تقي زاده

تقي زاده

samedi, 26 octobre 2013 11:35

Tunisie : la crise politique persiste

La Tunisie est toujours sous l'emprise des tensions politiques, suscitées par les attentats terroristes, et le chaos dans ce pays de l'Afrique maghrébine suscite à son tour la réaction des pays de la région et de la communauté internationale. Le Front Populaire de Tunisie (gauche) a annoncé qu'il se retire provisoirement du dialogue national. Les responsables de ce parti d'opposition ont annoncé que pour retourner à la table du dialogue national, ils exigent que le Premier ministre Ali Larayedh confirme officiellement la démission de son gouvernement en trois semaines. Le Front populaire de Tunisie prétend que les déclarations du Premier ministre confirmeraient que son gouvernement était contre le dialogue avec les partis d'opposition. C'est pourquoi le Front populaire de Tunisie a demandé aux opposants de continuer leurs manifestations pacifiques pour ainsi forcer le gouvernement d'Ali Larayedh à démissionner.

En effet, la démission du gouvernement est la raison principale des divergences entre Ennahda et l'opposition, d'où le report du dialogue national. Pourtant le Premier ministre a déjà annoncé que conformément à la « feuille de route » pour mettre fin à la crise politique en Tunisie, le gouvernement sera prêt à s'écarter du pouvoir. Mais les opposants estiment que les propos d'Ali Larayedh étaient « ambigus », et lui ont demandé d'annoncer clairement qu'il démissionnerait en trois semaines. En outre, la poursuite des attentats terroristes constitue un obstacle majeur devant le lancement officiel du dialogue national. Ces derniers jours, plusieurs effectifs des forces de sécurité ont été tués dans un accrochage avec des individus armés dans la province de Sidi Bouzid. En réaction à la reprise des attentats terroristes, le Premier ministre a déclaré que le but des auteurs de ces attentats est d'entraver le dialogue national. Il a annoncé que son gouvernement luttera contre les terroristes et démantèlera leurs groupes. Ali Larayedh a insisté aussi sur l'importance de l'élaboration de la Constitution, réitérant que malgré les pressions de l'opposition, le gouvernement ne démissionnera pas avant l'élaboration de la nouvelle Constitution, car cela pourrait provoquer un vide institutionnel en Tunisie. La communauté internationale réagit à son tour contre la montée de la violence en Tunisie, le secrétaire général de l'Organisation de la Coopération islamique (OCI) a condamné l'attaque des individus armés contre les forces de sécurité tunisienne., tandis que le Fonds monétaire international (FMI) a mis en garde contre l'intensification de la crise politique et économique dans ce pays.

L'explosion d'une voiture piégée a tué au moins 20 civiles, dont trois enfants, vendredi près d'une mosquée de Souq Wadi Barada, une localité rebelle à 40 km au nord-ouest de Damas.

Une puissante explosion, provoquée par une voiture piégée près d'une mosquée dans la ville de Souq Wadi Barada, a fait au moins 20 morts, dont trois enfants, et des dizaines de blessés.

Selon l'agence officielle Sana, "la voiture a explosé alors que les terroristes la piégeaient près de la mosquée Ossama Ben Zeid. Des terroristes et des civils ont été tués. Deux corps sont arrivés à l'hôpital Mouassat, dont un enfant de 7 ans. Il y aussi 30 blessés, dont la majorité grièvement".

samedi, 26 octobre 2013 10:10

Le sens de l’Imãmat

L’Imam signifie le leader et le dirigeant que ce soit dans la bonne ou la mauvaise direction. Le Coran parle des «Imams de l’athéisme» au verset 12 de la sourate Tobe et des Imams de la prière. Les divergences entre chiites et sunnites au sujet de l’Imãmat viennent du fait que les chiites estiment que l’Imam doit être désigné par Dieu, doit posséder une science venue de Dieu et être à l’abri des erreurs et des péchés.

