des Affaires étrangères a mis en garde dans un communiqué, dimanche 11 février, contre de graves conséquences d’une invasion terrestre contre Rafah et du blocus de l’acheminement d’aides humanitaires par le point de passage.
La communauté internationale se préoccupe d’une invasion massive de l’armée israélienne à Rafah. Plus tôt vendredi, le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, a annoncé qu’il avait ordonné à l’armée de préparer un plan d’évacuation des civils à Rafah. Le porte-parole du gouvernement israélien, Peter Lerner, a dit mardi à la chaîne CNN : « L’armée a reçu ses ordres, cependant le plan d’évacuation n’est pas encore prêt. »
Ces commentaires interviennent alors que le régime sioniste a tué près de 29 civils à Gaza pour la plupart des femmes et des enfants.

Les combattants du Hezbollah libanais ont ciblé les installations d’espionnage et un lieu de rassemblement de troupes israéliennes dans des avant-postes militaires proches de la frontière entre le Liban et la Palestine occupée.

Le Hezbollah a indiqué dans un bref communiqué que ses combattants ont mené mardi 13 février une opération contre le site de Hadab Yarin, et ont tiré une salve de roquettes sur les dispositifs de surveillance qui s’y trouvaient.

Le communiqué ajoute que les projectiles ont atteint les cibles désignées et les ont détruites.

Plus tôt dans la journée, des combattants du Hezbollah avaient frappé un lieu de rassemblement de soldats israéliens à Hounin, faisant des blessés parmi eux.

Le ministre iranien des Affaires étrangères a émis un sévère avertissement concernant le projet d'invasion terrestre par Israël de la ville de Rafah, dans le sud de la bande de Gaza, affirmant que cela aurait de graves conséquences pour le régime israélien.

Hossein Amir-Abdollahian a fait cette remarque dans un poste publié lundi 12 février sur la plateforme de médias sociaux X.

« L’expansion des crimes de guerre et du génocide du régime occupant israélien pour englober aussi désormais les réfugiés palestiniens à Rafah aura de graves conséquences pour Tel-Aviv », a-t-il déclaré.

Le Corps des gardiens de la Révolution islamique (CGRI) a lancé avec succès un missile balistique à longue portée depuis l’un de ses navires de guerre, a déclaré le commandant de la force d’élite.

Le général de division Hossein Salami a déclaré lundi : « Cet exploit signifie que le CGRI aura la capacité d'atteindre n'importe quelle cible, car ses navires de guerre de croisière océanique peuvent naviguer vers n'importe quel endroit dans le monde ».

« Un missile balistique à longue portée a été tiré avec succès depuis un navire militaire de la marine du CGRI dans le cadre d'une coopération conjointe entre la force aérospatiale du CGRI et la marine du CGRI », a déclaré le général Salami, cité par l'agence de presse Tasnim.

La dernière invocation de l'Imam Hussein (as)à Karbala, avant son martyre !
« O Allah, au Lieu très élevé, à la Puissance grandiose, au Châtiment terrible, qui n'a pas besoin des créatures, à l'Orgueil immense, Puissant sur tout ce que Tu veux, à la Miséricorde proche, à la Promesse sincère, aux Bienfaits étendus, à l'Epreuve bonne, Tu es Proche si Tu es appelé, cernant ce que Tu as créé (rien ne T'échappe), acceptant le repentir de celui qui se repent et revient à Toi, Puissant sur tout ce que Tu veux, Tu saisis ce que Tu demandes ! Tu es Reconnaissant si Tu es remercié, Tu Te rappelles si on se souvient de Toi. 

Je T'invoque, étant dans le besoin ! Je Te désire, étant pauvre ! Je Te crains, étant apeuré ! Je pleure étant dans la détresse ! Je T'appelle à mon aide étant faible ! Je compte sur Toi, ne me satisfaisant que de Toi ! O Allah, statue entre nous et nos gens, car ils nous ont trompés, humiliés, trahis et tués.


