
تقي زاده
Libye: le deuxième anniversaire de la mort de Kadhafi
La Libye marque dimanche le deuxième anniversaire de la mort de l'ancien dictateur, Mouammar Kadhafi, capturé et tué par les rebelles dans sa ville natale de Syrte huit mois après la révolte contre son régime de quatre décennies.
Le 20 octobre 2011, le colonel Kadhafi a été capturé et tué par des éléments de la rébellion, après avoir été blessé dans un raid aérien effectué par des avions de combat français contre un convoi repéré par un drone américain qui a alerté l'OTAN, alors que le colonel cherchait à fuir Syrte qui était en état de siège sous l'offensive des rebelles.
Au cours des deux années écoulées, une campagne de vengeance régnait dans le pays inondé d'armes aux mains de centaines de milices. Des officiers de sécurité qui avaient servi le régime de Kadhafi ainsi que des activistes politiques ont été pris pour cibles par des groupes armés fondamentalistes dans la région de Cyrenaica, dans l'est du pays.
Le Premier ministre du gouvernement intérimaire libyen Ali Zeidan avait même été enlevé le 10 octobre par un groupe armé non identifié, qui aurait perpétré le kidnappage au nom de parlementaires libyens.
M. Zeidan a été relâché quelques heures plus tard. Cet incident était considéré comme un acte mené par des militants liés à al-Qaïda en représailles à un raid effectué le 5 octobre par un commando américain, dans lequel a été capturé Al Liby, responsable de la mouvance terroriste recherché pour des attentats terroristes en Afrique de l'est en 1998.
Le recours aux enseignements des Ahl-ul-bayt (AS) pour le rapprochement des écoles islamiques
La présentation des enseignements des Ahl-ul-bayt (AS) permettrait d’éteindre le feu des dissensions que certains mercenaires essayent de développer.
L’Ayatollah jaafar Sobhani, référence religieuse des chiites iraniens, le 17 octobre 2013, lors d’une rencontre avec les organisateurs du congrès sur l’Imam Sajad (AS), a déclaré que le recours aux enseignements des Ahl-ul-Bayt (AS) était le meilleur moyen pour rapprocher les écoles islamiques.
« C’est la raison de l’organisation de ce congrès. Dans l’Histoire de l’islam nous ne voyons pas autant de sang et de violences. Aujourd’hui, l’Arabie saoudite et les Émirats interdisent aux sunnites de vivre en paix à coté des chiites.
Dans le passé, les chiites et les sunnites d’Irak avaient des relations amicales. La Révolution islamique a ébranlé les ennemis des chiites qui tentent de semer la discorde entre les écoles alors que le Coran recommande l’union. Nous devons profiter du respect de toutes les écoles pour les Ahl-ul-bayt (AS) et des enseignements du recueil de prières de l’Imam Sajad (AS) pour notre initiation spirituelle.
Nous espérons que les religieux sunnites participeront à ce congrès car nous respectons les compagnons alors qu'en Arabie saoudite, le Sahife Sajadieh est interdit de publication. La présentation des enseignements des Ahl-ul-bayt (AS) permettrait d’éteindre le feu des dissensions que certains mercenaires essayent de développer », a-t-il dit.
L'Iran ne cherche pas à nuire à la sécurité mondiale
La République islamique d’Iran ne cherche pas à nuire à la sécurité mondiale, puisque selon la fatwa (décret) du Guide suprême de la Révolution islamique, l'ayatollah Seyed Ali Khamenei, pays persan pour l'utilisation d'armes de destruction massive est un sujet tabou.
Alors Imam a la prière du vendredi à Téhéran, capitale de l’Iran, l'ayatollah Mohammad Emami Kashani.
L'Occident est conscient de la nature pacifique des activités nucléaires de l'Iran et sait que ce pays est un commanditaire majeur de la sécurité dans la région, a souligné l'ayatollah Emami Kashani.