Dans la science du kalam, l’Imãmat signifie la direction générale de la société Islamique, dans les domaines religieux et non religieux. Cette distinction en fait, est artificielle car les domaines non religieux font aussi partie de la religion en Islam. Cette direction selon les chiites, commence avec une désignation divine de quelqu’un qui est à l’abri des péchés et qui aura toutes les responsabilités qu’avait le Prophète (AS) en dehors de la transmission d’une révélation.

Ses paroles feront autorité et ses ordres dans les différents domaines devront être exécutés. Par conséquent, les divergences entre chiites et sunnites sur la question de l’Imãmat se situent à trois niveaux, celui de la désignation par Dieu, celui de la science de l’Imam et celui de son infaillibilité.

Bien entendu, cette infaillibilité ne va pas toujours de paire avec l’Imãmat. Les chiites considère Hazrat Fatima (AS) et Hazrat Maryam (AS) comme infaillibles mais sans leur reconnaitre les responsabilités de l’Imãmat. Cette qualité existe peut-être aussi chez d’autres «Amis de Dieu» et qui ne peuvent être connus que grâce à une intervention divine.

Le Coran recommande la mesure et la modération, les déclarations des groupes takfiri dénoncent une ignorance totale de l’islam.

L’Ayatollah Mohamad Ali Taskhiri, conseiller du Guide suprême dans les questions du monde de l’islam, dans un entretien avec l’Agence Internationale de Presse Coranique, a déclaré que les courants takfiri n’avaient rien à voir avec l’islam et que cette idéologie avait eu des effets très négatifs et contribué à des crimes impardonnables.

« Le Coran recommande la mesure et la modération, les déclarations des groupes takfiri dénoncent une ignorance totale de l’islam. l’Occident et le front de l’arrogance cherchent à créer des divisions dans la communauté et soutiennent ces groupes terroristes en Irak et en Syrie. Leur objectif est d’affaiblir la puissance des pays islamiques et leur union, et ils se servent pour cela quelquefois des pays islamiques.

Aujourd’hui, avec les mouvements d’éveil islamique et la prise de conscience dans les pays musulmans, l’union est plus que jamais nécessaire car les ennemis déploient tous leurs efforts pour diviser chiites et sunnites. Les ulémas et les intellectuels du monde de l’islam doivent repérer les complots des ennemis pour affaiblir la communauté.

Les ennemis veulent faire disparaitre l’islam du monde et certains donnent une mauvaise image de l’islam. Les groupes takfiris qui travaillent dans le sens des intérêts des ennemis, sont un problème important dans les pays islamiques.

Les ennemis pour soutenir le régime sioniste, font actuellement pression sur un maillon important de la résistance qui est la Syrie, et les groupes takfiri ne font que les aider dans ce projet d’affaiblissement de la communauté. Cependant, cette alliance d’intérêt ne pourra pas venir à bout de l’éveil islamique qui se développe dans les pays musulmans et l’union est la meilleure façon pour désamorcer les complots de l’ennemi », a-t-il déclaré.

La troisième session des cours de formation à court terme sur le sujet « la Théosophie transcendante : héritage intellectuelle de l’islam dans le monde contemporain » se tiendra à Téhéran.

Selon IQNA, ces cours de formation, se tiendront du 28 décembre 2013 à 15 janvier 2014 par le Centre de Djamet-ol- Mustafa(PSL) en coopération avec la Fondation des Sciences de la Révélation Asra’a, le centre de recherche philosophique et de la sagesse d’Iran, la Fondation de la Sagesse islamique de Sadra, la haute association de la sagesse(Hikma) islamique sous l’égide d’Ayatollah Djavadi Amoli.

Mollâ Sadrâ Shîrâzî est un philosophe iranien, d'obédience chiite duodécimaine, né à Chiraz en 1571-72 et mort à Bassora en 1635-36 ou en 1640-41. Élève notamment de Mir Damad, il met au point son grand ouvrage, les Asfar, à Kahak , puis enseigne la philosophie à la madrasa de Chiraz. C'est là que se développe l’« école de Chiraz », continuatrice de l’« école d'Ispahan ».