Nous sommes la famille de Ton Prophète, le fils de Ton Bien-aimé Mohammad (p) que Tu as choisi pour Ton Message, à qui Tu as fait confiance pour la révélation, alors, délivre-nous, ô le plus Miséricordieux des miséricordieux ! Patience dans ce que Tu as décidé, ô Seigneur ! Pas de divinité autre que Toi ! O Secours de ceux qui T'appellent au secours. » 

(Tiré de Bihâr al-Anwâr, vol.98 p348)

Toutes nos félicitations pour l'anniversaire de la naissance béni de Imam Hussein, le petit fils du Noble Prophète(sawas)
 
 
Un aperçu de la vie d'Imam Hussein as:
L'imam Hussein est le deuxième fils sorti de la sainte union entre le commandeur des croyants Ali ibn Abi Talib et la dame la plus prestigieuse du monde, Fatouma Zahra fille du saint Prophète Mohammad (paix et bénédiction sur eux) . L'imam Hussein est né le 3 Chabane de la 4ème année de l'hégire à Médine.

L'imam Hussein avait vécu six ans à côté de son grand père, le saint Prophète Mohammad(sawas). Après la mort de son Grand père, l'imam Hussein resta avec son père, le commandeur des croyants Ali ibn Abi Talib .

Après le martyre de son frère aîné l'imam Hassan ibn Ali, sur ordre divin, l'imam Hussein devient imam de la communauté islamique, une communauté qui fut fondée et dirigée pour la première fois par son grand père. Comme son père et son frère, l'imam Hussein vécut aussi dans les conditions les plus pénibles.

A cette époque les lois divines n'étaient plus respectées, car Moawiya ibn Abou Soufiane avait gouverné pendant une dizaine d'années, et avait acquit une puissance et une autorité dans l'empire islamique. Moawiya avait tout fait pour écarter à jamais la progéniture de l'envoyer de Dieu du califat, et transmettre le califat à son fils Yazid et à ses descendants.

Moawiya avait utilisé tous les moyens possibles pour humilier et opprimer l'imam Hussein et tout celui qui manifestait son affection envers la progéniture du saint Prophète. Avant sa mort, Moawiya réussit à transmettre le califat à son pervers fils Yazid, et le conseilla de ne pas s'occuper de l'imam Hussein, si ce dernier refuse de lui prêter le serment d'allégeance.

Les chiites et les sunnites affirment que Yazid n'avait aucune qualité morale ou spirituelle pour diriger la communauté islamique, car il fut buveur d'alcool, fornicateur, assassin….

Lorsque Yazid accéda illégalement au califat, il négligea les conseils de son père, il ordonna au gouverneur de Médine d'obtenir le serment d'allégeance de l'imam Hussein. Au cas d'un refus, il n'a qu'à lui couper la tête et l'envoyer à Damas.

Après avoir été informé par le gouvernement de Médine sur cette demande, l'imam Hussein partit avec sa famille vers la maison de Dieu à la Mecque, où il resta au moins quatre mois. Cette nouvelle s'était propagée dans toute la communauté islamique, beaucoup des gens qui étaient contre les califats de Moawiya et de son fils Yazid avaient écrit des lettres à l'imam pour lui exprimer leur affection et soutien.

Plusieurs personnes étaient prêtes pour se soulever contre le gouvernement de Yazid. C'est pourquoi les habitants de la ville de Koufa en Iraq, avaient invité l'imam chez eux pour qu'il soit leur chef. La situation était devenue dangereuse pour Yazid.

Avant de quitter la Maison de Dieu, l'imam Hussein avait accomplit le pèlerinage, mais il du écourter les rites de ce dernier, car il avait comprit que les espions de Yazid étaient venus à la Maison de Dieu en pèlerins afin de le tuer pendant les rites de ce devoir sacré. L'imam s'était levé au milieu des pèlerins venus de tous les coins de la région et avait fait un bref discours, il expliqua aussi aux musulmans qu'il va tomber en martyre.

L'imam Hussein savait que son assassinat était inévitable, il était déterminé lui aussi à ne pas prêter le serment d'allégeance à Yazid l'imposteur, il quitta donc la Maison de Dieu pour aller vers Koufa (en Iraq), où les gens l'attendaient.....

Et le grand tragédie de martyre d'Imam Hussein et sa famille et ses compagnons (72 martyres) est survenue au Karbala, le jour de Achoura.

L'imam Hussein consolida ses hommes pour un combat inégal et inévitable. Il avait dit à ses hommes que :

" O gens! L'envoyé de Dieu a dit: Celui qui voit un sultan injuste qui autorise ce que Dieu a interdit, qui transgresse le pacte qu'il a conclu devant Dieu, qui dévie la Tradition de l'envoyé de Dieu, qui opprime les Musulmans et commet des péchés contre eux, sans s'opposer à lui (le sultan) même par une parole ou une action, Dieu va lui réservé le même traitement qu'IL réserve à ce sultan ".