En allusion à la fatwa du Guide suprême sur l'interdiction de l'utilisation d'armes de destruction massive, le clerc persan a souligné que ce n'est pas une fatwa politique, il est religieux, par conséquent, la conformité obligatoire.
Dans une autre partie de son sermon, l'imam a souligné que l'Iran n'a jamais envahi d'autres pays, tandis que certains pays de la région attaquent et occupent un territoire étranger où ils commettent des crimes.
Selon l'ayatollah Emami Kashani, ces dernières années, la diffusion iranophobie et de semer la discorde parmi les musulmans a été l'intrigue principale du sionisme et de l'hégémonie mondiale contre la communauté musulmane.
Il a évoqué les efforts de l'Occident et les ennemis de l'Islam pour présenter cette religion divine en tant que promoteur de la sauvagerie à travers le déchaînement des guerres entre musulmans." L'islam est la religion de la justice et à l'écart du radicalisme ", a-t-il affirmé.
L'ayatollah Emami Kashani a indiqué que les crimes des salafistes est la cause des problèmes auxquels le monde islamique et a souligné que " cette secte dangereuse, dans les plans d’hégémonie et sous le nom de l’islam, commet toutes sortes crimes contre les musulmans “.
Il a exhorté la communauté musulmane à maintenir l'unité et a ajouté que dans la conjoncture sensible , le vrais musulmans devraient s'efforcer de présenter le vrai Islam.
Wahhabisme dérive de la pensée antireligieuse
Wahhabisme dérive de la pensée anti- religieuses, déclare Mostabser Esam Al-Emad, Membre de l'Assemblée mondiale d’Ahlul Bayt (AS).
Le religieux yéménite qui a parlé mercredi soir dans la ville de Shadegan, sud-ouest de l’Iran, a souligné que le wahhabisme propage mauvaises pensées dans la société et vise à créer des écarts entre musulmans chiites et sunnites.
Le religieux a déclaré que les wahhabites et Takfiris travers l'édition de livres anti- chiite et la distribution aux musulmans le pèlerinage hajj, qui cherche à promouvoir les idées du wahhabisme parmi les musulmans afin de les séparer.
Cette élite yéménite a appelé un " indéniable " l'incident " Qadir Khom », qui rappelle l'élection de l'imam Ali (que la paix soit sur lui) comme le successeur du Prophète de l’Islam, Hazrat Mohammad (P), et a averti que wahhabites d'innombrables publicités cherchent à rejeter cette réalité historique.
Les wahhabites sont un groupe qui se tandis que les «musulmans» dans la pratique, appeler, leurs idéologies et les croyances se distancient des principes de l’Islam.
Religieux wahhabites, pendant l'occupation de l'Irak par les forces étrangères sous commandement américain, ont été les principaux moteurs de la discorde tribale dans le pays arabe.
En outre, une grande partie de la violence et les écarts entre les différents groupes religieux en Syrie en raison des wahhabites, qui avec leur argent armer les groupes terroristes dans ce pays arabe.
Syrie: un jeune rebelle belge très médiatisé de retour en Europe
Jejoen Bontinck, un Belge de 18 ans parti se battre en Syrie au début de l'année et que son père avait tenté de rapatrier, est rentré en Europe, aux Pays-Bas, et s'apprête à rejoindre son pays.
Interrogé aux Pays-Bas par la télévision flamande VRT, il a assuré ne pas s'être battu aux côtés de rebelles en Syrie, mais avoir transporté des médicaments.
Il a ajouté qu'il se livrerait lundi à la justice belge et qu'il était prêt à aller en prison s'il le fallait.
Très médiatisé au printemps, le cas de ce jeune issu d'un milieu catholique et converti à l'islam radical avait révélé aux yeux du public belge l'existence de filières de recrutement de volontaires pour combattre la Syrie.
En février, le jeune Anversois avait dit à ses parents qu'il partait en vacances aux Pays-Bas, alors qu'il s'apprêtait en fait à se rendre en Syrie. Son père, Dimitri Bontinck, un ancien militaire, s'est rendu en Syrie à deux reprises pour rechercher son fils, en vain.