L'œuvre de Sadrâ est une synthèse monumentale de toutes les sources et traditions grecques, iraniennes et islamiques. Partant de la tradition aristotélicienne, des philosophes (falasifa) (Farabi, Avicenne), il intègre la « Sagesse orientale » de Sohrawardi et la gnose d'Ibn Arabi dans sa propre philosophie qu'il nomme Hikmat al-Muti'aliyyah.

La pensée de Molla Sadra s'inscrit fondamentalement dans la tradition du néo-platonisme. Pour lui, la philosophie est tout autant et indissolublement perfectionnement de l'âme par le moyen d'exercices spirituels et investigation proprement intellectuelle par argumentation logique. Les deux aspects sont inséparables, car c'est par la connaissance de la vraie nature de la réalité que l'âme se purifie et s'élève à des degrés plus intenses de la vie spirituelle. L'amour de la connaissance, la pratique de la discipline intellectuelle, conduisent à une ascèse toujours plus profonde, à une purification de l'âme, et s'identifient avec la piété religieuse. La « philosophie » est un mode de vie global, intégrant vertus et réalisation de soi.

Depuis des décennies, avec les efforts des penseurs et philosophes iraniens et étrangers, l’Ecole de Sadra est connue dans le domaine mondial et beaucoup de centres scientifiques se qui se penchent sur la Tradition intellectuelle islamiques, ont des relations avec la Hikmat al-Muti'aliyya.

Les sujets de la troisième session des cours de formation en Hikma, sont : restauration de l’intellectualité islamique dans le monde contemporain, les initiatives et les caractéristiques de la philosophie islamique et l’héritage grecque, la Hikmat al-Muti'aliyyah et la philosophie islamique, introduction à la Hikma de Sadra, Epistémologie de la Mulla Sadra, le lien entre la Hikmat al-Muti'aliyyah et la Kalām islamique, le mysticisme et Hikmat al-Muti'aliyyah.

Gholamreza A’Avani, professeur de la philosophie à l’université de Behechti et université de Pékin, l’Hodjat-ol-islam Hamidreza Parsaniya, membre de lHaute association de la Hikma islamique d’Iran, l’Hodjat-ol-islam Khosrov Panah, président de l’institut de la Hikma islamique, Mohammad Rostam, président de centre de la Chialogie de Canada prendront part à ces cours.

Ces cours de formation auront lieu à Téhéran en langue anglaise, et les personnes intéressées devraient avoir les critères suivants :

1.Les diplômés et les étudiants en doctorat dans les domaines des études islamiques et de la philosophie

2.Avoir de certificat de la langue anglaise TOEFL IBT avec un score minimum de 86 ou TOEFL PBT avec un score minimum de 567 ou IELTS avec un score minimum de 6.5.

3.Savoir la langue arabe

4.Acceptation de code vestimentaire de la RII.

les personnes intéressées devraient s’inscrire, remplir le formulaire et les envoyer au secréterait par Email jusqu’à 6 novembre.

Pour plus de détails : www.tehran.miu.ac.ir

Les musulmans chiites du monde entier célèbrent l’Eid Al-Ghadir, une des fêtes plus importantes du monde islamique, qui rappelle le choix de l'Imam Ali (AS) comme le successeur du prophète de l'Islam, Hazrat Mohamad (PSLF).

Ce fait remarquable est distant à la période qui suit le dernier pèlerinage des musulmans à la Mecque (Hach) lorsque le 18 de Dul-Hija, (632 AD), le calendrier arabe du prophète Mohamad (PSLF) s'est arrêté à Ghadir Khom, un espace entre la ville de la Mecque et Médine et avant un grand rassemblement de pèlerins de l'Imam Ali (AS) a nommé comme son successeur et le futur leader du monde islamique.

Puis, il a dit qui chaque un que j'étais son maître, Ali est son maître " a rappelé trois fois le sceau de tous les Prophètes de donner l’Imam Ali (AS), le premier à se convertir à l’Islam, le degré de l'Imam (chef de file) et Vali (seigneur).