Au neuvième jour du mois de Moharram, l'armée ennemie lança un dernier ultimatum à l'imam Hussein, afin de choir entre : prêter le serment d'allégeance et la mort. L'imam leur répondit que : " Je ne vois en la mort que le bonheur, et en la vie avec les oppresseurs que l'angoisse ".

Avant le combat, l'imam Hussein essaya une fois de plus, de ramener les combattants ennemis(l'armée de Yazid ibn Muawya) à la raison, afin de ne pas participer à cette guerre qui leur ouvrait les portes de l'enfer. L'imam avait levé le saint coran et leur dit :

" O gens! Nous avons en commun le Livre de Dieu et la Tradition de mon grand-père, l'envoyé de Dieu. Il continua : Ne voyez-vous pas l'épée de l'envoyé de Dieu, son habit de guerre et son turban sur moi? Ils répondirent : " Si ". Il leur demanda alors :

Pourquoi vous vous battez donc contre moi? Il répondirent : Par obéissance à l'Emir Obeidullah Ibn Ziyâd "(le gouverneur de Yazid à Koufa). Tous ces appels étaient vains, seul un combattant au nom de Hour Ibn Yazid al Riyâhi accepta de rejoindre le camp de l'imam pour mourir en martyre avec lui.

...Au moment de l'assaut final, l'armée ennemie parvint à massacrer la famille et les compagnons de l'imam Hussein l'un après l'autre. L'imam Hussein lança un dernier appel pour la protection des veuves et des orphelins de la famille de l'envoyé de Dieu en ces termes :

" N'y a-t-il donc personne pour défendre la famille de l'envoyé de Dieu ? N'y a-t-il pas un monothéiste qui craint Dieu pour ce qui nous arrive ? N'y a-t-il personne qui nous vienne en aide par amour de Dieu ? "

...Imam Hussein est tombé en martyre,  Il a donné le leçon du Vrai Djihad, du courage , de la Résistance contre la tyrannie,...

C'est ainsi que l'imam Hussein avait sauvé l'islam des griffes et de la tyrannie des omeyyades. 

Le septième Imam est Moussâ al-Kâzim, fils de Ja’far. Sa mère est Hamida al-Mussaffat. L’Imam est né à Abwa (entre la Mecque et Médine), le dimanche 7 Cafar de l’an 128 A.H.

Il mourut en prison, empoisonné par le Calife Haroun Rachid, le 25 Rajab 183 A.H., après avoir passé 14 ans d’emprisonnement pendant lesquels il a subi d’indicibles souffrances et oppressions.  Il fut inhumé à Kazimayn au Sud de Bagdad où se trouve son mausolée aujourd’hui.

Il fut le plus grand érudit de son temps. Il fut également le meilleur, le plus généreux, le plus courageux, le plus aimable et le plus correct de son temps. Sa grandeur était connue de tous. Son savoir fut inégalable, son engouement pour l’adoration ne saurait être dépassé. C’est parce qu’il contenait toujours sa colère qu’il fut surnommé « al-Kâzim » (celui qui contient sa colère). Pour son intégrité, on le surnomma également « al-‘Abdu Câlih » (le bon serviteur d’Allah).

Ses connaissances furent révélées en diverses occasions, et elles éblouirent les gens. Son dialogue avec Buraiha est bien connu. À la suite de ce dialogue l’Imam convainquit en effet son interlocuteur chrétien de se convertir à l’Islam.

Un jour, un homme dans le besoin mendia cent dinars de l’Imam. Celui-ci lui posa quelques questions pour sonder ses connaissances religieuses et lui donna deux mille dirhams.

L’Imam avait une belle voix en récitant le Coran. On rapporte qu’il restait quatre heures debout pour accomplir des actes cultuels, et qu’il récitait le Coran et se prosternait pendant longtemps. Il pleurait souvent par amour d’Allah. Il mourut alors qu’il était en prosternation.