Depuis, et alors que plusieurs dizaines de jeunes Belges, comme des centaines d'autres Européens, ont rejoint les rangs des rebelles syriens, où certains ont trouvé la mort, le sort du jeune homme restait mystérieux.
A la télévision et dans une interview au quotidien flamand Het Laatste Nieuws, il n'explique pas comment il est revenu en Europe. Mais il livre des raisons à son départ. En tant que musulman, j'estimais de mon devoir d'aller aider mes frères en Syrie, a-t-il dit au quotidien.
Comme d'autres volontaires, il sera vraisemblablement interpellé à son retour en Belgique et interrogé par la justice, qui enquête sur les filières de volontaires.
Pour son père, Jejoen a été endoctriné par un groupuscule radical, Sharia4Belgium, dont le dirigeant, Fouad Belkacem, est actuellement emprisonné en Belgique. Mais selon d'autres volontaires rentrés de Syrie, Jejoen a lui-même joué un rôle actif dans le recrutement de volontaires à Anvers, a expliqué vendredi le quotidien De Standaard.
Les activités du jeune homme en Syrie devraient beaucoup intéresser les enquêteurs belges. Des vidéos diffusées sur internet avaient montré des combattants à l'entraînement s'exprimant en néerlandais et en français avec des accents belges.
La Belgique a depuis lors procédé à des perquisitions dans les milieux iextrémistes et pris des mesures pour endiguer les départs.
Les groupes takfirites n’ont aucune place au sein de la communauté islamique
L’Imam sunnite de la ville Baané(ouest de l’Iran) a condamné les actes commise par des groupes takfirites et les gens recrutés par des organisations occidentales dans le monde musulman.
L’islam est la religion de paix et de modération. Et dans ses instructions, il invite toujours les musulmans à la fraternité, a précisé Mamusta Abdo al-Rahman khodaï, représentant du peuple kurde dans le Conseil des experts et l’imam sunnite de Baané.
Les ennemis de l’islam essaient de présenter un visage irréel des musulmans et de suggérer l’islam comme une religion de violence, a-t-il ajouté.
Tous ces complots servent à dominer les ressources naturelles des pays musulmans. Les ennemis de l’islam, en créant ces crises, veulent arriver à leurs objectifs, a-t-il souligné.
Soutenir les groupes terroristes et leur aider militairement et financement constituent des programme des Occidentaux pour chasser les musulmans de leurs propres régions et s’emparer sur les ressources naturelles de ces régions, a insisté cet Imam sunnite.
Indiquant la situation de l’Afghanistan, de la Syrie et de l’Irak et les actes inhumaines des groupes takfirites comme des exemples concrètes de l’ingérence étrangère aux pays musulmans, Mamusta Khodaï a déclaré que les groupes takfiritres n’ont aucune place parmi les musulmans.
Les ennemis du peuple iranien doivent savoir que les musulmans iraniens s’élèveront contre ceux qui veulent mettre la sécurité de l’Iran en danger. C’est grâce à la sécurité que nous avons des mots à dire dans différents domaines su la scène internationale, a-t-il conclu.
Les groupes takfirites n’ont aucune place au sein de la communauté islamique
L’Imam sunnite de la ville Baané(ouest de l’Iran) a condamné les actes commise par des groupes takfirites et les gens recrutés par des organisations occidentales dans le monde musulman.
L’islam est la religion de paix et de modération. Et dans ses instructions, il invite toujours les musulmans à la fraternité, a précisé Mamusta Abdo al-Rahman khodaï, représentant du peuple kurde dans le Conseil des experts et l’imam sunnite de Baané.
Les ennemis de l’islam essaient de présenter un visage irréel des musulmans et de suggérer l’islam comme une religion de violence, a-t-il ajouté.
Tous ces complots servent à dominer les ressources naturelles des pays musulmans. Les ennemis de l’islam, en créant ces crises, veulent arriver à leurs objectifs, a-t-il souligné.