Ali Ibn Abi Talib (AS), il était une figure très importante dans les domaines de la science et de la pensée, d'où qu'ils considèrent comme la plaque tournante de la pensée de l'Islam et la source de la science arabe.

La récitation du Saint Coran et les chansons sont quelques-uns des rituels à l'occasion de la fête de Ghadir. Traditionnellement également visiter les descendants du prophète de l'islam.

À cet égard, l'équipe du site ABNA félicite à toute la communauté musulmane particulièrement les chiites ce jour sacré.

samedi, 26 octobre 2013 09:50

L’importante de Ghadir pour Dieu

La philosophie de Ghadir est qu’il s’agit d’un événement qui s’inscrit dans la continuité de l’événement de la grotte de Harã, et qui nous montre que l’Imamat(autorité des descendants du Prophète) s’inscrit dans la continuité de la mission prophétique.

Dieu a présenté ce jour comme le jour où la religion a été présentée dans sa totalité, le message de Ghadir qui est l’annonce d’un mouvement de chaque individu vers ce qui est l’assurance de son salut.

Ghadir est le moyen d’évaluer la vérité des idéologies et des écoles, et le signe de la pureté des êtres humains car ’Ali(AS) est "Le Critère" de nos actes.

Ghadir est un message qui nous invite au Monothéisme et à la soumission, à la volonté divine car Dieu a dit ورضيت لكم الاسلام دينا, et parce que toutes nos paroles et tous nos actes qui s’éloignent de cet enseignement Lui déplairont.

Ghadir c’est l’attention de l’Humanité aux valeurs spirituelles de la personnalité de l’Imam ’Ali(AS) qui est la source de tout ce qui est bien, l’exemple parfait de l’humanité et de la piété, le symbole de la justice, de la sincérité, de la paix et de l’amour du prochain, et de la lutte contre l’oppression et les déviations. S’éloigner de ce pôle de l’initiation revient à s’éloigner de la réussite et de la perfection.

Ghadir c’est l’annonce de l’instauration d’une société aux critères divins et fondée sur les enseignements de l’Imam ’Ali(AS).

Ghadir est le jour de l’appel à la voie et à la Tradition divine, car ce jour-là, l’envoyé fidèle de Dieu a dit: "Je n’ai pas fait preuve de négligence dans ma mission, voilà que Gabriel s’est présenté à moi et m’a apporté un ordre de mon Seigneur, celui d’annoncer ce moment même, aux blancs et aux noirs, que ’Ali Ebn Abi Tãlib(AS) est mon successeur dans la communauté et l’Imam(le dirigeant) après moi. Il est pour moi ce que Haroun était pour Moïse, sauf qu’après moi il n’y aura plus d’autre Prophète. ’Ali après Dieu et le Prophète sera le maître de la communauté".

Ghadir est le message de l’unité entre tous les partisans du Prophète et de la lutte contre les divergences. Le meilleur modèle pour les héritiers de Ghadir est la tradition et le comportement de l’Imam ’Ali(AS). Bien qu’il ait été désigné par le Prophète(SAWA), l’Imam ’Ali non seulement a abandonné son droit quand il a vu que cela mettait en danger l’Islam et engendrerait des divergences dans la communauté, mais a aussi coopéré avec ceux qui s’étaient installés à sa place, car l’Islam a besoin d’unité et c’est pour cette raison qu’il s’est sacrifié.

L’union est l’essence de l’Imamat, tous les héritiers de Ghadir doivent suivre l’exemple de l’Emir des croyants et des Ahl-ul- Bayt (AS) qui ont toujours défendu l’unité de tous les croyants.

vendredi, 25 octobre 2013 15:41

Iran: la justice gracie le pendu survivant

Un condamné à mort qui avait survécu à sa pendaison en Iran sera gracié, ont annoncé mercredi les médias locaux en citant le ministre de la Justice.

La légalité d'une nouvelle pendaison avait été remise en question par des juristes et par les organisations internationales des droits de l'Homme.