Un jour, Abou Hamza, voyant l’Imam Moussa al-Kâzim en train de travailler dans son jardin alors que la sueur perlait de sa tête jusqu’à ses pieds, lui demanda où étaient ses serviteurs. L’Imam lui répondit qu’il y avait quelqu’un de meilleur que l’Imam et son père, qui travaillait lui-même de ses propres mains. Lorsque Abu Hamza lui demanda qui était cet homme, l’Imam répondit que c’était le Prophète d’Allah, Mohammad (P), ainsi que Amir Al-Mouminin ‘Ali (P), et que tous ses ancêtres travaillaient de leurs propres mains. Tel fut donc la Sunna (la Tradition) des Prophètes, des Délégués d’Allah et des gens droits.

Quelques Paroles de l`Imam Moussa al-Kazim (AS)

-Le croyant est comparable à deux plateaux de balance équilibrés : Chaque fois que sa foi se consolide, son épreuve devient autant difficile.

-Le bon voisinage ne consiste pas seulement à ne pas déranger ses voisins mais surtout à les supporters lorsqu'ils vous dérangent.

-Le jour du Jugement, seront appelés ceux qui ont droit de la récompense auprès d'Allah, ce jour là se lèveront seulement ceux qui auront pardonné et rétabli la concorde sans attendre d'autre récompense que celle d'Allah.

-Il n'est pas des nôtres celui qui délaisse sa religion au profit de la vie et n'est pas des nôtres celui qui délaisse sa vie au profit de sa religion.

Le Prophète (sawas) fut l’exemple de bon caractère en unissant les cœurs dispersés des hommes et les esprits des diverses religions.

Allah, le Très-Haut, a honoré Son Prophète Mohamad (sawas) d’une manière inédite au début de la création du monde, avant et après sa naissance et même après son décès. 

Prophète Muhammad (sawas) à dit: Je suis l’exaucement du vœu de mon père Ibrahim.  L’invocation du Prophète Ibrahim (as) est citée dans ce verset : « Seigneur ! Envoie-leur un prophète issu d’eux- mêmes, qui leur récitera Tes versets, leur enseignera l’Écriture et la sagesse et les purifiera de leurs fausses croyances ! Tu es, en vérité, le Puissant, le Sage ! ».

Allah swt, dit « Celui qui obéit au Prophète obéit en fait à Dieu. Quant à ceux qui se détournent de toi, Nous ne t’avons pas envoyé pour assurer leur sauvegarde». 

« Quiconque obéit à Dieu et à Son Prophète obtiendra un immense succès. »

Allah dit : « Si vous aimez Dieu réellement, suivez-moi et Dieu vous aimera et vous pardonnera vos péchés. Dieu est Indulgent et Miséricordieux».

 Allah dit: « Vous avez, dans le Prophète de Dieu, un si bel exemple pour celui qui espère en Dieu et au Jugement dernier, et qui évoque souvent le Nom du Seigneur». 

Ce verset est, en effet, un principe de base qui ordonne au Musulman de suivre le Prophète dans tous ses actes et ses paroles.

De plus, Allah et Ses Anges ont comblé le Prophète des bénédictions. Il a exhorté les croyants de faire de même : « Dieu et Ses anges bénissent le Prophète. Ô croyants ! Bénissez-le et appelez sur lui le salut!».

Allah lui dit dans le Saint Coran :

«En vérité tu es de bon caractère (Mohammad)!»

Le Prophète (sawsa) a dit:

«J’ai été désigné en vérité pour parfaire de nobles caractères moraux!»

 L’Imam Ali (as), le Maître des croyants a dit:

«Il était le plus Généreux, le plus courageux, le plus véridique, celui qui a acquitté tous ses engagements et le plus courtois. Quiconque le voit le craint et quiconque le côtoie l’aime, je n’ai jamais vu un tel homme ni avant, ni après!»

Après son décès, Allah a accordé au prophète  l’Intercession en faveur des croyants le Jour Dernier. Le Messager d'Allah sawas disait: « Le Jour du Jugement, je suis l’enfant le plus préféré d’Adam. Je suis le premier à être ressuscité, le premier à intercéder et le premier dont l’intercession est toujours agréée».

Enfin, le grand hommage rendu au Prophète sawas, par son Seigneur réside dans le fait qu’Allah a fait de lui une miséricorde dédiée au monde comme l’indique bien ce verset : « Ô Muhammad ! Nous ne t’avons envoyé que comme miséricorde pour l’Univers». 

Allahuma sali ala Muhammad wa ale Muhammad