Soutenir les groupes terroristes et leur aider militairement et financement constituent des programme des Occidentaux pour chasser les musulmans de leurs propres régions et s’emparer sur les ressources naturelles de ces régions, a insisté cet Imam sunnite.
Indiquant la situation de l’Afghanistan, de la Syrie et de l’Irak et les actes inhumaines des groupes takfirites comme des exemples concrètes de l’ingérence étrangère aux pays musulmans, Mamusta Khodaï a déclaré que les groupes takfiritres n’ont aucune place parmi les musulmans.
Les ennemis du peuple iranien doivent savoir que les musulmans iraniens s’élèveront contre ceux qui veulent mettre la sécurité de l’Iran en danger. C’est grâce à la sécurité que nous avons des mots à dire dans différents domaines su la scène internationale, a-t-il conclu.
Attentat près de Damas: au moins 16 soldats tués dans l'attentat
Au moins 16 soldats ont été tués samedi près de Damas dans un attentat suicide à la voiture piégée et des combats entre troupes de l'armée et rebelles extrémstes, qui tentent de conquérir un barrage protégeant un bastion du gouvernement.
L'attentat, mené par un kamikaze du Front Al-Nosra, un groupe lié à Al-Qaïda, a été suivi par de violents combats à un barrage stratégique entre la localité rebelle de Mléha, et la ville chrétienne et druze de Jaramana, considérée comme un bastion pro-gouvernement, selon l'OSDH.
L'agence officielle Sana avait rapporté qu'un attentat mené par des terroristes, avait fait des morts et des blessés à l'entrée de Jaramana, du côté de Mléha, sans plus de précision.
A la suite de l'attentat, de violents combats ont éclaté entre les deux bords et des obus de mortier tirés du côté rebelle se sont abattus sur Jaramana, d'après des habitants.
Hajj 2013 – 1434 : la kaa’ba arbore sa nouvelle kiswa
Comme chaque année le 9 du mois de Dhul Hija, la Ka’aba est recouverte d’une nouvelle Kiswa. L’ancienne couverture est retirée puis coupée en petits morceaux afin d’être distribuée à des personnalités étrangères, des pèlerins et organisations.
La kiswa mesurerait plus de 650 mètres carré et pèserait plus de 820 kg. Confectionnée de soie pure (670 kg) et brodée en fil d’or (150 kg) la kiswa serait composée de 47 morceaux de tissus chacun mesurant 14 mètres de long sur 95 cm de largeur. Fabriquée au sein d’une usine dédiée, la couverture de la Ka’aba est confectionnée tout au long de l’année et couterait au final plus de 3,3 millions d’euros.
La kiswa n’a pas tout le temps été de couleur noire, elle fut blanche du temps de Harun Al Rachid (ra), puis verte du temps de Nassir Abbasi puis puis noire.
L'Iran s'apprête à faire une proposition en trois étapes dans les négociations sur le nucléaire
L'Iran va mettre en avant une proposition en trois étapes au cours des négociations à venir sur le nucléaire avec les grandes puissances mondiales, a rapporté l'agence de presse semi-officielle ISNA.
Cette proposition d'ensemble, si elle est acceptée à la première étape, engagera automatiquement l'autre partie à "reconnaître le droit à l'enrichissement de l'uranium sur le sol iranien" en tant qu'objectif des négociations, a précisé ISNA sans référence à sa source d'information.
La proposition comprend également des avancées mutuelles dans le cours des négociations afin que l'objectif soit atteint, indiquait le rapport.
"Les officiels iraniens considèrent qu'en l'absence d'accord à la première étape la poursuite des négociations deviendra difficile, voire impossible," selon INSA.
Le groupe P5+1, qui comprend les cinq membres permanents du Conseil de sécurité des Nations Unies plus l'Allemagne, reprendra les négociations avec l'Iran sur son programme nucléaire controversé à Genève les 15 et 16 octobre.
Vendredi, Press TV a rapporté que l'Iran participerait aux nouvelles négociations nucléaires à venir avec de nouvelles propositions.