Le condamné qui a survécu (à la peine de mort) ne sera pas exécuté de nouveau, a déclaré mardi soir le ministre, Mostafa Pour-Mohammadi, cité par l'agence officielle Irna.

Le chef de l'autorité judiciaire, l'ayatollah Sadegh Larijani, a semblé confirmer ces propos en proposant une grâce qui transforme la sentence en réclusion à perpétuité pour cet homme qui a rencontré la mort et enduré des épreuves.

Je vais assurément le faire pour des raisons humanitaires, a-t-il ajouté selon l'agence Irna.

Le cas de Alireza M., un homme de 37 ans arrêté il y a trois ans alors qu'il transportait un kilo de méthamphétamine et condamné à mort pour trafic de drogue, a suscité la polémique chez les juristes et les religieux iraniens.

Le condamné avait passé 12 minutes au bout de la corde avant d'être déclaré mort par le médecin de la prison de Bojnourd (nord-est). Son corps avait été transporté à la morgue mais, selon la presse, un employé avait remarqué le lendemain qu'il respirait encore.

La République islamique d’Iran a pris toutes ses activités nucléaires de manière transparente et n'a pris aucune action pour atteinte à la sécurité de la communauté internationale, a déclaré l'imam de la prière du vendredi à Téhéran collective, le hojatolislam Kazem Sediqi.

Occident doit s'efforcer de construire la confiance, a déclaré le hoyatolislam Sediqi en référence aux récents pourparlers sur le nucléaire entre l'Iran et le groupe 5+1 (Etats-Unis, Royaume-Uni, la Chine, la Russie et la France, plus l’Allemagne), où il a assuré, il est devenu clair que le pays perse est garanti par la rationalité.

Rappelant la crise économique dans les pays occidentaux et la nécessité pour de nombreux pays à établir des relations avec l’Iran, le clerc persan souligné que le pays perse ne participe pas aux négociations en position de faiblesse et la passivité, et a assuré que les pays les Occidentaux ont pour éliminer les sanctions injustes et illogiques qu'ils ont imposées à la nation iranienne.

Après s'être assuré que toutes les activités nucléaires de l'Iran sont menées, comme cela a été fait avant, sous la supervision d' inspecteurs de l'Agence internationale de l'énergie atomique ( AIEA), l' hojatolislam Sediqi a souligné le droit légitime de l'Iran à enrichir de l'uranium, et a déclaré que l'utilisation de la technologie nucléaire joue un rôle important dans le développement du pays et à surmonter les domaines médical, industriel et agricole.

Pendant le sermon tenu à l'Université de Téhéran, l'imam de la prière collective a également déclaré que la République islamique d’Iran insiste sur le désarmement nucléaire de tous les pays qui composent le monde.

Enfin, en condamnant les actes terroristes en Irak, hojatolislam Sediqi dit que ces événements ont lieu alors que les organisations internationales choisissent de ne pas prendre des mesures pour mettre un terme.

mercredi, 23 octobre 2013 16:12

Un prince saoudien tué en Syrie !!

l'Etat islamique en Irak et au Levant, EIIL, qui combat l'armée et l'Etat syrien dans le but d'instaurer un califat takfiri en Syrie a confirmé la mort de l'un de ses commandants, un prince saoudien !! selon le site Al Hadath, l'intéressé avait pour nom Abdellah Ebrahim al Dakhil et il était membre de l'ASL et le front Al Nosra à Qunaitara . l'ASL aurait réussi, selon une dernière information, à éliminer le chef d'Al Nosra dans la région le gendre de Abou Mohamad al Golani. l'ASL a annoncé il y a quelques jours la mort de l'un des gros bonnets du front Al Nosra à Daraa en la personne de Yasser al Aboud. Officier déserteur de l'armée syrienne, Al Aboud avait pour mission d'assurer la protection de l'ex premier ministre Syrie,, Riyad Hijab qui a fait défection au début de la guerre et qui s'est réfugié en Jordanie/